Colinas Canyons : traversée minérale du Namib Desert Angola +
Colinas Canyons : traversée minérale entre silence, lumière et mémoire
Nous quittons Namibe de bon matin. Le soleil, encore bas sur l’horizon, dore déjà les crêtes mouvantes du désert. La route s’étire droit devant nous, traversant un océan minéral où seules quelques touffes d’herbes sèches résistent au vent. À mesure que nous avançons, les contours du paysage se précisent, et les couleurs passent du beige au cuivre, puis à l’ocre profond. C’est une terre de silence et de lumière, où chaque ondulation semble porter la mémoire du vent.
Pierres offertes au vent : halte initiatique à Rock Malgorzata i Marcin
La première halte, discrète et étonnante, porte le nom poétique de Rock Malgorzata i Marcin. Pour y entrer, il faut déposer une pierre sur un tas d’autres — geste symbolique, peut-être, comme une offrande silencieuse à ce lieu façonné par le temps. Au retour, nous réglons 2000 kwanzas pour nous quatre, sans ticket ni formalité, juste un échange de regards et de poussière. Le vent a sculpté ici une succession de formations rocheuses étranges, presque humaines. Certaines évoquent des silhouettes figées, des visages pétrifiés dans la pierre. Nous grimpons sur les roches striées pour embrasser du regard la vastitude du désert : une étendue de sable et de schiste à perte de vue, ponctuée de quelques acacias tordus et de traces de reptiles effacées par le vent. La lumière rasante du matin fait briller les quartz et rend l’atmosphère presque irréelle.

Un peu plus loin, nous nous arrêtons à l’ombre mouvante d’une immense arche naturelle, posée là comme un pont figé entre deux temps. Sa courbe parfaite, sculptée par des siècles de vent et d’érosion, semble défier la gravité. Le soleil, encore doux à Namibe, devient ici brutal : il grimpe vite, inonde les roches de lumière crue, et fait vibrer l’air au-dessus du sable. La chaleur monte, presque palpable, et chaque pas devient plus lent, plus mesuré. Sous l’arche, nous trouvons un instant de répit. Les parois, striées de rouge, d’ocre et de jaune, racontent une histoire géologique complexe, faite de dépôts, de soulèvements et de silence.
Nous poursuivons notre découverte des lieux, tantôt en voiture, tantôt à pied, avançant lentement dans ce paysage sculpté par le vent et la patience du temps. À chaque détour, les roches changent de visage : certaines dressées comme des piliers solitaires, d’autres effondrées en strates, comme des livres ouverts sur l’histoire géologique du désert. Le sable, rouge ou doré selon l’heure, souligne les contours de ces formations étranges — champignons de pierre, arches naturelles, falaises striées — qui semblent surgir d’un rêve minéral.

À pied, le contact est plus direct. On sent sous les semelles le grain du sol, la chaleur des roches, la rugosité des surfaces érodées.
Certaines formations évoquent des silhouettes humaines, d’autres des animaux figés, comme si le désert avait capturé des formes vivantes dans son souffle immobile. La lumière, changeante, révèle des nuances insoupçonnées : ocre, rouille, ivoire, parfois un éclat de quartz ou une veine sombre de schiste.
Chaque arrêt devient une scène : nous grimpons sur un promontoire, mimant la posture du guetteur ; un acacia tordu encadre une vue panoramique ; un sentier de sable serpente entre deux blocs comme une invitation à explorer plus loin.
Colinas Canyon : lecture stratifiée d’un désert en mouvement
Le Colinas Canyon entaille brutalement le plateau. Le sol se fissure, les couches de grès se dévoilent en strates colorées, et la piste plonge vers un dédale de collines et de ravines. Nous descendons prudemment à pied pour observer les parois polies par les crues saisonnières. Ici, la géologie s’exprime dans toute sa puissance : chaque couche raconte une ère, chaque teinte une transformation. Ce qui frappe, c’est la lisibilité du paysage. Les strates se succèdent comme les pages d’un livre ouvert à ciel ouvert : des bandes horizontales, parfois ondulées, aux teintes allant du beige calcaire au rouge ferrugineux, en passant par des nuances de jaune, de brun et de gris cendré. Certaines couches sont épaisses, massives, presque compactes — témoins d’une sédimentation lente et stable. D’autres sont fines, friables, parfois inclinées — signes d’un basculement, d’une compression, ou d’un épisode érosif brutal.
Observer ces strates, c’est lire une histoire sans mots : celle des dépôts successifs, des compressions géologiques, des soulèvements tectoniques, des vents et des eaux qui ont sculpté le relief. C’est aussi comprendre que ce paysage, figé en apparence, est le fruit d’un mouvement lent, profond, et toujours en cours.
