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La culture Vodoun Migan – Porto-Novo BENIN +

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Nous avons parcouru les Places Vodoun Migan de Porto-Novo, véritables points névralgiques de la culture béninoise, où se mêlent histoire, spiritualité et traditions ancestrales. Dès notre arrivée, nous avons ressenti une atmosphère chargée de mystère, où les symboles et les autels, minutieusement sculptés et gravés sur les murs, témoignent de croyances millénaires. En nous promenant sur ces places, nous avons observé une architecture modeste, mais emplie de sens, qui s’intègre harmonieusement au tissu urbain de la ville. Chaque recoin semble raconter l’histoire d’une civilisation résiliente, marquée par la pratique des rituels vodoun, où les offrandes et les danses traditionnelles sont encore présentes et vivantes.

Nos guides nous ont transmis des anecdotes fascinantes sur l’origine de ces lieux, évoquant notamment comment les esprits y étaient invoqués pour protéger la communauté et guider les destinées. Nous avons appris que ces espaces sacrés, jadis animés par des cérémonies grandioses, étaient le théâtre d’un dialogue constant entre les anciens et le présent, préservant la mémoire d’un passé riche et complexe.

Intégrés dans les circuits touristiques de Porto-Novo, ces places offrent aux visiteurs l’opportunité de comprendre la profondeur des traditions béninoises et de ressentir le lien indéfectible entre l’homme et la nature. Chaque pierre, chaque inscription semble porter le poids d’une histoire, d’un héritage qui continue d’inspirer et d’éduquer. Nous repartons de ce lieu avec l’impression d’avoir touché du doigt l’essence même d’un peuple fier et résilient, et avec la certitude que ces espaces sacrés resteront à jamais des témoins précieux de la riche civilisation vodoun qui anime le Bénin.

Nous avons parcouru avec fascination les quatre places emblématiques du centre Vodoun Migan à Porto-Novo, chacune dévoilant à sa manière les strates de l’histoire et de la culture béninoise.

LA PREMIERE PLACE MIGAN – Fresques murales 

Nous avons découvert sur la première place une série de fresques sculpturales fascinantes qui, en utilisant différents matériaux – métal, mosaïque, et même des sculptures intégrées dans l’épaisseur des murs – racontent l’histoire de notre ville. Dès notre arrivée, nous avons été captivés par la première partie des œuvres, qui représentent la colonisation française à travers des figures militaires minutieusement détaillées. Le métal étincelant, disposé avec précision, et les mosaïques aux couleurs vibrantes semblent donner vie aux uniformes et insignes, illustrant le passage tumultueux des envahisseurs. Chaque détail nous plonge dans une époque où le choc des civilisations laissait des traces indélébiles sur le paysage urbain.

En nous dirigeant du côté du palais royal, nous avons découvert une autre série de fresques d’une élégance saisissante. Ici, les représentations de la famille royale et de sa suite se dévoilent dans un relief impressionnant, sculpté directement dans l’épaisseur des murs. Les figures majestueuses, rendues avec une finesse inouïe, évoquent les fastes d’une cour qui a marqué l’histoire de la région. La mosaïque utilisée dans ces fresques apporte une profondeur de lumière et de couleur qui contraste avec la sobriété du métal, créant ainsi un dialogue visuel entre tradition et modernité.

Chaque œuvre nous a raconté une histoire ; notre guide nous a expliqué que ces fresques, conçues par des artistes locaux inspirés par les événements historiques, font partie intégrante d’un circuit touristique qui permet de parcourir les grandes étapes de l’histoire de la ville. Nous avons appris que, sur cette place, les plaques en laiton incrustées dans le trottoir retracent les dates marquantes de l’abolition de l’esclavage, ajoutant une dimension de mémoire collective à cet ensemble artistique.

En arpentant la place, nous avons ressenti la force d’un héritage qui se perpétue à travers l’art : les fresques militaires nous rappellent les conquêtes et les influences extérieures, tandis que celles du côté du palais royal célèbrent la grandeur et la continuité de la vie aristocratique. Chaque matériau utilisé – qu’il s’agisse de métal, de mosaïque ou de sculptures intégrées – témoigne d’un savoir-faire ancestral et d’une volonté de transmettre l’histoire par des gestes artistiques puissants.

