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💧 Ruacana Falls & le Kunene — Aprùs-midi entre falaises et chants d’oiseaux

Nous quittons le calme d’Okapika Camp aprĂšs le dĂ©jeuner, encore bercĂ©s par la quiĂ©tude du bush et le parfum du cafĂ© chaud. La piste s’étire droit vers le nord, jusqu’à ce que le murmure de la savane cĂšde peu Ă  peu la place Ă  un grondement profond. Ce n’est pas un simple bruit d’eau : c’est le souffle du Kunene, ce fleuve qui, depuis des millions d’annĂ©es, sculpte la frontiĂšre entre la Namibie et l’Angola.

D’abord, le chuchotis du courant ; puis, Ă  mesure que la gorge s’ouvre, le spectacle s’impose : les Ruacana Falls, un amphithéùtre minĂ©ral oĂč le fleuve bondit de 120 mĂštres de haut sur prĂšs de 700 mĂštres de largeur en crue. MĂȘme en saison sĂšche, quand le dĂ©bit est rĂ©gulĂ© par la centrale hydroĂ©lectrique en amont, les falaises sombres et les vasques profondes tĂ©moignent de la puissance passĂ©e.

đŸȘš Une leçon de gĂ©ologie Ă  ciel ouvert

Le site de Ruacana est un livre ouvert sur les temps géologiques.
Le Kunene a taillĂ© sa route dans un socle prĂ©cambrien datant de plus de 1,2 milliard d’annĂ©es, composĂ© de gneiss, quartzites et roches volcaniques mĂ©tamorphisĂ©es. Ces strates appartiennent au bouclier du Kaoko Belt, vestige d’anciennes chaĂźnes de montagnes formĂ©es lors de la collision des supercontinents du ProtĂ©rozoĂŻque. Les teintes sombres des falaises, souvent enrichies en basaltes et amphibolites, expliquent la brillance noire et les reflets mĂ©talliques du canyon.

L’érosion fluviale, couplĂ©e Ă  l’action tectonique, a creusĂ© ce gouffre vertigineux au fil des millĂ©naires. À chaque saison des pluies, le fleuve ronge un peu plus ses parois, Ă©largissant les gorges et sculptant des marmites de gĂ©ants, ces vasques arrondies creusĂ©es par la rotation des galets dans le courant.

🌿 Un couloir de vie au cƓur du semi-dĂ©sert

Le Kunene est l’un des seuls fleuves pĂ©rennes du nord-ouest namibien. Sa prĂ©sence crĂ©e une rupture Ă©cologique saisissante : des rives verdoyantes au milieu des plaines arides du Kaokoland. On y observe des palmiers makalani (Hyphaene petersiana), des acacias, des mopanes, et des zones herbeuses oĂč viennent s’abreuver les oryx, kudus, et parfois mĂȘme les Ă©lĂ©phants du dĂ©sert.

L’avifaune y est d’une richesse Ă©tonnante : martins-pĂȘcheurs gĂ©ants, guĂȘpiers d’Europe, aigrettes, hĂ©rons goliath, et tisserins sociaux qui bĂątissent d’immenses nids collectifs sur les fils Ă©lectriques. Le soir, les cris du go-away bird et les trilles des bulbuls accompagnent la chute du soleil sur la gorge.

⚙ Un fleuve aux enjeux historiques et Ă©nergĂ©tiques

Les chutes de Ruacana ne sont pas seulement un site naturel : elles sont aussi au cƓur de l’histoire moderne de la rĂ©gion. Dans les annĂ©es 1970, la centrale hydroĂ©lectrique de Ruacana fut construite en partenariat entre la Namibie (alors sous administration sud-africaine) et l’Angola, afin d’alimenter en Ă©lectricitĂ© le nord du pays. L’eau est dĂ©rivĂ©e via un canal depuis le barrage de Calueque, en territoire angolais, situĂ© une trentaine de kilomĂštres en amont.

Cette gestion partagĂ©e du fleuve a souvent Ă©tĂ© un sujet diplomatique sensible, particuliĂšrement durant la guerre d’indĂ©pendance angolaise et les tensions frontaliĂšres de la fin du XXᔉ siĂšcle. Aujourd’hui, le Kunene reste un axe vital pour l’énergie, l’irrigation et la coopĂ©ration transfrontaliĂšre entre les deux nations.

