Les trésors cachés de Santa Bárbara de Samaná Rép Dominicaine +
Depuis notre villa perchée sur les hauteurs de Las Galeras, nous partons un matin en direction de Santa Bárbara de Samaná, la capitale de la péninsule. La route est superbe : elle serpente à travers les collines verdoyantes, longe des cocoteraies sans fin, traverse de petits villages pleins de vie. Après environ une heure de route, nous atteignons la baie, spectaculaire, avec ses reflets argentés et ses embarcations dansantes.
L’arrivée à Santa Bárbara de Samaná nous plonge dans un tout autre univers. La ville, étalée en bordure de mer, est animée, colorée, vivante. On ressent tout de suite l’effervescence portuaire : les bateaux partent ou reviennent de Cayo Levantado, les pêcheurs déchargent leurs prises, et les bus touristiques côtoient les motos-taxis dans un ballet sonore incessant.
Nous commençons par flâner le long de la promenade maritime, cette rambla animée qui longe la baie comme un ruban paisible entre la mer et la ville. L’air est chargé d’embruns et de chaleur tropicale. Des bancs de bois invitent à la pause à l’ombre des palmiers élancés, tandis que des familles, des couples main dans la main, des pêcheurs curieux et quelques touristes déambulent au rythme lent de la matinée.
Le panorama est saisissant : la baie de Samaná s’ouvre devant nous comme un immense miroir, tantôt bleu acier, tantôt turquoise, selon le jeu des nuages et du soleil. À l’horizon, les silhouettes des petites îles boisées se dessinent, tandis que dans le port, quelques yachts blancs éclatants se balancent doucement à côté des bateaux de pêche colorés. Parfois, un bateau de croisière est ancré plus loin, et ses passagers rejoignent la terre en navettes, apportant un peu d’agitation supplémentaire.
De chaque côté de la promenade, l’architecture reflète l’âme de Santa Bárbara de Samaná. Ici, des maisons coloniales en bois peint, aux couleurs vives — bleu cobalt, rose tendre, vert menthe — se dressent encore fièrement, témoins d’un passé où la ville était un important port commercial. Leurs balcons ouvragés en dentelle de bois, parfois ornés de fleurs en pots ou de fanions, donnent un charme fou à l’ensemble.
Juste à côté, des constructions plus modernes ont poussé, souvent des hôtels, des restaurants ou des agences d’excursion, mais sans jamais dénaturer totalement l’ambiance. L’ensemble forme une cohabitation harmonieuse entre tradition et renouveau, entre le charme patiné des maisons anciennes et le dynamisme d’une ville tournée vers le tourisme et la mer.
Ici, tout invite à prendre son temps, à observer les passants, à écouter le clapotis des vagues contre les quais, ou encore à siroter un café dominicain sur une terrasse en observant le va-et-vient des bateaux. Cette promenade est bien plus qu’un simple chemin : c’est le cœur battant de la ville, un lieu de rencontre, de contemplation, d’échanges — un lieu où l’on ressent pleinement la douceur de vivre des Caraïbes.
Nous avons la chance d’être là un samedi matin, et l’ambiance change tout : c’est jour de marché à Santa Bárbara de Samaná. Très vite, nous nous laissons happer par le flot des habitants qui convergent vers les étals. La ville de Samaná semble battre plus fort, animée d’un joyeux tumulte mêlé de voix, de rires et de parfums entêtants. Sous les toiles colorées tendues entre les arbres ou accrochées aux façades, le marché explose en couleurs et en vie.
À chaque pas, c’est une nouvelle scène qui s’ouvre à nous. Des pyramides de mangues juteuses brillent sous la lumière du matin, leur odeur sucrée flottant dans l’air. Juste à côté, de grandes papayes orange vif sont tranchées avec adresse par les marchands, offrant à la vue leur chair tendre. Des ananas dorés, posés sur des feuilles de bananier, rivalisent de parfum. Et puis les bananes, bien sûr — de toutes tailles et variétés : petites, sucrées, plantains plus fermes, vertes ou presque noires selon leur usage.
Les vendeurs chantent presque en créole, un créole dominicain à l’intonation rapide et rythmée. Certains nous interpellent avec malice, nous faisant goûter des morceaux de canne à sucre ou des tranches de goyave, pendant que d’autres discutent en riant avec des voisins venus là, comme chaque semaine, pour faire leurs emplettes mais aussi échanger les nouvelles du quartier.
En poursuivant un peu plus loin, le marché aux poissons capte immédiatement notre attention. Une odeur iodée, puissante mais étonnamment agréable, nous guide vers un espace plus frais, ombragé, où les pêcheurs ont installé leurs bacs de glace. Là, des langoustes frétillent encore, tout juste sorties de la mer. À côté, des vivaneaux aux reflets rouges et dorés captent la lumière, couchés en rangs serrés, tandis que de gros mérous, des barracudas et quelques calamars d’un blanc nacré attendent preneurs. Le tout à des prix défiant toute concurrence.
Les gens s’y pressent, discutent, négocient, plaisantent. L’ambiance est joyeuse, détendue, locale. Pas de spectacle pour les touristes ici : c’est un vrai marché vivant, authentique, qui donne à voir une facette sincère de la vie dominicaine. On se surprend à échanger avec une grand-mère qui nous explique comment elle cuisine ses langoustes, ou à plaisanter avec un pêcheur qui nous vante la taille de ses calamars.