Nous progressons lentement, tantôt à pied, tantôt en voiture, au cœur de ce canyon incroyable, où chaque virage révèle une nouvelle scène sculptée par le temps. Le relief se resserre, les parois se dressent de part et d’autre comme des murailles de grès, striées, effondrées, parfois surplombantes. Le sol alterne entre sable fin et plaques rocheuses, obligeant à ralentir, à descendre, à marcher, à sentir sous les pas la texture changeante du désert. La lumière, désormais haute, accentue les contrastes : les ombres se raccourcissent, les couleurs s’intensifient. Le rouge devient flamboyant, l’ocre se dore, et les couches géologiques se lisent comme une partition minérale.
Nous courons d’un rocher à l’autre, cherchant des formes familières : un champignon géant, une tête de lion, une main ouverte. Chaque formation devient un personnage, une scène, une énigme. Puis nous poursuivons notre quête — celle des strates, des plis, des ruptures, des indices géologiques qui racontent l’histoire ancienne de cette terre.
Enfin, nous voici arrivés à la fin de notre visite. Le désert ne s’est pas laissé conquérir. Il s’est laissé approcher, lentement, prudemment, avec respect. Et ce que nous emportons, ce ne sont pas seulement des images ou des coordonnées, mais une sensation : celle d’avoir été accueillis dans un monde ancien, vaste, et encore en mouvement. Une traversée faite de lumière, de pierre, de silence, et de regards partagés.
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FAUNE ET FLORE
babouins chacma (Papio ursinus griseipes)
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🍽️ Restaurants populaires à Namibe avec prix estimés
| Nom du restaurant | Cuisine | Ambiance / Particularité | Prix moyen par personne (AOA) |
|---|---|---|---|
| Restaurante Clube Náutico Mocamedes | Fruits de mer, européenne | Vue sur mer, cadre agréable | 8 000 – 12 000 AOA |
| Restaurante Liopa | Africaine, fruits de mer | Décontracté, poisson frais, service lent | 5 000 – 8 000 AOA |
| Lodge Vila Doroteia Restaurant & Bar | Internationale, locale | Service agréable, cadre tranquille | 6 000 – 10 000 AOA |
| A Grelha | Internationale | Style grill, ambiance simple | 4 000 – 7 000 AOA |
| Don Kocas Bar e Lounge Lda | Africaine, bar/pub | Ambiance lounge, musique | 3 000 – 6 000 AOA |
🍴 Clube Náutico : entre mer et gastronomie

Après notre matinée sur Praia Amélia, entre poulpe harponné et radeau improvisé, puis notre promenade dans le centre colonial et sur le Marginal, nous montons les quelques marches qui mènent à la terrasse du Clube Náutico, légèrement en hauteur, face à l’Atlantique. Le vent salin nous accueille, les palmiers bruissent, et les embarcations du port oscillent doucement en contrebas.
La carte est simple mais bien construite, avec des classiques portugais et angolais, des produits de la mer, et quelques grillades. Les prix sont relativement élevés pour Namibe, mais le cadre et la qualité des plats justifient en partie cette montée en gamme — même si l’ensemble reste un peu surcoté pour les portions et le service.
Nous commandons trois plats emblématiques :
- 🐙 Riz au poulpe : le poulpe est tendre, bien intégré dans un riz légèrement tomaté, relevé d’ail et d’huile d’olive. Les tentacules sont découpés en morceaux généreux, et le plat dégage une chaleur marine, simple et efficace.
- 🥩 Bitoque à la portuguesa : un steak grillé, surmonté d’un œuf au plat à jaune coulant, accompagné de frites dorées et d’une salade fraîche. C’est un plat populaire, roboratif, qui évoque les tavernes lisboètes autant que les cantines côtières.
- 🔥 Pincanhas de bœuf : servies en tranches épaisses, légèrement rosées, avec farofa, banane frite et une touche de citron vert. La viande est juteuse, bien saisie, et le plat s’inscrit dans une tradition de grillade lusophone, entre Brésil et Angola.
Le service est cordial, parfois un peu lent, mais l’ambiance compense : vue dégagée sur l’océan, lumière rasante, et le murmure des vagues en fond sonore. Nous partageons ce moment dans une langueur bienheureuse, entre sel, soleil et souvenirs.