🧭 MĂ©moire et humanitĂ© du Kunene

Le fleuve n’a pas qu’une valeur utilitaire : il est porteur d’histoires et de mythes. Les communautĂ©s himba et herero, installĂ©es sur les plateaux et vallĂ©es avoisinants, voient dans le Kunene un ĂȘtre vivant, un esprit nourricier. Des rĂ©cits oraux Ă©voquent les traversĂ©es en pirogue, les esprits des chutes, et les ancĂȘtres disparus dans la brume du canyon. Ces lĂ©gendes, transmises au coin du feu, ajoutent une profondeur spirituelle Ă  la beautĂ© brute du lieu.

Sur la route du retour, la lumiĂšre dĂ©cline, dorant les crĂȘtes et les troncs des mopanes. Le fleuve s’éloigne, mais son grondement continue de rĂ©sonner dans l’air chaud. Nous ramenons dans nos bungalows les images d’un aprĂšs-midi suspendu, entre gĂ©ologie millĂ©naire, Ă©chos d’histoire et poĂ©sie du vivant.


đŸ·ïž #RuacanaFalls #KuneneRiver #OkapikaCamp #Kaokoland #Namibia #Hydrology #Geology #AfricanLandscapes #TravelNamibia #Birdwatching #CulturalHeritage #EcoTravel #RuacanaHydropower #AdventureDiaries

Le lendemain, nous dĂ©cidons de retourner admirer les Ruacana Falls, cette fois depuis le haut des gorges. Le mĂȘme parking qu’hier, Ă  droite de la route principale, marque le point de dĂ©part de cette exploration en balcon. Rapidement, la piste serpente le long de la frontiĂšre angolaise, invisible mais omniprĂ©sente : quelques mĂštres plus loin, de l’autre cĂŽtĂ© du Kunene, commence dĂ©jĂ  un autre pays.

Le paysage se transforme au fil de la marche. Le sol devient rocailleux, la vĂ©gĂ©tation se fait plus rase — dominĂ©e par des buissons de mopane, des euphorbes candĂ©labres et de petits aloĂšs coriaces qui s’accrochent au granit chauffĂ© Ă  blanc. Par endroits, le sol craquelle sous la chaleur, et la lumiĂšre rĂ©verbĂ©rĂ©e du fleuve fait danser des Ă©clats mĂ©talliques sur les roches sombres. L’air semble vibrer.

Puis, soudain, la riviĂšre se rĂ©vĂšle dans toute sa puissance. Le Kunene s’engouffre dans une gorge basaltique d’une profondeur vertigineuse, formĂ©e il y a prĂšs de 130 millions d’annĂ©es, lors de l’ouverture de l’ocĂ©an Atlantique. Ici, les couches sombres de basalte et de dolĂ©rite tĂ©moignent de ce passĂ© volcanique, oĂč la croĂ»te terrestre s’est fissurĂ©e, laissant remonter la lave. L’érosion, patiente et tenace, a ensuite sculptĂ© le canyon actuel, dont les parois abruptes tracent une frontiĂšre naturelle spectaculaire entre la Namibie et l’Angola.

Le grondement de l’eau s’amplifie, rĂ©percutĂ© par les falaises. Lorsque les vannes du barrage en amont sont ouvertes, le fleuve bondit en cascade sur prĂšs de 120 mĂštres de dĂ©nivelĂ©, s’étalant en un large Ă©ventail argentĂ© avant de s’écraser dans la gorge. En saison sĂšche, le dĂ©bit se rĂ©duit, laissant apparaĂźtre une succession de piscines naturelles et de marmites d’érosion, polies par des milliers d’annĂ©es de tourbillons. L’eau y prend des reflets d’émeraude, contrastant avec la noirceur des roches.

Depuis le promontoire naturel oĂč nous nous arrĂȘtons, la vue est tout simplement grandiose : en contrebas, la riviĂšre dessine des arabesques vert sombre Ă  travers la pierre, tandis qu’au loin, le plateau angolais s’étend en collines ondulantes, couvertes de savanes sĂšches. Quelques martins-pĂȘcheurs gĂ©ants filent au ras de l’eau, et les cris perçants des aigrettes se mĂȘlent au tumulte du fleuve.

On rĂ©alise alors que Ruacana n’est pas qu’une simple chute d’eau : c’est un nƓud gĂ©ologique, hydrologique et symbolique, un point de contact entre deux mondes — celui de la Namibie, terre de dĂ©sert, et celui de l’Angola, plus humide et verdoyant. Les Himba, dont certaines familles vivent non loin d’ici, voient dans le Kunene un fleuve sacrĂ©, porteur d’esprit et de vie.

Le retour vers le parking se fait lentement, En levant les yeux, on aperçoit parfois les silhouettes des rapaces planant dans les courants ascendants — un ballet aĂ©rien au-dessus d’un paysage figĂ© par le temps.

