Falaises rouges et vent salé : le Flamingo Canyon approche du Namib Desert Angola +
🏜️ Namibe, entre mer, roche et résilience : première approche du désert : le Flamingo Canyon
Ce matin, nous quittons Namibe en direction du sud, vers les premières ondulations du désert du Namib et le méconnu Flamingo Canyon. La route s’étire dans un décor de sable et de vent, et très vite, la côte atlantique s’efface derrière nous. Le bleu de la mer se fond dans les rétroviseurs, remplacé par les ocres, les beiges et les rouges d’un monde minéral. Le paysage se transforme à mesure que nous avançons : les dunes se creusent, les collines s’arrondissent, et l’air devient plus sec, plus dense, presque silencieux.
Nous cherchons le Flamingo Canyon, ce creux désertique que l’on nous a décrit comme sculpté par l’érosion et le temps. Deux pistes s’offrent à nous : la première, indiquée par Google Maps, semble prometteuse mais nous mène en réalité au Phare des Flamingos, un promontoire balayé par le vent, face à l’océan. La seconde, non cartographiée, se révèle plus discrète mais plus juste : un panneau « Flamingo Lodge » surgit 2 km avant la première bifurcation. Nous décidons de suivre cette voie, plus intuitive, plus terrestre.
À l’entrée de cette piste, nous nous arrêtons. Là, dans le sable rouge, une forme étrange attire notre regard. C’est elle. La Welwitschia mirabilis, cette plante millénaire, étalée au sol comme une sculpture végétale. Ses deux feuilles, longues, effilochées, s’étendent sur plusieurs mètres, tordues par le vent, brûlées par le soleil. Elle semble à la fois morte et vivante, figée et en croissance. Nous nous approchons en silence. Margot s’accroupit, fascinée. Nous observons les cônes rouges qui émergent à sa base, les stries sur son tronc, les ombres qu’elle projette sur le sable.
Cette plante n’est pas une curiosité. Elle est une présence, une survivante. Elle ne puise pas son eau dans le sol, mais dans le brouillard — ce voile humide qui roule depuis l’Atlantique chaque matin. Elle absorbe l’humidité directement par ses feuilles, défiant les lois habituelles de la botanique. Sa lignée évolutive remonte à plus de 200 millions d’années. Elle a vu passer les continents, les climats, les civilisations. Et elle est toujours là.
Nous décidons d’emprunter en premier lieu la piste vers le phare. Très vite, le bitume disparaît, remplacé par une route de terre et de gravier qui serpente entre dunes et plateaux. Par endroits, la piste longe des lits de rivières asséchées — les cahmbas — où quelques acacias résistent à la sécheresse. On traverse parfois des zones de sable meuble, d’autres tapissées de cailloux tranchants. Le trajet exige prudence et véhicule adapté : un 4×4 est indispensable, et la progression se fait souvent à faible allure, le regard happé par l’immensité environnante.
Sur la droite, on devine la silhouette argentée de l’Atlantique ; sur la gauche, les reliefs du Parc National d’Iona dressent leur ligne dentelée. Le vent transporte une fine poussière ocre, et, au détour d’un virage, apparaissent les premiers badlands du Flamingo Canyon. Très vite, nous croisons nos premiers animaux sauvages : des outardes de Vigors, figées dans la lumière rasante, parfaitement camouflées dans les tons du sol. Leur posture altière, leur gorge noire bordée de blanc, leur silence — tout évoque une présence discrète mais souveraine.
Le canyon se révèle soudain, comme une plaie ouverte dans le désert. Des falaises de grès rose et rouge se dressent à pic, entaillées de ravines et de cheminées de fées. Les strates racontent des millénaires d’érosion, les couleurs passent du jaune pâle au rouge carmin selon la lumière. Nous descendons à pied, le sable crissant sous nos pas. Le silence est total, seulement troublé par le souffle du vent. Les parois semblent vibrer de chaleur, et les ombres s’étirent lentement dans le lit du canyon.
Sous nos yeux, un décor géologique s’anime : couches de sédiments marins, traces fossilisées d’anciens dépôts, et, au détour d’un virage, des concrétions sculptées par le ruissellement. Ce paysage, comparable aux formations du Fish River Canyon en Namibie, témoigne de la rencontre entre la mer ancienne et les vents du désert.
La piste se poursuit jusqu’au phare. Là-haut, la vue est saisissante. Devant nous, l’Atlantique s’étale comme une plaque d’argent, bordée de falaises abruptes. Le Flamingo Lodge apparaît en contrebas, minuscule, posé entre dunes et mer, comme un mirage structuré. Les crêtes du canyon s’étendent vers l’intérieur, entaillées de ravines, de strates inclinées. Le paysage semble à la fois figé et mouvant, sculpté par des millénaires de vent et d’eau.