 

Nous quittons cette première place avec l’impression d’avoir parcouru un musée à ciel ouvert, où le passé se dévoile dans toute sa splendeur et sa complexité. Notre circuit touristique nous a permis d’appréhender non seulement les grandes dates et événements, mais aussi les sentiments et les valeurs qui continuent de façonner l’identité de notre ville. Nous repartons avec le cœur chargé de souvenirs, convaincus que ces fresques sculpturales incarnent l’âme d’une civilisation qui se réinvente sans cesse, tout en honorant son riche héritage historique.

LA SECONDE PLACE ET LE ZANGBETO

Nous avons été fascinés par l’agencement de la place du temple du Zangbeto, un lieu sacré où se déploient diverses représentations physiques de ce gardien ancestral. En nous approchant du temple, nous avons pu observer plusieurs statues et figures rituelles, chacune interprétant le Zangbeto selon des nuances propres à leur culture. Ces représentations, à la fois impressionnantes et empreintes de symbolisme, nous rappellent que le Zangbeto n’est pas seulement une figure du passé, mais occupe encore aujourd’hui une place importante dans notre société en tant que gardien de la sécurité.

Nous avons appris que, dans la tradition locale, le Zangbeto est invoqué pour maintenir l’ordre et pour remettre les auteurs d’infractions aux forces républicaines, un rôle qui souligne sa fonction protectrice. Pourtant, malgré cette responsabilité, il conserve également certains privilèges qui lui sont accordés : il assure les premiers services d’interrogatoire, offrant ainsi une forme de médiation entre la justice traditionnelle et les institutions modernes. Ces privilèges témoignent de l’importance persistante de cette figure dans le maintien de l’ordre social et la préservation des valeurs ancestrales.

Nous avons découvert sur cette place une œuvre murale fascinante dédiée au Zangbeto, ce gardien ancestral dont la présence imprègne la culture béninoise. L’installation, composée d’écrans d’ordinateur et de télévision, bien que tous éteints et inutilisés, occupe une place symbolique majeure. Ces écrans, malgré leur inactivité, servent de métaphore visuelle à l’omniprésence du Zangbeto dans notre quotidien, rappelant que, même dans un monde moderne, l’esprit et la tradition restent profondément ancrés dans la mémoire collective.

Au fil de notre visite, nous avons constaté que le temple du Zangbeto et la fresque adjacente forment un ensemble harmonieux qui illustre parfaitement l’interconnexion entre tradition et modernité. Chaque détail, chaque inscription et chaque représentation nous a permis de mieux comprendre la richesse d’un héritage culturel qui continue d’influencer la vie quotidienne. Nous repartons de ce lieu avec une profonde admiration pour ce gardien ancestral, convaincus que, malgré les évolutions du monde contemporain, le Zangbeto demeure un symbole vivant de protection, de justice et de continuité historique.

LA TROISIEME PLACE – LES CEREMONIES VODOUN

Sur la troisième place, nous avons découvert des œuvres murales qui célèbrent la grandeur des royaumes ancestraux du Bénin. Les motifs géométriques et les symboles sacrés, minutieusement gravés dans la pierre, évoquent la royauté, la spiritualité et l’harmonie avec la nature. Notre guide nous a confié que ces représentations, réalisées par des artistes locaux inspirés des anciennes traditions, illustrent la continuité culturelle et l’importance de ces anciens royaumes dans l’identité béninoise. C’est ici que se situe la salle des cérémonies.