La visite du haut des chutes offre une perspective complĂ©mentaire Ă  celle de la veille : ici, plus de proximitĂ© physique avec la puissance brute de l’eau, mais une lecture d’ensemble, presque gĂ©ologique, du territoire. Un panorama qui raconte Ă  la fois l’histoire de la Terre et celle des hommes qui vivent de ses eaux.

#RuacanaFalls #KuneneRiver #Namibia #Angola #Geology #VolcanicLandscapes #Waterfalls #Kaokoland #BorderView #TravelNamibia #NatureAndScience #EarthHistory

FAUNE ET FLORE

Agama anchietae

scinque rayé commun

guĂȘpier nain (Merops pusillus,

varan du Nil

bulbuls Ă  oreillons rouges

babouins chacma du Kaokoland, Papio ursinus ruacana,

VIDEOS  

AUTRES ARTICLES SUR la Namibie Ă  DISPOSITION :

Vous trouverez sur ce site de nombreux articles qui traitent des lieux Ă  ne pas manquer en Namibie.
vous pouvez faire une recherche par nom de ville en utilisant la loupe en haut à droite ou retrouver la liste complÚte en suivant ce lien : ARTICLES VILLES DE NAMIBIE

La Cuisine 

Toutes les informations, par région sur la gastronomie namibienne en suivant ce lien : La Cuisine namibienne

Nom du restaurant Type / Ambiance Prix moyen (NAD) Note Google Téléphone
LG Bar & Restaurant Bar-restaurant convivial 100 – 200 ⭐ 4.3 / 5 +264 65 224 415
Oshakati Guesthouse Cuisine locale & internationale 150 – 250 ⭐ 4.2 / 5 +264 65 224 659
SOS CLUB OSHAKATI Restaurant-bar animĂ© 120 – 220 ⭐ 4.0 / 5 +264 81 241 1703
Belle’s Pub & Grill Grillades, ambiance chaleureuse 130 – 230 ⭐ 4.4 / 5 +264 81 766 6552
Picasso Pizzeria (Sos Cljb) Pizza et plats rapides 80 – 160 ⭐ 4.1 / 5 —
M & M Restaurant Cuisine namibienne simple 100 – 180 ⭐ 4.4 / 5 +264 81 252 3797
Nandigolo Restaurant Local, modeste mais authentique 80 – 150 ⭐ 3.9 / 5 +264 81 359 2101
The Local Pub-Restaurant SpĂ©cialitĂ© grillades 120 – 200 ⭐ 4.3 / 5 +264 81 399 0250

T-Bone royal, gambas en fĂȘte : premier festin namibien au LG BAR & RESTAURANT

Premier resto en Namibie
 et forcĂ©ment, on commence par du bƓuf ! À peine arrivĂ©s Ă  Oshakati, on s’installe au LG Bar & Restaurant, une adresse locale bien connue pour ses grillades. L’accueil est aux petits soins : la serveuse nous propose le Wi-Fi, puis nous apporte une bassine d’eau chaude pour se laver les mains avant et aprĂšs le repas. Un geste simple, mais qui donne le ton — ici, on prend soin de vous.

La carte est gĂ©nĂ©reuse, bilingue, et pleine de tentations. Les ados, eux, ne rĂ©sistent pas Ă  l’appel des gambas sautĂ©es Ă  l’ail : une assiette bien garnie, nappĂ©e d’une sauce crĂ©meuse et parfumĂ©e, servie avec des frites croustillantes et une tranche de citron vert. Le tout pour N$340 — et franchement, ça les vaut.

Pour Nad et moi, c’est le T-Bone qui nous fait de l’Ɠil. À N$165, il arrive saisi Ă  point, posĂ© sur un sizzler encore fumant, accompagnĂ© de frites dorĂ©es et de lĂ©gumes verts sautĂ©s. La viande est tendre, juteuse, parfaitement grillĂ©e. On se regarde, on sourit : c’est probablement notre meilleur bƓuf depuis des mois.

En boisson, une Windhoek Premium Draught bien fraĂźche, dorĂ©e et lĂ©gĂšre, parfaite pour accompagner ce festin sans alourdir. Le tout dans une ambiance dĂ©tendue, avec un service attentionnĂ© et une vraie gĂ©nĂ©rositĂ© dans l’assiette.

#LGBarOshakati #TboneSurSizzler #GambasÀLAil #WindhoekDraught #PremiersPasEnNamibie #CuisineDuSud #RepasDeTerrain #NamibiaFoodExperience #GrillEtFrites #HospitalitĂ©Namibienne

đŸœïž Pause gourmande au Okapika Tented Camp

Entre tradition namibienne et petits plaisirs maison

Au cƓur du Kaokoland, dans ce coin paisible oĂč les collines ondulent sous le souffle du Kunene, le Okapika Tented Camp nous a offert bien plus qu’un simple hĂ©bergement : une vĂ©ritable expĂ©rience culinaire, Ă  la fois locale et gĂ©nĂ©reuse.

