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Khajuraho, la poésie de pierre sacrée INDE +

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Le lendemain matin, nous quittons Sanchi à l’aube pour prendre la route en direction de Khajuraho, ancienne capitale des Chandela et écrin d’un patrimoine unique au monde. Ce trajet, d’environ 8 heures, nous plonge rapidement dans l’Inde rurale profonde, à mille lieues de l’agitation des grandes villes. La route, tantôt bordée de champs de blé ondulant, tantôt encadrée de forêts sèches et de collines poussiéreuses, nous offre un défilé ininterrompu de scènes de vie paysanne.

Nous croisons des charettes tirées par des bœufs aux cornes peintes, des femmes drapées de saris vifs portant des fagots sur la tête, des enfants courant pieds nus derrière des cerfs-volants improvisés, des troupeaux de moutons levant une poussière dorée sur les pistes latérales. Sur les accotements, des dromadaires lourdement bâtés cheminent au pas, silencieux, suivis parfois de leur chamelier endormi sur la selle. À notre grande surprise, un éléphant apparaît à la sortie d’un petit village, arrosé par un garçonnet hilare. C’est tout un théâtre rural, mouvant, inattendu, profondément vivant, qui se joue devant nous.

PANNA NATIONAL PARK

En fin de matinée, nous faisons une pause au Ken River Lodge, un havre de verdure niché aux portes du Panna National Park, sur les berges de la rivière Ken. L’endroit a des airs de retraite sauvage. De grands acacias ombragent les bungalows en pierre et bois, construits dans un style rustique parfaitement intégré à la nature environnante. Des hamacs tendus entre les arbres invitent à la sieste, tandis que la grande terrasse ouverte, sur pilotis au-dessus de la rivière, offre une vue spectaculaire sur la jungle et les eaux miroitantes où viennent boire cerfs axis, paons et parfois des crocodiles.

TEMPLE DE CHITRAGUPTA, le temple solaire

Le lendemain matin, alors que la lumière dorée de l’aube commence à effleurer les frondaisons de Khajuraho, nous partons explorer l’un des temples les plus emblématiques du site occidental : le temple de Chitragupta. Niché non loin du célèbre temple de Surya, ce sanctuaire envoûtant est dédié à Chitragupta, le scribe divin du dieu Yama, gardien du karma et des âmes des morts.

Dès notre arrivée, le silence du lieu nous enveloppe. Le temple, construit vers la fin du XIe siècle sous la dynastie des Chandela, se dresse avec une élégance sobre mais puissante. Ses murs, sculptés dans un grès chaud aux reflets ocre, racontent avec une incroyable finesse des fragments de vie et de croyances millénaires.

À l’extérieur, les bas-reliefs déploient une véritable fresque de l’univers hindou : processions de dieux, scènes de chasse, musiciens, apsaras dansant… mais aussi ces fameuses scènes érotiques si caractéristiques des temples de Khajuraho, ici moins nombreuses mais toujours subtilement intégrées dans une cosmogonie d’ensemble. Elles ne sont ni vulgaires ni isolées : elles illustrent une philosophie de l’union sacrée, du plaisir comme partie intégrante de l’ordre cosmique.

Nous pénétrons à l’intérieur par un portique orné de colonnes sculptées. L’atmosphère change aussitôt. L’espace se resserre, les voix s’estompent. Un léger parfum d’encens flotte dans l’air. Dans la cellule centrale du sanctuaire, on découvre une rare représentation en pierre du dieu Surya — le dieu-soleil — debout sur un char tiré par sept chevaux. Majestueux et rayonnant, il semble veiller sur le lieu avec bienveillance. Sa présence ici est unique dans tout Khajuraho, et confère au temple une identité singulière.

Nous restons un moment à contempler les détails : les arcs festonnés, les motifs floraux, les figures mi-humaines mi-divines qui ornent les piliers. Chaque sculpture semble animée d’un souffle ancien. Le temple de Chitragupta n’est pas le plus vaste, mais il dégage une intimité vibrante, une sorte de dialogue suspendu entre l’homme et l’éternel.