Nous avons également observé la salle des cérémonies avec une émotion intense, car cet espace, chargé de symbolisme et de traditions ancestrales, incarne la mémoire vivante de la communauté. Bien que nous n’ayons pas assisté aux cérémonies elles-mêmes – celles-ci ayant eu lieu la semaine précédant notre arrivée – nous avons pu visionner une vidéo présentée par notre guide, qui nous a offert un éclairage saisissant sur le rituel des crânes. Dans ce rituel, les corps des membres de la dynastie sont inhumés, mais la tête, enveloppée dans un linceul soigneusement maintenu droit, finit par se détacher naturellement avec le temps. Ainsi, le crâne, libéré de ses chairs, est récupéré et, tous les cinq ans, il est ressorti pour être honoré par chaque famille sur une période d’un mois fixée par le Fâ. Cette pratique, aussi mystérieuse que poignante, symbolise la continuité et la résilience de la mémoire collective.

En parcourant cette place nous avons été fascinés par les reliefs en pierre et les inscriptions gravées qui ornent les murs, autant de témoignages d’un savoir-faire transmis de génération en génération. Chaque détail architectural participe à un dialogue silencieux entre l’homme et l’esprit, rappelant que le rituel n’est pas seulement un acte de commémoration, mais aussi une célébration de la vie et de la transmission des valeurs ancestrales. La vidéo que nous avons visionnée nous a permis de mieux comprendre la complexité des gestes rituels, des chants solennels et des offrandes, qui, ensemble, marquent cette communion entre le passé et le présent.

Au-delà de l’aspect spirituel, nous avons appris que cet ensemble cérémoniel s’inscrit dans un circuit touristique culturel de Porto-Novo, qui permet aux visiteurs de découvrir l’histoire de la région et l’influence des anciennes dynasties. Nous avons été particulièrement sensibles aux anecdotes racontées par notre guide, qui nous a expliqué comment, jadis, les communautés se rassemblaient dans un silence empreint de respect pour célébrer leurs ancêtres et renforcer les liens familiaux et communautaires. Ces récits, mêlés aux éléments architecturaux – des structures de pierre patinées par le temps, aux autels modestes mais riches en symboles – nous ont profondément marqués.

Nous nous sommes dirigés vers le temple Yoho, situé sur cette même  place, juste à côté de la salle des cérémonies. Dès notre arrivée, nous avons été saisis par l’atmosphère solennelle qui règne dans ce lieu sacré, où les objets rituels se dévoilent comme les témoins silencieux d’un passé riche en traditions. Nous avons découvert que le temple abrite une collection impressionnante d’objets utilisés lors des cérémonies ancestrales. Parmi eux, des jarres destinées aux porteuses d’eau, dont la robustesse et la forme ancienne nous rappellent l’importance de l’eau dans les rituels de purification, ainsi que des instruments musicaux, dont les sonorités traditionnelles semblent encore vibrer dans l’air, évoquant les chants et danses qui accompagnaient jadis ces cérémonies. Nous avons également été fascinés par une série de fétiches mystérieux, symboles de protection et de pouvoir, qui confèrent à ce temple une dimension mystique et intemporelle.

En nous promenant dans le temple, nous avons écouté avec attention notre guide nous expliquer comment ces objets étaient utilisés lors des rituels, et comment ils témoignent de l’évolution d’une civilisation qui a su préserver ses traditions malgré le passage du temps. Chaque pièce, chaque détail architectural du temple Yoho, qu’il s’agisse de ses murs en pierre patinés par les siècles ou de ses espaces consacrés aux offrandes, nous a permis de nous immerger dans un univers où le sacré et l’ancien se mêlent intimement à la vie quotidienne.

Ce moment de découverte s’inscrit dans un circuit touristique qui nous offre la possibilité de comprendre en profondeur l’histoire et la culture de la région. Nous sommes repartis de ce lieu avec le sentiment d’avoir touché du doigt l’âme d’une tradition vivante, convaincus que les objets rituels du temple Yoho, par leur symbolisme et leur beauté, perpétuent l’héritage spirituel de nos ancêtres.