Nous avions optĂ© pour la formule incluant les petits-dĂ©jeuners et dĂźners — un choix que nos papilles ont applaudi dĂšs le premier jour. Le lodge propose un menu fixe pour le midi et le soir, mais une carte Ă  la demande vient complĂ©ter l’offre, avec une belle variĂ©tĂ© de plats. Et fait rare dans cette rĂ©gion reculĂ©e : tous les plats annoncĂ©s Ă©taient bel et bien disponibles, sans rupture ni compromis — un luxe discret pour les voyageurs gourmands.

Les repas se prennent Ă  l’étage, sur une terrasse couverte qui surplombe les collines environnantes. La brise lĂ©gĂšre du Kunene vient caresser les nappes, tempĂ©rant la chaleur du jour et ajoutant une touche de fraĂźcheur bienvenue. La salle du restaurant, au rez-de-chaussĂ©e, n’a rien Ă  envier Ă  la terrasse : bois sculptĂ©, tissus tissĂ©s main, objets artisanaux — une ambiance chaleureuse et soignĂ©e, oĂč chaque dĂ©tail semble pensĂ© pour le confort sans ostentation.

Le service est irrĂ©prochable : souriant, discret, et surtout ponctuel — les plats arrivent pile Ă  l’heure annoncĂ©e, ce qui tĂ©moigne d’une organisation exemplaire, mĂȘme loin des grands centres.

Pour ce premier repas, chacun a suivi son instinct :

  • Les enfants ont craquĂ© pour des lasagnes fondantes, gratinĂ©es Ă  souhait, servies avec une salade croquante aux accents citronnĂ©s. Un classique revisitĂ© avec soin, qui a fait l’unanimitĂ©.
  • Nad a choisi un chicken schnitzel, fine escalope panĂ©e, dorĂ©e Ă  la perfection, accompagnĂ©e de frites maison croustillantes. Un clin d’Ɠil aux influences germano-namibiennes, bien exĂ©cutĂ©.
  • Quant Ă  moi, j’ai optĂ© pour une Capana served with pap, un plat emblĂ©matique de la cuisine de rue namibienne. De fines tranches de bƓuf sautĂ©es aux oignons, poivrons et Ă©pices, servies sur un lit de pap — cette purĂ©e de maĂŻs blanc typique du sud de l’Afrique. Le contraste entre le pap doux et crĂ©meux et la viande Ă©picĂ©e est un dĂ©lice. Ce plat, nĂ© dans les marchĂ©s urbains de Windhoek, illustre parfaitement la fusion entre tradition africaine et influences modernes : simple, savoureux, et profondĂ©ment ancrĂ© dans le quotidien namibien.

Au Okapika Tented Camp, le dĂźner proposĂ© Ă  300 NAD nous a permis de dĂ©couvrir une cuisine simple, locale et parfaitement maĂźtrisĂ©e. Le repas commence souvent par une soupe de lĂ©gumes ou une soupe de lentilles bien relevĂ©e, idĂ©ale pour les soirĂ©es plus fraĂźches du plateau, quand la lumiĂšre dĂ©cline et que le vent du Kunene se fait sentir. Les saveurs sont franches, les Ă©pices bien dosĂ©es, et la texture veloutĂ©e rĂ©chauffe autant le corps que l’ambiance.

Le plat principal varie selon les jours, mais toujours avec une belle constance dans la qualité. Le cordon-bleu, doré et croustillant, est accompagné de chips maison et de carottes légÚrement caramélisées, apportant une touche sucrée inattendue. Le poulet grillé, quant à lui, est servi avec du Mahangu pap, une purée de millet perlé typique du nord de la Namibie. Plus rustique et granuleux que le pap de maïs, il offre une texture dense et légÚrement fumée, parfaite pour accompagner les viandes grillées. Ce plat, profondément enraciné dans les traditions agricoles du Kaokoland, incarne une cuisine de terroir à la fois nourrissante et authentique.

Le filet de bƓuf mĂ©rite une mention spĂ©ciale. Sa cuisson est impeccable, la chair tendre, et l’assiette bien Ă©quilibrĂ©e avec des pommes de terre croustillantes et des lĂ©gumes sautĂ©s aux saveurs douces et relevĂ©es. C’est un plat sans fioritures, mais exĂ©cutĂ© avec soin et prĂ©cision.