Nous marchions sur les hauteurs du littoral, là où les falaises dominent l’Atlantique et où le vent sculpte le sable et les roches. Juste à côté d’un fragment corallien desséché, posé comme une relique marine, une touffe verte et dense attirait notre regard. Ses feuilles épaisses, opposées, légèrement ovales, brillaient sous le soleil. De petites fleurs jaunes à cinq pétales s’épanouissaient à leur sommet, discrètes mais éclatantes. C’était une Tetraena alba, anciennement connue sous le nom de Zygophyllum album

Puis nous rebroussons chemin pour prendre la seconde piste qui mène cette fois au Flamingo Lodge. Rapidement, nous observons une jolie antilope, isolée, peu effarouchée, immobile près d’un fourré. Son pelage fauve clair, ses oreilles dressées, sa posture alerte mais paisible évoquent une femelle steenbok solitaire. Elle nous regarde sans crainte, puis s’éloigne lentement dans les broussailles. Ce moment suspendu nous rappelle que le désert est habité, subtil, et profondément vivant.
Nous continuons d’évoluer au travers de ce paysage minéral grandiose, descendons de voiture pour nous approcher de ces roches extraordinaires. Le sol crisse sous nos pas, les formations rocheuses s’élèvent en arches, en colonnes, en strates inclinées. C’est là que nous remarquons un criquet robuste, parfaitement camouflé sur le sable chaud. Probablement un Acanthoplus discoidalis, criquet à armure, au corps hérissé et aux mandibules puissantes. Il incarne à sa manière la résilience du vivant dans le minéral. Puis, sans bruit, il bondit et disparaît derrière une pierre.
Le soleil commence à descendre, les ombres s’allongent, et nous reprenons le chemin du retour. Le Flamingo Canyon s’éloigne, mais son empreinte demeure. Cette première approche du désert de Namibe nous laisse émerveillés, silencieux, et profondément connectés à cette terre ancienne, rude et splendide.
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FAUNE ET FLORE
babouins chacma (Papio ursinus griseipes)
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🍽️ Restaurants populaires à Namibe avec prix estimés
| Nom du restaurant | Cuisine | Ambiance / Particularité | Prix moyen par personne (AOA) |
|---|---|---|---|
| Restaurante Clube Náutico Mocamedes | Fruits de mer, européenne | Vue sur mer, cadre agréable | 8 000 – 12 000 AOA |
| Restaurante Liopa | Africaine, fruits de mer | Décontracté, poisson frais, service lent | 5 000 – 8 000 AOA |
| Lodge Vila Doroteia Restaurant & Bar | Internationale, locale | Service agréable, cadre tranquille | 6 000 – 10 000 AOA |
| A Grelha | Internationale | Style grill, ambiance simple | 4 000 – 7 000 AOA |
| Don Kocas Bar e Lounge Lda | Africaine, bar/pub | Ambiance lounge, musique | 3 000 – 6 000 AOA |
🍴 Clube Náutico : entre mer et gastronomie

Après notre matinée sur Praia Amélia, entre poulpe harponné et radeau improvisé, puis notre promenade dans le centre colonial et sur le Marginal, nous montons les quelques marches qui mènent à la terrasse du Clube Náutico, légèrement en hauteur, face à l’Atlantique. Le vent salin nous accueille, les palmiers bruissent, et les embarcations du port oscillent doucement en contrebas.
La carte est simple mais bien construite, avec des classiques portugais et angolais, des produits de la mer, et quelques grillades. Les prix sont relativement élevés pour Namibe, mais le cadre et la qualité des plats justifient en partie cette montée en gamme — même si l’ensemble reste un peu surcoté pour les portions et le service.
Nous commandons trois plats emblématiques :
- 🐙 Riz au poulpe : le poulpe est tendre, bien intégré dans un riz légèrement tomaté, relevé d’ail et d’huile d’olive. Les tentacules sont découpés en morceaux généreux, et le plat dégage une chaleur marine, simple et efficace.
- 🥩 Bitoque à la portuguesa : un steak grillé, surmonté d’un œuf au plat à jaune coulant, accompagné de frites dorées et d’une salade fraîche. C’est un plat populaire, roboratif, qui évoque les tavernes lisboètes autant que les cantines côtières.
- 🔥 Pincanhas de bœuf : servies en tranches épaisses, légèrement rosées, avec farofa, banane frite et une touche de citron vert. La viande est juteuse, bien saisie, et le plat s’inscrit dans une tradition de grillade lusophone, entre Brésil et Angola.
Le service est cordial, parfois un peu lent, mais l’ambiance compense : vue dégagée sur l’océan, lumière rasante, et le murmure des vagues en fond sonore. Nous partageons ce moment dans une langueur bienheureuse, entre sel, soleil et souvenirs.