À la sortie, le soleil est désormais haut dans le ciel. Des enfants jouent sous les arbres, des guides murmurent des explications, et un gardien nous salue en joignant les mains. Nous quittons ce sanctuaire avec le sentiment d’avoir pénétré l’un des secrets les mieux gardés de Khajuraho — un lieu où le temps se fige et où chaque pierre murmure une histoire.

TEMPLE DE DEVI JAGADAMBI la grâce sculptée

Nous poursuivons notre exploration de Khajuraho par la visite du temple de Devi Jagadambi, l’un des joyaux artistiques et spirituels de ce site classé au patrimoine mondial de l’UNESCO. Situé dans le groupe occidental, au cœur d’un jardin soigné bordé d’allées de pierres claires, il se dresse juste à côté du majestueux Kandariya Mahadev, avec lequel il partage une même plateforme légèrement surélevée, comme un promontoire sacré tourné vers le ciel. 

Dès les premières marches franchies, une sensation d’harmonie nous envahit. Moins imposant que son voisin, le temple de Devi Jagadambi séduit par sa grâce contenue, la finesse de ses proportions et l’incroyable richesse de son décor sculpté. Érigé entre 1000 et 1025 de notre ère par les souverains de la dynastie Chandela, il porte le nom de la déesse Jagadambi, « Mère de l’univers », avatar de Parvati, l’épouse de Shiva, vénérée ici dans sa dimension protectrice et cosmique.

Nous avançons lentement le long du mandapa (le hall) et du sanctuaire. Ce qui frappe, c’est la structure en trois registres qui habille les murs extérieurs : une véritable bande dessinée de pierre en relief, qui s’enroule tout autour de l’édifice comme une frise vivante. Chaque bandeau offre un univers en soi : le plus bas met en scène des figures humaines, guerriers, musiciens, danseuses ; le second bandeau s’élève vers les mondes mythologiques avec des représentations de dieux et de déesses, d’apsaras et de scènes rituelles ; le plus haut, quant à lui, expose une série de sculptures érotiques, expression saisissante de la philosophie tantrique qui considère l’union charnelle comme un chemin vers l’absolu.

Le tout forme une narration silencieuse, où l’œil voyage sans jamais s’ennuyer. Certaines sculptures sont si finement gravées qu’elles semblent prêtes à s’animer : une musicienne au sourire délicat, un couple enlacé, un éléphant flanqué d’un cornac hilare, une déesse drapée dans une posture de danse. La qualité d’exécution des reliefs, leur expressivité, leur poésie presque sensuelle, donne au temple un éclat particulier.

En pénétrant à l’intérieur du sanctuaire, dans une obscurité feutrée, nous découvrons la statue imposante de Devi, noire et sereine, trônant dans l’abside du garbhagriha. Elle rayonne de puissance tranquille. La lumière qui filtre par la porte semble jouer sur son visage, comme si la pierre respirait encore.

À l’extérieur, le soleil descend lentement et dore les reliefs. Le temple de Devi Jagadambi, posé là depuis plus de mille ans, continue d’émerveiller les visiteurs comme un poème sculpté dans la roche. Un temple peut-être plus intime que grandiose, mais dont la présence vibrante nous accompagne bien au-delà de ses murs.

TEMPLE DE LAKSHMAN le temple aux trois visages de Vishnou

Nous arrivons ensuite devant l’un des temples les plus anciens et les plus majestueux de Khajuraho : le temple de Lakshmana, véritable joyau de la période classique de l’art chandela. Dressé sur une plateforme massive et surélevée, ce temple impressionne immédiatement par sa silhouette élancée, ses proportions harmonieuses et le foisonnement de sculptures qui courent sur ses murs comme un tissu de pierre vivant.