Pour terminer, le dessert joue la carte du rĂ©confort. Une banane nappĂ©e de chocolat fondant, servie tiĂšde, offre une douceur simple et gĂ©nĂ©reuse. Le gĂąteau du jour, souvent une gĂ©noise ou un cake parfumĂ©, complĂšte le repas avec lĂ©gĂšretĂ©. Rien d’extravagant, mais tout est juste, bien pensĂ©, et servi avec le sourire.

Chaque repas s’accompagne de ce supplĂ©ment d’ñme qu’on retrouve souvent en Namibie : un accueil sincĂšre, un service attentionnĂ©, et cette impression d’ĂȘtre reçu comme un invitĂ© plutĂŽt qu’un client. À Okapika, les rires qui s’échappent de la cuisine, les conversations feutrĂ©es entre les tables et la lumiĂšre dorĂ©e du soir qui glisse sur la terrasse composent une atmosphĂšre unique. DĂźner ici, c’est bien plus qu’un simple repas — c’est un moment suspendu, une parenthĂšse de calme et de chaleur dans le cƓur du Kaokoland.

La cuisine est variĂ©e, fraĂźche, et toujours marquĂ©e par une touche locale. Le service est ponctuel, discret et chaleureux, et la terrasse panoramique offre un cadre idĂ©al pour les repas du soir, quand le ciel s’embrase doucement au-dessus des collines. Le rapport qualitĂ©-prix est excellent, surtout dans une rĂ©gion oĂč l’approvisionnement peut ĂȘtre incertain. À Okapika, tout semble fonctionner avec une simplicitĂ© bien huilĂ©e, comme si l’hospitalitĂ© Ă©tait une seconde nature.

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Les HypermarchĂ©s et marchĂ©s d’Oshakati

🛒 Les HypermarchĂ©s et marchĂ©s d’Oshakati

🛒 SPAR Oshakati SupermarchĂ© bien achalandĂ©, idĂ©al pour les produits frais, viandes emballĂ©es, lĂ©gumes et Ă©picerie gĂ©nĂ©rale.

🛒 WB Supermarkets Oshakati Express ChaĂźne locale rĂ©putĂ©e, avec un bon rayon boucherie et poissonnerie. Produits de qualitĂ© et prix compĂ©titifs.

đŸ§ș Omatara Market MarchĂ© traditionnel animĂ©, parfait pour acheter des lĂ©gumes frais, du poisson local, et parfois de la viande en direct des producteurs.

🛒 Aashi Mini Market Petite surface bien notĂ©e, pratique pour les courses rapides et les produits de base.

🛒 Model Oshakati SituĂ© dans le Game Complex, ce magasin propose des produits alimentaires, notamment lĂ©gumes et viandes.

🛒 Shoprite Oshakati HypermarchĂ© bien connu avec un large choix : viandes, poissons, lĂ©gumes, produits importĂ©s et locaux. C’est ici que nous avons fait notre premiĂšre vĂ©ritable immersion dans l’approvisionnement local. DĂšs l’entrĂ©e, le contraste entre les rayons bien garnis et l’agitation extĂ©rieure nous a frappĂ©s. Nous avons explorĂ© les allĂ©es rĂ©frigĂ©rĂ©es avec curiositĂ©, dĂ©couvrant des viandes emballĂ©es sous vide, des saucisses aux noms Ă©vocateurs, des ribs marinĂ©s aux Ă©pices gĂ©nĂ©reuses, et mĂȘme des pizzas surgelĂ©es en packs familiaux. Les Ă©tiquettes dĂ©taillĂ©es, les prix au kilo, les origines affichĂ©es — tout cela nous a permis de mieux comprendre les habitudes de consommation locales, entre importation sud-africaine et production namibienne. Ce fut une expĂ©rience Ă  la fois pratique et sensorielle : observer les textures, comparer les marinades, calculer les portions pour nos repas familiaux. Une maniĂšre concrĂšte de s’ancrer dans le quotidien d’Oshakati, entre logistique culinaire et dĂ©couverte culturelle.

🛒 Oshakati Mini Market Petite Ă©picerie locale, utile pour les achats de proximitĂ©.

🛒 Multisave Supermarket Oshakati Épicerie bien notĂ©e, avec des produits frais et un bon rapport qualitĂ©-prix.

Les Banques

Dans le nord de la Namibie, entre Oshakati et Oshikango, les principales banques offrent des services complets et un bon rĂ©seau de distributeurs automatiques. Il faut cependant rester vigilant sur les frais de retrait, parfois Ă©levĂ©s : certains ATM prĂ©lĂšvent 3 % du montant retirĂ©, tandis que d’autres, comme la Standard Bank Namibia Limited, appliquent un forfait fixe de 45 NAD, quel que soit le montant.