🍽️ Déjeuner au Restaurante Liopa — entre grillades brésiliennes et bifanas angolaises

Sur la Marginal de Namibe, la lumière de midi fait miroiter l’Atlantique. Le vent, venu du désert, transporte une fine poussière dorée jusque sur les terrasses du front de mer. Nous venons de quitter la Baía das Pipas, ses falaises striées de rose et d’ocre, et retrouvons peu à peu la ville et son animation tranquille.
C’est là, au détour d’un virage, que le Restaurante Liopa se présente : façade modeste, enseigne discrète, et quelques tables tournées vers la mer. À l’intérieur, une salle simple, carrelée, où résonne une musique d’ambiance un peu trop présente. Mais qu’importe : l’odeur des grillades saisies au charbon nous attire irrésistiblement.
Nous commandons sans hésiter une picanha brasileira, fine tranche de bœuf grillée servie avec farofa, riz et vinaigrette, accompagnée d’une saucisse grillée. Le service est étonnamment rapide, et les plats arrivent encore fumants. La viande, un peu trop cuite cette fois, reste savoureuse, tandis que la saucisse, légèrement rosée au centre, doit retourner un instant sur le grill. Ces petites imperfections n’enlèvent rien au plaisir global : la flamme, la graisse fondue, le sel — tout évoque les churrascarias du Sud brésilien, où le feu est un art à part entière.

À côté, la bifana à la Liopa offre une autre facette de cette cuisine métissée : viande de porc marinée, oignons confits, sauce légèrement pimentée, servie non pas dans un pain mais en assiette, généreusement nappée.
Le bife da casa, plus épais, rappelle la cuisine ouvrière des ports : un morceau robuste, accompagné de riz, frites et haricots noirs. Dans sa version revisitée, le bife à la Liopa, servi sur poêle brûlante, s’enrichit d’un œuf au plat et de fromage fondu — une assiette copieuse, presque festive.
Les plats sont bien présentés : viandes grillées sur lit de riz, sauces servies à part dans de petits ramequins carrés, salades fraîches en accompagnement. Tout respire la sincérité. Entre la tendresse d’une viande bien saisie et la chaleur du riz parfumé, le Liopa réussit le pari d’unir trois héritages : la précision portugaise, la convivialité angolaise et le feu du Brésil.
Un déjeuner simple, sans prétention, mais profondément révélateur de ce triangle culinaire lusophone qui relie Lisbonne, Luanda et Rio.
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O Bar Virei Tombwa: déjeuner au musée des dunes

Pour le déjeuner à Tombwa, nous suivons les conseils locaux et nous arrêtons à O Bar Virei, un lieu atypique, à la fois restaurant, musée vivant et carnet de voyage collectif. Niché dans une rue sablonneuse, ce bar ne se contente pas de servir des plats : il raconte des histoires, conserve des traces, expose des fragments de vie.
La carte est modeste, manuscrite, parfois corrigée à la main, mais elle met à l’honneur les produits de la mer : poisson grillé, crevettes entières, calulu, choco à l’encre, cabidela pour les groupes. Les prix sont très raisonnables — 7000 kwanzas pour un poisson grillé, 4500 pour un mufete généreux — et les assiettes arrivent vite, bien garnies, colorées, parfumées. Sur notre table, des crevettes flamboyantes, citronnées, accompagnées de pommes de terre, carottes et légumes verts. Bastien observe les têtes, Margot photographie les textures.
Mais ce qui frappe, c’est le décor irréel. Les murs sont couverts d’annotations de clients, de signatures, de dates, de dessins naïfs ou poétiques.
Chaque recoin est occupé : crânes d’animaux sauvages, peaux de bêtes, tortues naturalisées, serpents séchés, coquillages, bornes kilométriques, photos de voyageurs, monnaies du monde, objets rouillés, lampes à pétrole, bois flotté, nids d’oiseaux, tableaux animaliers, arcs et flèches. C’est un musée improvisé, un cabinet de curiosités du désert, un lieu de mémoire collective.
Les clients laissent leur trace : un prénom, une date, une anecdote. Certains reviennent, d’autres sont de passage. Le bar devient archive vivante, où le sable, la mer et les récits se mêlent. Nous ajoutons notre nom sur le mur, entre deux photos d’éléphants et une carte postale venue d’Italie. Le propriétaire nous raconte l’histoire du lieu, les objets trouvés, les visiteurs marquants. C’est un moment suspendu, entre gastronomie locale et ethnographie spontanée.