Construit autour de 930 à 950 ap. J.-C. par le roi Yashovarman, le Lakshmana Temple est dédié à Vaikuntha Vishnou, une forme composite du dieu Vishnou, reconnaissable à ses trois têtes symboliques : une humaine au centre, flanquée d’une tête de lion (Narasimha) et d’une tête de sanglier (Varaha), incarnations emblématiques du protecteur de l’univers. Dès le seuil franchi, cette divinité exceptionnelle, installée au cœur du sanctuaire, donne au temple une aura particulière, empreinte de puissance et de spiritualité.

L’édifice suit le plan traditionnel sandhara panchayatana : un sanctuaire central (garbhagriha) entouré de quatre sanctuaires annexes, chacun abritant également une divinité, formant ainsi une mandala tridimensionnelle.

Le tout est posé sur un jagati, cette large plateforme surélevée accessible par un escalier monumental, qui invite à la circumambulation rituelle. Autour de cette base, les fidèles marchent dans le sens des aiguilles d’une montre, suivant un parcours sacré où la pierre raconte des mondes.

Nous prenons le temps de faire ce tour, et très vite, le regard se perd dans la densité exceptionnelle des sculptures : deux niveaux de frises s’enroulent autour du temple comme une vaste épopée visuelle. On y retrouve des représentations de dieux et déesses hindous, des apsaras dansant avec grâce, des couples célestes dans des postures pleines de tendresse ou d’érotisme, des scènes de vie quotidienne ou de batailles mythologiques. Le raffinement des détails est stupéfiant : chaque boucle de chevelure, chaque bijou, chaque regard semble pensé pour traverser les siècles.

Au-dessus de la porte d’entrée du sanctuaire, le linteau sculpté figure la déesse Lakshmi, déesse de la prospérité, assise entre Brahma et Vishnou, dans une composition équilibrée et solennelle qui introduit le visiteur au cœur de la triade divine. Ce décor, à la fois protecteur et évocateur, rappelle que le temple est autant un refuge spirituel qu’une œuvre d’art à contempler.

À l’intérieur, l’ambiance change radicalement. Le jeu d’ombre et de lumière, les volumes contenus

TEMPLE DE MAHADEVA sommet de l’art médiéval

Nous poursuivons notre exploration de Khajuraho en nous approchant du temple le plus imposant et le plus emblématique du site : le temple de Kandariya Mahadeva, dédié à Shiva, le Grand Dieu. C’est l’apogée architecturale du style chandela, le chef-d’œuvre absolu de cette période, tant par sa taille que par la virtuosité de son décor sculpté.

Dès notre arrivée, le regard est happé par la shikhara centrale, cette tour élancée culminant à plus de 30 mètres, semblable à un pic de montagne. Elle est entourée de 84 tours secondaires qui s’élèvent comme un essaim de pics vers le ciel — une représentation symbolique du mont Kailash, la demeure mythique de Shiva dans l’Himalaya. L’ensemble donne l’impression d’un temple en mouvement, d’une élévation vers le divin, où chaque pierre semble vouloir s’arracher à la terre pour rejoindre les cieux.

L’approche du temple se fait par une large plateforme ornée de lions et de gardiens sculptés. On pénètre d’abord dans l’ardha mandapa, le porche d’entrée, puis dans la mandapa, la salle aux colonnes sculptées, où la lumière tamisée danse sur les reliefs finement ciselés. Vient ensuite la maha mandapa, plus vaste, où les dévots pouvaient autrefois se réunir, avant d’atteindre l’antarala, le vestibule étroit qui précède le garbha griha, le sanctuaire intérieur, où repose un lingam de Shiva, sobre et sacré, centre spirituel du temple.

Mais c’est à l’extérieur que le Kandariya Mahadeva dévoile toute sa richesse visuelle. Les façades sont couvertes de sculptures, disposées sur plusieurs bandes horizontales, dans une organisation harmonieuse qui évoque une véritable narration divine. On y retrouve des scènes de la mythologie hindoue, des dieux et déesses dans leurs postures iconographiques traditionnelles, des apsaras aux corps souples et dansants, des scènes de vie quotidienne, mais aussi les fameuses scènes érotiques, finement intégrées à l’ensemble, à la fois sensuelles et symboliques.