🏩 FNB Oshakati Branch
Parmi les plus populaires du pays, cette agence propose tous les services bancaires classiques et plusieurs distributeurs. Les avis sont parfois contrastés, mais la fiabilité du réseau FNB reste un atout.

🏩 FNB Oshikango Branch & ATM
Située à la frontiÚre, cette agence FNB est pratique pour les retraits avant de passer en Angola ou en Namibie. Attention toutefois : les frais de 3 % y sont systématiquement appliqués.

🏩 Bank Windhoek – Oshakati North Agency
InstallĂ©e dans le centre commercial Etango Mall, cette banque est idĂ©ale pour combiner courses et dĂ©marches bancaires en un seul arrĂȘt.

🏩 Standard Bank Namibia Limited
PrĂ©sente dans le centre-ville d’Oshakati, cette banque est rĂ©putĂ©e pour son sĂ©rieux et ses distributeurs fiables. Ses frais fixes de 45 NAD par retrait peuvent cependant peser sur les petits montants.

🏩 NedBank – Shoprite Mall
Située dans le centre commercial Shoprite, cette agence dispose de plusieurs guichets automatiques pratiques, mais applique elle aussi 3 % de frais sur les retraits par carte étrangÚre.

🏩 Bank of Namibia
La banque centrale du pays, à consulter pour les informations officielles, le change ou certaines démarches administratives spécifiques.

🏩 Bank Oshakati (C46)
Une agence locale bien notée, facilement accessible sur la route C46, souvent plébiscitée par les voyageurs pour la rapidité et la simplicité de son service.

💡 Conseil pratique : privilĂ©giez les retraits importants et regroupĂ©s pour limiter les frais fixes ou les commissions proportionnelles. Pensez aussi Ă  garder toujours un peu de liquide — certaines stations-service, lodges ou petits commerces n’acceptent pas encore les paiements par carte.

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LES LOGEMENTS  

🏡 Villa Graf – Ongwediva / Oshakati : une bouffĂ©e d’air frais aprĂšs l’Angola

AprĂšs plusieurs semaines d’aventure en Angola, entre routes cabossĂ©es, marchĂ©s animĂ©s et quelques coupures de courant bien senties, poser nos valises Ă  la Villa Graf d’Ongwediva ressemble presque Ă  des vacances dans les vacances. DĂšs l’entrĂ©e, le ton est donnĂ© : piscine turquoise, jardin verdoyant et silence absolu, Ă  peine troublĂ© par le chant des oiseaux et le regard curieux de bergers allemands aussi doux qu’imposants. Ils montent la garde, certes, mais avec un sens de l’accueil irrĂ©prochable (et une passion Ă©vidente pour les gratouilles).

La villa privĂ©e est un vrai cocon : climatisation, Wi-Fi qui fonctionne sans acrobaties, tĂ©lĂ© Ă©cran plat, salle de bains impeccable, et surtout une cuisine toute Ă©quipĂ©e – four, plaques et micro-ondes – un luxe aprĂšs des semaines d’Airbnb ou de rĂ©servations Booking faisant dĂ©faut d’Ă©quipement. On retrouve ici le plaisir simple de prĂ©parer un repas dans le calme, avec une biĂšre fraĂźche !

Le jardin est superbe : citronniers, figuiers, grenadiers, sans oublier les plantes aromatiques – menthe, persil, basilic, aneth – parfaites pour redonner un peu de couleur à nos assiettes. On s’y promùne comme dans un petit paradis botanique, entre deux plongeons dans la piscine.

Les hĂŽtes sont d’une gentillesse rare, toujours disponibles sans ĂȘtre envahissants. Le salon commun, la terrasse ombragĂ©e et le bar complĂštent ce cadre chaleureux, idĂ©al pour un apĂ©ro au coucher du soleil ou un moment d’échange avec d’autres voyageurs.

CĂŽtĂ© pratique, rien Ă  redire : parking sĂ©curisĂ©, propriĂ©tĂ© clĂŽturĂ©e, connexion Wi-Fi stable. En bonus, la Villa Graf se trouve Ă  seulement 10 km du Oshakati Golf Club et 42 km du Uukwambi King’s Monument, parfait pour quelques escapades locales.

AprĂšs l’intensitĂ© de l’Angola, la Namibie nous accueille ici avec douceur et confort. Nous savourons pleinement cette halte paisible, un vrai moment de rĂ©pit sur notre route vers le sud.