🍽️ Déjeuner au Restaurante Liopa — entre grillades brésiliennes et bifanas angolaises

Sur la Marginal de Namibe, la lumière de midi fait miroiter l’Atlantique. Le vent, venu du désert, transporte une fine poussière dorée jusque sur les terrasses du front de mer. Nous venons de quitter la Baía das Pipas, ses falaises striées de rose et d’ocre, et retrouvons peu à peu la ville et son animation tranquille.
C’est là, au détour d’un virage, que le Restaurante Liopa se présente : façade modeste, enseigne discrète, et quelques tables tournées vers la mer. À l’intérieur, une salle simple, carrelée, où résonne une musique d’ambiance un peu trop présente. Mais qu’importe : l’odeur des grillades saisies au charbon nous attire irrésistiblement.
Nous commandons sans hésiter une picanha brasileira, fine tranche de bœuf grillée servie avec farofa, riz et vinaigrette, accompagnée d’une saucisse grillée. Le service est étonnamment rapide, et les plats arrivent encore fumants. La viande, un peu trop cuite cette fois, reste savoureuse, tandis que la saucisse, légèrement rosée au centre, doit retourner un instant sur le grill. Ces petites imperfections n’enlèvent rien au plaisir global : la flamme, la graisse fondue, le sel — tout évoque les churrascarias du Sud brésilien, où le feu est un art à part entière.

À côté, la bifana à la Liopa offre une autre facette de cette cuisine métissée : viande de porc marinée, oignons confits, sauce légèrement pimentée, servie non pas dans un pain mais en assiette, généreusement nappée.
Le bife da casa, plus épais, rappelle la cuisine ouvrière des ports : un morceau robuste, accompagné de riz, frites et haricots noirs. Dans sa version revisitée, le bife à la Liopa, servi sur poêle brûlante, s’enrichit d’un œuf au plat et de fromage fondu — une assiette copieuse, presque festive.
Les plats sont bien présentés : viandes grillées sur lit de riz, sauces servies à part dans de petits ramequins carrés, salades fraîches en accompagnement. Tout respire la sincérité. Entre la tendresse d’une viande bien saisie et la chaleur du riz parfumé, le Liopa réussit le pari d’unir trois héritages : la précision portugaise, la convivialité angolaise et le feu du Brésil.
Un déjeuner simple, sans prétention, mais profondément révélateur de ce triangle culinaire lusophone qui relie Lisbonne, Luanda et Rio.
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O Bar Virei Tombwa: déjeuner au musée des dunes

Pour le déjeuner à Tombwa, nous suivons les conseils locaux et nous arrêtons à O Bar Virei, un lieu atypique, à la fois restaurant, musée vivant et carnet de voyage collectif. Niché dans une rue sablonneuse, ce bar ne se contente pas de servir des plats : il raconte des histoires, conserve des traces, expose des fragments de vie.
La carte est modeste, manuscrite, parfois corrigée à la main, mais elle met à l’honneur les produits de la mer : poisson grillé, crevettes entières, calulu, choco à l’encre, cabidela pour les groupes. Les prix sont très raisonnables — 7000 kwanzas pour un poisson grillé, 4500 pour un mufete généreux — et les assiettes arrivent vite, bien garnies, colorées, parfumées. Sur notre table, des crevettes flamboyantes, citronnées, accompagnées de pommes de terre, carottes et légumes verts. Bastien observe les têtes, Margot photographie les textures.
Mais ce qui frappe, c’est le décor irréel. Les murs sont couverts d’annotations de clients, de signatures, de dates, de dessins naïfs ou poétiques.
Chaque recoin est occupé : crânes d’animaux sauvages, peaux de bêtes, tortues naturalisées, serpents séchés, coquillages, bornes kilométriques, photos de voyageurs, monnaies du monde, objets rouillés, lampes à pétrole, bois flotté, nids d’oiseaux, tableaux animaliers, arcs et flèches. C’est un musée improvisé, un cabinet de curiosités du désert, un lieu de mémoire collective.
Les clients laissent leur trace : un prénom, une date, une anecdote. Certains reviennent, d’autres sont de passage. Le bar devient archive vivante, où le sable, la mer et les récits se mêlent. Nous ajoutons notre nom sur le mur, entre deux photos d’éléphants et une carte postale venue d’Italie. Le propriétaire nous raconte l’histoire du lieu, les objets trouvés, les visiteurs marquants. C’est un moment suspendu, entre gastronomie locale et ethnographie spontanée.