Ces représentations ne sont jamais vulgaires ; elles s’inscrivent dans une vision du monde où l’union charnelle est perçue comme une métaphore de l’union cosmique, une passerelle entre le terrestre et le spirituel. Certaines figures, aux gestes amples et aux regards lascifs, semblent dialoguer silencieusement avec les visiteurs, leur rappelant que le divin peut aussi se manifester dans le plaisir des sens et l’harmonie des formes.

À mesure que nous faisons le tour du temple, chaque détail semble révéler une intention, une émotion, une philosophie. C’est un lieu où l’art, l’architecture et la spiritualité se fondent en un tout organique, un manifeste de pierre de la grandeur de l’Inde médiévale. Kandariya Mahadeva n’est pas seulement un temple : c’est un poème sculpté dans le grès, une offrande à Shiva, mais aussi au génie humain.

Au terme de la visite, nous restons un instant silencieux, assis sur les marches de la plateforme, à contempler cette merveille née il y a presque mille ans, toujours debout, défiant le temps avec une grâce inaltérable.

TEMPLE DE VARAHA , le sanglier sacré

Nous concluons notre parcours à Khajuraho par la visite du temple de Varaha, un édifice plus modeste que les chefs-d’œuvre avoisinants, mais d’une intensité symbolique et spirituelle saisissante. Niché au sein du groupe occidental des temples, ce sanctuaire, qui remonte aux environs de 900–925 de notre ère, est l’un des plus anciens du site. Dès les premiers pas, son apparente simplicité contraste avec la complexité architecturale des temples comme Kandariya Mahadeva ou Lakshmana, mais il émane de ce lieu une gravité, une présence, presque tellurique.

Le temple repose sur une plateforme surélevée, à l’abri d’un modeste pavillon soutenu par des colonnes élancées. L’atmosphère y est calme, propice à la contemplation. Pas de shikhara vertigineux ici, ni de longues frises sculptées courant sur les parois — mais un seul et unique occupant monumental : la statue colossale de Varaha, taillée dans un bloc unique de grès, d’un brun chaud.

Varaha est l’un des dix avatars de Vishnou, et sans doute l’un des plus étonnants : il prend la forme d’un sanglier cosmique pour sauver la déesse Terre, Bhudevi, que le démon Hiranyaksha avait précipitée dans les profondeurs de l’océan primordial. Devant nous se dresse cette incarnation divine, longue de plus de deux mètres et demi, massive et puissante, à la fois bestiale et majestueuse.

Mais ce n’est pas une simple sculpture animalière. En s’approchant, on découvre que tout le corps du sanglier est recouvert de centaines de minuscules figures divines et symboliques, gravées avec une minutie extraordinaire. Sur sa croupe, ses flancs, son encolure, c’est un véritable panthéon qui se déploie : dieux, déesses, sages et musiciens célestes. Entre les deux défenses, on reconnaît la silhouette sereine de la déesse Sarasvati, tenant son luth (vina), incarnation du savoir et de la poésie. Cette cohabitation du colossal et de l’infime, de la force brute et de la finesse iconographique, donne à l’ensemble une puissance visuelle saisissante.

Là où les autres temples s’élèvent vers le ciel dans une profusion de détails et de structures, le temple de Varaha se concentre vers l’intérieur : c’est une caverne sacrée, une matrice de pierre ouverte à la méditation. Son style architectural préfigure les grands temples qui lui succéderont, tout en conservant l’austérité rituelle propre aux édifices les plus anciens.

Nous restons un moment en silence devant cette forme animale gigantesque et pourtant paisible, symbole de la renaissance du monde, de la lutte contre le chaos, du retour à la lumière. Dans la chaleur du soir, alors que la lumière dorée glisse sur la pierre nue, le temple de Varaha nous offre une dernière leçon : parfois, la simplicité est le plus court chemin vers le sacré.