TARIF 5000 NAD pour 4 nuits

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Okapika Camp — Escale au bord du Kunene

Nous quittons Oshakati, encore tout rafraüchis par la piscine de la Villa Graf, direction Ruacana et les rives du Kunene. La route ? Un vrai bonheur : goudron nickel, paysages paisibles, et juste ce qu’il faut de virages pour ne pas s’endormir. Au panneau C46/D3621 Oshifo, on sait qu’on y est presque : Okapika Camp, notre repaire du jour.

À l’arrivĂ©e, accueil royal : un grand sourire et un verre de jus de fruits frais pour nous remettre de la route. On dĂ©couvre nos bungalows sous toit de chaume — confortables, spacieux et joliment dĂ©corĂ©s.

Chaque porte en bois sculptĂ© arbore le nom d’un animal : la hyĂšne pour nous (on ne sait pas trop si c’est un compliment 😄) et le buffalo pour les enfants. À l’intĂ©rieur, tout est pensĂ© pour le repos du voyageur : eau chaude (ĂŽ bonheur !), lits moelleux, et le doux parfum du bois travaillĂ© qui donne envie de ne plus repartir.

Le camp respire la sĂ©rĂ©nitĂ© : une piscine turquoise qui brille au soleil, un bar-restaurant parfait pour prolonger la soirĂ©e sous les Ă©toiles, du Wi-Fi (quand les esprits du rĂ©seau sont de bonne humeur) et un parking privĂ© pour notre 4×4 poussiĂ©reux.

Et la surprise du chef ? Le patron est
 un Ch’ti de Halluin, ancien de la DGSE ! Entre histoires d’espionnage et accent du Nord, on refait le monde autour d’un verre, en plein cƓur du bush namibien. Une scùne improbable, mais totalement savoureuse.

Okapika, c’est l’étape rĂȘvĂ©e avant de filer vers les cascades de Ruacana, la riviĂšre Kunene ou les pistes du Kaokoland.

Un camp convivial, plein de charme et d’histoires, oĂč il fait bon poser les valises, barboter un peu et Ă©couter le vent du dĂ©sert raconter la suite du voyage.

Ce matin-lĂ , pendant que les humains hĂ©sitaient entre cafĂ© et plongeon, un petit sniper Ă  plumes avait dĂ©jĂ  pris position. PerchĂ© sur une branche nue, le guĂȘpier nain (Merops pusillus, sous-espĂšce mĂ©ridionale, mais avec l’attitude d’un gĂ©nĂ©ral), scrutait l’horizon avec la concentration d’un agent secret en mission.

On s’attendait Ă  croiser quelques lĂ©zards discrets, bien camouflĂ©s dans les tons beige du Kaokoland. Mais non. À Ruacana, c’est un mĂąle Agama anchietae qui a dĂ©boulĂ© sur le sable comme une rockstar en tournĂ©e. TĂȘte turquoise, gorge bleu Ă©lectrique, dos tachetĂ© de rouge comme un graffiti sur mur d’école — ce lĂ©zard n’était pas lĂ  pour se fondre dans le dĂ©cor, mais pour le redĂ©corer.

Ce matin-lĂ , Ă  Ruacana, le soleil monte rapidement au-dessus des mopanes et inonde de chaleur la cour sablonneuse . Le sable, encore tiĂšde, se couvre de reflets dorĂ©s. Alors que je longe la terrasse en bois, un mouvement discret attire mon regard : un petit reptile file d’une ombre Ă  l’autre, dans un Ă©clat mĂ©tallique. L’observation commence.

L’individu s’immobilise un instant, parfaitement exposĂ© Ă  la lumiĂšre. Sa peau lisse brille comme vernie — un signe distinctif des scinques du genre Trachylepis. Le corps est allongĂ©, effilĂ©, de teinte brun sable ponctuĂ©e de reflets dorĂ©s, traversĂ© de rayures sombres continues qui s’étendent du museau Ă  la queue. Ces lignes nettes, associĂ©es Ă  la brillance des Ă©cailles et Ă  la fuite fulgurante vers le couvert, ne laissent guĂšre de doute : il s’agit de Trachylepis striata, le scinque rayĂ© commun, un petit saurien typique des savanes d’Afrique australe.

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ArrivĂ©e Ă  Epupa Falls Lodge — immersion joyeuse au bord du Kunene

Ça y est, nous y sommes. AprĂšs les montagnes russes de la piste Ruacana–Epupa, le fleuve Kunene nous accueille avec ses premiers murmures. Avant mĂȘme d’apercevoir les chutes, on sent que quelque chose change : l’air devient plus dense, plus vibrant, et la poussiĂšre rose retombe doucement sur les rochers comme pour nous souhaiter la bienvenue.