En repartant, nous étions animés par la conviction que ce rituel, bien que mystérieux, représente un héritage précieux. Il incarne la volonté d’un peuple de ne jamais oublier ses origines, et chaque pierre, chaque inscription, chaque geste rituel nous a permis de toucher du doigt l’âme d’une civilisation résiliente et fière. Nous avons emporté avec nous non seulement des souvenirs visuels, mais aussi une véritable leçon de vie, convaincus que la force des traditions, même les plus ésotériques, continue d’inspirer et de renforcer le lien entre les générations

LA QUATRIEME PLACE – L’IROKO SACRE

Enfin, la quatrième place se dévoile autour de l’iroko sacré, un arbre majestueux qui trône au cœur du lieu, véritable témoin vivant de traditions millénaires. C’est ici, au pied de cet arbre sacré, que nous avons appris que les Rois prêtent serment en touchant, à six reprises avec le pied gauche, la racine, tout en formulant des vœux pour la communauté. Nous avons été fascinés par ce rituel, qui symbolise l’engagement solennel des dirigeants envers leur peuple, un moment empreint de spiritualité et de gravité qui se perpétue depuis des générations.

Autour de la place, nous avons remarqué plusieurs représentations murales qui immortalisent cette tradition ancestrale. Ces fresques, réalisées avec soin par des artistes locaux, illustrent la scène du serment, les mains levées en prière et les gestes rituels qui se répètent au fil du temps. Chaque coup de pinceau semble raconter une histoire, un fragment du passé où la sagesse et le pouvoir se transmettaient par des gestes symboliques. Nous avons ressenti une profonde émotion en contemplant ces œuvres, véritables ponts entre l’ancien et le contemporain.

De plus, nous ne pouvions ignorer la présence subtile du Legba, gardien des chemins et protecteur de la communauté, dont l’esprit veille sur ce lieu, même s’il n’est pas physiquement représenté. Selon la tradition, Legba est l’intermédiaire entre le monde des vivants et celui des esprits, garantissant la sécurité et l’harmonie au sein du groupe. Cette croyance, profondément enracinée dans la culture locale, confère à la place une aura mystique et rassurante, un symbole de protection perpétuelle pour la communauté.

En parcourant ce site, nous avons pris conscience que ce lieu ne se contente pas d’être un simple espace public, mais qu’il constitue également un circuit touristique riche en histoire et en symboles. Nous avons été invités à écouter les récits de nos guides, qui nous ont expliqué en détail comment le rituel du serment et les représentations murales témoignent de l’importance de la transmission des valeurs ancestrales. Chaque pas sur cette place nous permettait de nous immerger dans une tradition vivante, où la nature, la spiritualité et l’histoire se mêlent pour offrir une expérience unique.

En quittant ce lieu, nous emportons avec nous le souvenir indélébile de l’iroko sacré et du serment solennel, convaincus que, même dans un monde en perpétuelle évolution, ces rituels et ces symboles continueront de préserver l’âme de la communauté et de rappeler aux générations futures l’importance du lien entre le passé et le présent.

FAUNE ET FLORE

VIDEOS sur Porto-Novo et  environs

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La Cuisine au Bénin

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RESTAURANT L’ENDROIT BY OLABISSI

SAUCE GOMBO DU CHEF

Après notre visite du palais royal de Toffa IX, nous avons décidé de déjeuner au restaurant L’Endroit by Olabissi, situé sur l’avenue William Ponty à Porto-Novo. Dès notre arrivée, nous avons été agréablement surpris par le cadre soigné et aéré de l’établissement. Les tables, disposées avec goût, invitaient à la détente, et l’immense sourire de la serveuse a immédiatement égayé notre journée.

La carte, riche et variée, proposait une belle sélection de plats africains et internationaux. Nous avons opté pour des escalopes de poulet à la crème et aux champignons, qui se sont révélées délicieuses. De plus, la sauce gombo du chef, accompagnée de poisson, crabe, crevettes et fromage peul, était une véritable découverte culinaire.

L’ambiance chaleureuse et le service attentionné ont rendu notre expérience encore plus agréable. Nous avons été particulièrement touchés par l’accueil du propriétaire, Gilles, qui s’est assuré que tout se déroulait parfaitement.