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LA GASTRONOMIE INDIENNE

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 JASS TRIDENT RESTAURANT

Pour le dîner, nous choisissons de vivre une expérience à la fois gourmande et culturelle en réservant une table au Jass Trident, l’un des établissements les plus réputés de Khajuraho. Ce grand hôtel, perché sur une légère élévation au cœur d’un jardin luxuriant, offre un cadre élégant et raffiné, parfait pour une soirée d’exception.

Dès notre arrivée, nous sommes accueillis avec chaleur par le personnel en kurta blanche et turban rouge, qui nous conduit à la terrasse extérieure joliment éclairée. Les senteurs de jasmin se mêlent aux arômes de curry et de ghee. Le dîner est servi en plein air, sous un ciel étoilé, dans une ambiance apaisante rythmée par les sons feutrés du tabla et du sitar.

Le repas met à l’honneur la cuisine indienne du centre, avec une succession de plats traditionnels — lentilles épicées, légumes de saison subtilement préparés, poulet au safran, riz basmati parfumé — le tout accompagné de pains tandoori croustillants. Les desserts, comme le gulab jamun et le ras malai, viennent clore le dîner sur une note sucrée et délicate.

Mais ce qui rend cette soirée inoubliable, c’est surtout le spectacle de danses classiques qui l’accompagne. Sur une petite scène décorée de lampes à huile et de pétales de fleurs, des danseuses en costume traditionnel exécutent les gestes gracieux et codifiés des danses kathak et bharatanatyam. Chaque mouvement raconte une histoire, chaque regard a du sens. Le rythme des clochettes accrochées à leurs chevilles résonne dans la nuit chaude, captivant l’audience, suspendue au fil des légendes et des récits mythologiques.

Au Jass Trident, le dîner devient un véritable voyage sensoriel, où les saveurs, les sons et les images de l’Inde s’unissent dans une harmonie parfaite. Une parenthèse élégante et immersive, idéale pour conclure une journée de découvertes à Khajuraho.

LES LOGEMENTS

USHA BUNDELA HOTEL

À notre arrivée à Khajuraho, après avoir traversé les terres rouges et poussiéreuses du Madhya Pradesh, ponctuées de scènes rurales animées — buffles tirant des chariots, paysans battant le blé à l’ancienne, enfants courant derrière les vélos — nous nous installons à l’Usha Bundela Hotel, niché dans un grand jardin arboré non loin du groupe occidental des temples.

Dès l’entrée, l’hôtel dégage une atmosphère de calme et de confort, un havre idéal pour reprendre souffle après la route et avant de plonger dans l’intensité spirituelle et artistique de Khajuraho. De vastes couloirs ouverts sur la verdure, une belle piscine au centre du jardin, des chambres spacieuses à la décoration sobre mais soignée : l’établissement, longtemps l’un des meilleurs de la région, séduit par son élégance discrète et son emplacement privilégié. On y entend le chant des oiseaux dès le matin, parfois le cri lointain d’un paon, et le soir venu, les lumières douces des jardins invitent à la promenade.

La salle de restaurant, ouverte sur l’extérieur, propose une cuisine indienne traditionnelle, mais aussi quelques plats continentaux pour varier. Nous y dégustons un thali végétarien accompagné de chapatis tout juste sortis du tandoor, avant de terminer par un kheer parfumé à la cardamome.

L’Usha Bundela Hotel est aussi apprécié pour sa proximité avec les temples, que l’on peut rejoindre à pied en une dizaine de minutes, ce qui permet de s’imprégner tranquillement de l’atmosphère particulière de Khajuraho. Entre modernité sobre et cadre naturel soigné, c’est une escale parfaite pour allier confort, sérénité et découverte culturelle.

LIEN VERS LES PHOTOS 

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RESTAURANT JASS TRIDENT Khajuraho, la poésie de pierre sacrée INDE

le temple de Chitragupta Khajuraho

TEMPLE DE DEVI JAGADAMBI Khajuraho, la poésie de pierre sacrée INDE

TEMPLE DE LAKSHMAN Khajuraho, la poésie de pierre sacrée INDE

TEMPLE DE Mahadeva Khajuraho,

TEMPLE DE VARAHA Khajuraho,

LES LIENS

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