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🧭 Repères de prix généraux à Namibe
| Type de repas | Description | Prix estimé en kwanzas (AOA) |
|---|---|---|
| 🍛 Repas dans un restaurant local | Plat simple (poisson grillé, funge, riz) | 2 000 – 4 000 AOA |
| 🍽️ Repas dans un restaurant moyen | Plat principal + boisson | 5 000 – 8 000 AOA |
| 🦞 Fruits de mer ou viande grillée | Langouste, crevettes, bœuf, accompagnement | 8 000 – 12 000 AOA |
| 🍷 Repas complet haut de gamme | Entrée + plat + dessert + vin | 15 000 – 25 000 AOA |
| ☕ Café ou boisson dans un bar | Café, soda, bière locale | 500 – 1 500 AOA |
Magasins Alimentation
À Namibe, tu peux tout à fait faire tes courses dans des supermarchés modernes, des marchés locaux et des commerces spécialisés pour trouver de la viande et du poisson frais 🛒🐟🥩. Voici un guide complet :
🏬 Supermarchés de type Shoprite à Namibe
- Shoprite Namibe Situé sur Avenida Hoji Ya Henda, en face du Stade Joaquim Morais, ce magasin est bien approvisionné en produits alimentaires, boissons, produits d’hygiène et surgelés. Tu y trouveras :
- Viande emballée (bœuf, poulet, parfois porc)
- Poisson congelé
- Produits importés d’Afrique du Sud
- Autres enseignes locales Bien que Shoprite soit la plus connue, Namibe compte aussi des épiceries de quartier et des mini-marchés qui proposent des produits frais, souvent à des prix plus abordables.
🧺 Marchés locaux à Namibe
- Marché municipal de Namibe C’est le cœur de l’approvisionnement local. Tu y trouveras :
- Poissons frais directement débarqués du port
- Viandes locales (bœuf, chèvre, parfois gibier)
- Fruits, légumes, épices et produits artisanaux
- Marchés de quartier Dans les zones résidentielles, plusieurs petits marchés proposent des produits frais du jour. L’ambiance est animée, et les prix sont négociables.
- Foires agroalimentaires Namibe organise parfois des foires agricoles avec des exposants de tout le pays, où tu peux acheter de la viande, du poisson, et même assister à des ventes aux enchères de bétail.
Banques
🏧 Où retirer de l’argent à Namibe
- Banques principales avec DAB :
- Banco de Poupança e Crédito (BPC) : souvent présent dans les centres urbains, avec des distributeurs accessibles 24h/24.
- Banco BAI (Banco Angolano de Investimentos) : propose des DAB modernes, parfois avec option multidevise.
- Banco BIC : bien implanté dans la région, avec des guichets automatiques dans les quartiers commerciaux.
- Zones à privilégier :
- Le centre-ville de Namibe, près des bâtiments administratifs et des commerces.
- Les stations-service
LES LOGEMENTS
O POMBAL E FILHOS Un havre de paix à Namibe : l’accueil chez Paulo Dos Santos
À notre arrivée à Namibe, nous nous sommes installés dans un charmant Airbnb, « Op » chez Paulo Dos Santos. Cet appartement de deux chambres s’est révélé être un point de chute agréable, offrant les équipements essentiels pour un séjour confortable dans l’extrême sud de l’Angola.
Nous avons apprécié la petite cuisine bien équipée, idéale pour préparer nos repas en autonomie, ainsi qu’un espace de travail fonctionnel pour organiser nos journées. Le parking gratuit sur place est un vrai plus, surtout dans une ville où les déplacements peuvent être imprévisibles.
L’extérieur est sans doute le véritable atout du logement : une arrière-cour privée propice à la détente, et une piscine qui offre des moments de fraîcheur bienvenus sous le soleil namibien.
L’appartement est climatisé, dispose d’une télévision et d’un lave-linge, ce qui nous permet de nous sentir à l’aise et de recharger nos batteries avant de reprendre la route.
Quelques points méritent cependant d’être signalés pour une expérience pleinement sereine :
- Le wifi est peu performant, mais notre hôte a fait preuve de réactivité en nous apportant une box plus puissante. Le résultat reste mitigé, ce qui s’explique par la localisation : à l’extrême sud du pays, même le réseau 4G ou 5G peut être instable.
- Il est utile de se renseigner sur les éventuelles manifestations locales, qui peuvent parfois affecter la tranquillité du quartier et limiter l’accès à certains services.
- L’ensemble est exigu, mais le prix reste raisonnable pour la région. La salle de bains, bien que fonctionnelle, gagnerait à être repensée pour améliorer l’évacuation des eaux de la douche — une simple raclette mise à disposition pourrait déjà faciliter les choses.
En somme, une halte simple mais chaleureuse, portée par un hôte attentif et un cadre propice au repos, à quelques pas des dunes et du littoral.
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