En somme, L’Endroit by Olabissi est une adresse que nous recommandons vivement à tous ceux qui souhaitent savourer une cuisine de qualité dans un cadre convivial à Porto-Novo. Nul doute que nous y retournerons lors de notre prochain passage dans la capitale administrative.

RESTAURANT ART RESIDENCE PORTO-NOVO

Nous avons découvert le Restaurant Art Residence à Porto-Novo, un lieu qui nous a véritablement séduits par son cadre élégant et moderne. Nous avons été immédiatement impressionnés par la terrasse à l’étage qui offre une vue panoramique sur la ville, ainsi que par la superbe piscine qui invite à la détente. Le décor contemporain se mêle harmonieusement aux touches d’inspiration locale, témoignant d’une volonté de marier tradition et modernité. Nous avons particulièrement apprécié le service très soigné et l’accueil chaleureux qui nous ont mis en confiance dès notre arrivée.

La carte, quant à elle, nous a initialement enthousiasmés par sa diversité et sa qualité, mettant à l’honneur des plats qui promettaient un véritable voyage culinaire. Cependant, nous ne pouvons cacher notre déception concernant les prix pratiqués. Nous avons regretté les tarifs réellement prohibitifs pour les boissons : la petite béninoise de 33 cl était affichée à 3500 FCFA, alors qu’en général, on la trouve entre 700 et 1500 FCFA. De même, l’eau plate à 1500 FCFA nous a semblé bien trop chère. Pour les plats, la portion de langue servie à 6000 FCFA nous paraissait insuffisante, et le croque monsieur à 6500 FCFA nous a vraiment semblé très cher payé.

Ce constat nous a conduits à penser que, malgré l’ambiance raffinée et l’excellence du cadre, le rapport qualité-prix laisse à désirer. Nous avons donc compris que l’Art Residence est un endroit idéal pour ceux qui recherchent une expérience haut de gamme et souhaitent profiter d’un cadre exceptionnel, mais que cela se fait au prix fort. Notre expérience a été un mélange de plaisir pour les sens et de réserve face aux tarifs excessifs, ce qui nous a amenés à conclure qu’il faut y aller pour le cadre et l’atmosphère unique, mais qu’il convient de bien prévoir son budget.

LES LOGEMENTS

trois chambres et salon avec balcon à Porto Novo BOOKING

Pour cette troisième étape de notre Saison XVI, nous avons choisi de nous installer en plein cœur de Porto-Novo. Contraints de revoir nos plans pour des raisons financières, nous avons opté pour un appartement qui allie confort et praticité, tout en nous permettant de rester au plus près de l’animation de la capitale béninoise.

L’appartement, spacieux et fonctionnel, dispose de trois chambres, d’un salon et d’un balcon, offrant ainsi un espace de vie agréable et suffisamment grand pour que chacun puisse s’y sentir à l’aise. La climatisation est un véritable atout, surtout dans cette région où la chaleur peut être intense. La cuisine bien équipée, avec un réfrigérateur et un four, nous permet de préparer nos repas, un aspect essentiel pour gérer notre budget tout en profitant des saveurs locales.

L’un des autres avantages de cet hébergement est sa connexion Wi-Fi gratuite, indispensable pour rester connectés et organiser nos prochaines étapes. Le parking privé est également un plus, facilitant nos déplacements sans avoir à nous soucier de la sécurité de notre véhicule.

Bien que nous soyons loin du littoral et de la piscine de notre précédente résidence, cet appartement en centre-ville nous offre une immersion totale dans la vie porto-novienne. Nous profitons de cette proximité pour explorer l’héritage historique et culturel de la ville, des musées aux marchés animés, en passant par les temples vaudou et les vestiges coloniaux.

L’aéroport international de Cotonou se trouvant à 42 km, notre point de chute reste bien desservi, ce qui nous laisse une certaine flexibilité pour nos futurs déplacements. Même si ce choix d’hébergement est avant tout une décision pragmatique, il s’avère être une opportunité précieuse pour mieux comprendre et apprécier Porto-Novo, une ville au patrimoine fascinant et à l’atmosphère singulière.

 

LES LIENS

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