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🧭 Repères de prix généraux à Namibe
| Type de repas | Description | Prix estimé en kwanzas (AOA) |
|---|---|---|
| 🍛 Repas dans un restaurant local | Plat simple (poisson grillé, funge, riz) | 2 000 – 4 000 AOA |
| 🍽️ Repas dans un restaurant moyen | Plat principal + boisson | 5 000 – 8 000 AOA |
| 🦞 Fruits de mer ou viande grillée | Langouste, crevettes, bœuf, accompagnement | 8 000 – 12 000 AOA |
| 🍷 Repas complet haut de gamme | Entrée + plat + dessert + vin | 15 000 – 25 000 AOA |
| ☕ Café ou boisson dans un bar | Café, soda, bière locale | 500 – 1 500 AOA |
Magasins Alimentation
À Namibe, tu peux tout à fait faire tes courses dans des supermarchés modernes, des marchés locaux et des commerces spécialisés pour trouver de la viande et du poisson frais 🛒🐟🥩. Voici un guide complet :
🏬 Supermarchés de type Shoprite à Namibe
- Shoprite Namibe Situé sur Avenida Hoji Ya Henda, en face du Stade Joaquim Morais, ce magasin est bien approvisionné en produits alimentaires, boissons, produits d’hygiène et surgelés. Tu y trouveras :
- Viande emballée (bœuf, poulet, parfois porc)
- Poisson congelé
- Produits importés d’Afrique du Sud
- Autres enseignes locales Bien que Shoprite soit la plus connue, Namibe compte aussi des épiceries de quartier et des mini-marchés qui proposent des produits frais, souvent à des prix plus abordables.
🧺 Marchés locaux à Namibe
- Marché municipal de Namibe C’est le cœur de l’approvisionnement local. Tu y trouveras :
- Poissons frais directement débarqués du port
- Viandes locales (bœuf, chèvre, parfois gibier)
- Fruits, légumes, épices et produits artisanaux
- Marchés de quartier Dans les zones résidentielles, plusieurs petits marchés proposent des produits frais du jour. L’ambiance est animée, et les prix sont négociables.
- Foires agroalimentaires Namibe organise parfois des foires agricoles avec des exposants de tout le pays, où tu peux acheter de la viande, du poisson, et même assister à des ventes aux enchères de bétail.
Banques
🏧 Où retirer de l’argent à Namibe
- Banques principales avec DAB :
- Banco de Poupança e Crédito (BPC) : souvent présent dans les centres urbains, avec des distributeurs accessibles 24h/24.
- Banco BAI (Banco Angolano de Investimentos) : propose des DAB modernes, parfois avec option multidevise.
- Banco BIC : bien implanté dans la région, avec des guichets automatiques dans les quartiers commerciaux.
- Zones à privilégier :
- Le centre-ville de Namibe, près des bâtiments administratifs et des commerces.
- Les stations-service
LES LOGEMENTS
O POMBAL E FILHOS Un havre de paix à Namibe : l’accueil chez Paulo Dos Santos
À notre arrivée à Namibe, nous nous sommes installés dans un charmant Airbnb, « Op » chez Paulo Dos Santos. Cet appartement de deux chambres s’est révélé être un point de chute agréable, offrant les équipements essentiels pour un séjour confortable dans l’extrême sud de l’Angola.
Nous avons apprécié la petite cuisine bien équipée, idéale pour préparer nos repas en autonomie, ainsi qu’un espace de travail fonctionnel pour organiser nos journées. Le parking gratuit sur place est un vrai plus, surtout dans une ville où les déplacements peuvent être imprévisibles.
L’extérieur est sans doute le véritable atout du logement : une arrière-cour privée propice à la détente, et une piscine qui offre des moments de fraîcheur bienvenus sous le soleil namibien.
L’appartement est climatisé, dispose d’une télévision et d’un lave-linge, ce qui nous permet de nous sentir à l’aise et de recharger nos batteries avant de reprendre la route.
Quelques points méritent cependant d’être signalés pour une expérience pleinement sereine :
- Le wifi est peu performant, mais notre hôte a fait preuve de réactivité en nous apportant une box plus puissante. Le résultat reste mitigé, ce qui s’explique par la localisation : à l’extrême sud du pays, même le réseau 4G ou 5G peut être instable.
- Il est utile de se renseigner sur les éventuelles manifestations locales, qui peuvent parfois affecter la tranquillité du quartier et limiter l’accès à certains services.
- L’ensemble est exigu, mais le prix reste raisonnable pour la région. La salle de bains, bien que fonctionnelle, gagnerait à être repensée pour améliorer l’évacuation des eaux de la douche — une simple raclette mise à disposition pourrait déjà faciliter les choses.
En somme, une halte simple mais chaleureuse, portée par un hôte attentif et un cadre propice au repos, à quelques pas des dunes et du littoral.
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