On gare le Raptor, on descend les sacs, et en quelques pas, nous franchissons la derniĂšre palissade. LĂ , posĂ© au bord du fleuve, l’Epupa Falls Lodge nous attend, comme une halte paisible au bout du monde. Le cadre est tout simplement magique : palmiers gĂ©ants, rochers sculptĂ©s, riviĂšre en contrebas, et ce chant sourd des chutes qui ne nous quittera plus.

Le lodge ne cherche pas Ă  impressionner par le luxe, mais par l’essentiel : cinq chalets avec vue sur le fleuve, des bungalows accessibles, un vaste espace de camping, et surtout une atmosphĂšre qui respire la nature. Nous avons pris deux bungalows pour quatre personnes — mĂȘme si, surprise Ă  l’arrivĂ©e, un seul aurait suffi : chaque unitĂ© dispose de deux chambres sĂ©parĂ©es, un dĂ©tail que Booking avait omis. Mais qu’importe, le lieu compense largement les petits ratĂ©s logistiques.

L’accueil est discret, presque timide. Il faut chercher un visage disponible, pas de jus de bienvenue ni de sourire appuyĂ©. Mais une fois les clĂ©s en main, le charme opĂšre. Les chambres sont simples mais soignĂ©es : literie correcte, moustiquaires bien nouĂ©es, douche fonctionnelle, et une dĂ©co boisĂ©e qui joue la carte du rustique chic. Le lodge fonctionne en autonomie : panneaux solaires, gestion raisonnĂ©e de l’eau, et une Ă©quipe locale impliquĂ©e dans chaque geste du quotidien.

On s’attend Ă  tout en arrivant Ă  Epupa Falls Lodge : des chutes rugissantes, des palmiers gĂ©ants, des moustiquaires bien nouĂ©es, et mĂȘme un Wi-Fi mesurĂ© au mĂ©gabit. Mais ce qu’on n’avait pas prĂ©vu, c’est la prĂ©sence d’un locataire Ă  sang froid, parfaitement intĂ©grĂ© au dĂ©cor.
Dans les herbes hautes, entre les bungalows et les tuyaux d’arrosage, un varan du Nil adulte se faufile avec l’élĂ©gance d’un espion reptilien. Peau sombre mouchetĂ©e de jaune, queue puissante, dĂ©marche souple
 il ne cherche pas la bagarre, juste un coin d’ombre et un peu de tranquillitĂ©. On le surprend parfois en train de longer les murs, ou de s’immobiliser dans les feuilles mortes, comme s’il attendait qu’on lui apporte le menu du jour.

Le matin, la lumiĂšre rase sur le fleuve rĂ©vĂšle les raies blanches de la turbulence. Le soir, les rochers renvoient des reflets cuivrĂ©s, et le chant des chutes devient une berceuse. Depuis la terrasse, on lit, on rĂȘve, on Ă©coute. Autour, quelques baobabs dressent leurs silhouettes sculpturales, et des sentiers courts mĂšnent Ă  des belvĂ©dĂšres oĂč l’on embrasse toute la puissance du Kunene.

Et puis, il y a la piscine, bien entretenue, Ă  la tempĂ©rature parfaite pour se dĂ©lasser aprĂšs la piste. On peut mĂȘme s’offrir un massage en plein air, Ă  deux pas de l’eau, pour 350 NAD l’heure — un luxe simple, mais dĂ©licieux.

À Epupa Falls Lodge, on s’attend Ă  croiser des varans furtifs, des agames cabotins, et des voyageurs en quĂȘte de Wi-Fi dosĂ©. Mais ce matin-lĂ , ce sont deux bulbuls Ă  oreillons rouges qui ont volĂ© la vedette — perchĂ©s Ă  quelques mĂštres de la piscine, l’Ɠil vif et le plumage impeccable.

le Wi-Fi fonctionne vraiment
 mais attention, ce n’est pas du streaming illimitĂ© : comptez 40 NAD pour 250 Mo. De quoi envoyer vos plus belles photos sans faire exploser la bande passante du bush.

Le restaurant propose une cuisine locale généreuse, incluse dans notre formule (13 235 NAD pour deux nuits, dßner et petit-déjeuner compris). On mange bien, on mange frais, et on mange avec vue.

Au moment de partir, on emporte plus qu’un reçu ou des photos. On repart avec une sensation de calme retrouvĂ©, une admiration pour ceux qui vivent au rythme du fleuve, et le sentiment d’avoir participĂ©, Ă  notre mesure, Ă  un tourisme respectueux et conscient.

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