À la sortie, des stands de jus frais nous tendent les bras : jus de chinola (fruit de la passion), tamarin, goyave ou citron vert, servis glacés dans de grands gobelets. Une halte rafraîchissante bienvenue avant de poursuivre notre balade, encore enchantés par cette plongée au cœur de la ville, pleine de saveurs, de chaleur humaine et d’authenticité.
En s’éloignant légèrement de l’effervescence du marché, nous pénétrons dans une atmosphère plus calme, presque contemplative. Les cris joyeux des marchands s’atténuent peu à peu, remplacés par le murmure des conversations et le bourdonnement discret de la vie quotidienne. Nous arrivons devant la cathédrale Santa Bárbara de Samaná , une église modeste mais pleine de charme, au style sobre et épuré, avec sa façade blanche légèrement défraîchie par le sel et le temps.
Le bâtiment, bien que simple, respire la quiétude. Une petite place l’entoure, ombragée par quelques arbres sous lesquels des enfants jouent pendant que des femmes âgées discutent tranquillement sur un banc. Nous entrons quelques instants : à l’intérieur, l’ambiance est paisible. Quelques fidèles sont assis, silencieux, profitant de la fraîcheur du lieu et de son atmosphère recueillie. La lumière filtre doucement à travers les vitraux, donnant une sensation de pause hors du temps.
En ressortant, nous poursuivons notre découverte à travers les petites rues commerçantes qui serpentent dans le cœur de Santa Bárbara de Samaná. Ici, pas de grands centres commerciaux ni de vitrines clinquantes. Les échoppes colorées s’alignent dans un joyeux désordre : certaines vendent des souvenirs artisanaux — colliers en graines locales, sculptures sur bois, peintures naïves — tandis que d’autres proposent des vêtements, des jouets, des ustensiles de cuisine ou des produits de beauté à base d’aloe vera ou d’huile de coco.
La vie ) Samaná se déroule à un rythme tranquille, mais les rencontres y sont riches. Devant un stand de paniers en osier, une femme nous explique comment elle les tresse à la main avec des fibres de palmier. Plus loin, une autre vend des savons artisanaux parfumés à la cannelle ou à la citronnelle. Partout, les sourires sont généreux, l’accueil chaleureux.
Sous le soleil qui monte, la chaleur devient plus dense, et nous sommes heureux de croiser les vendeuses ambulantes de jus de canne ou de batidas. Elles installent leurs petits stands sur le bord des trottoirs, souvent à l’ombre d’un porche ou d’un arbre. Les batidas sont préparées à la demande, avec des fruits frais mixés — mangue, papaye, fraise, avocat — parfois avec du lait ou de la glace pilée. C’est une vraie pause gourmande, douce et rafraîchissante, idéale pour reprendre notre flânerie dans cette ville vivante, colorée et encore authentique.
Santa Bárbara de Samaná, loin du tourisme de masse, se découvre à pas lents, au fil des ruelles et des rencontres, avec la sensation constante de partager un moment sincère du quotidien dominicain.
Whale Watching
Notre sortie Whale Watching à Santa Bárbara de Samaná restera l’un des moments les plus émouvants de notre voyage. Nous partons tôt le matin, depuis le port de Samaná, embarquant à bord d’un petit bateau spécialement équipé pour l’observation des cétacés. L’ambiance à bord est joyeuse et pleine d’anticipation. Tout le monde scrute l’horizon avec l’espoir de voir surgir l’une de ces créatures gigantesques des profondeurs marines.
Cayo Levantado ou île Bacardi
Au départ du port animé de Santa Bárbara de Samaná, nous embarquons à bord d’un petit bateau à moteur en direction du Cayo Levantado, aussi surnommé l’île Bacardi, tant elle semble sortir tout droit d’une publicité paradisiaque. La traversée dure à peine une vingtaine de minutes, mais elle suffit à nous faire ressentir ce frisson d’aventure et d’évasion propre aux escapades maritimes.
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VILLA CHEZ CYRIL
À Las Galeras, nous posons nos valises dans un véritable havre de paix, une villa d’exception généreusement mise à disposition par Cyril, un hôte attentionné et discret. Nichée sur les hauteurs, cette maison de charme offre une vue panoramique époustouflante sur la mer des Caraïbes, avec le doux clapotis des vagues pour fond sonore. Ici, chaque détail semble pensé pour le bien-être et la tranquillité.
Le cœur de la villa bat autour de la piscine à débordement, véritable joyau turquoise qui surplombe les cocotiers et la baie. De jour comme de nuit, c’est un lieu de détente privilégié, où l’on peut s’immerger en contemplant l’horizon ou s’installer sur un transat à l’ombre d’un parasol, un livre ou un cocktail à la main.
Le jardin tropical, soigneusement entretenu, est un appel à la flânerie : bananiers, bougainvilliers, hibiscus, palmiers et plantes exotiques s’y épanouissent dans une explosion de couleurs et de senteurs. Un barbecue en pierre, abrité sous une tonnelle, permet de savourer des grillades au retour du marché ou de la plage, en toute convivialité.
La maison elle-même est vaste et lumineuse. Elle comprend trois grandes chambres confortables, dont deux avec leur propre salle de bains privative, décorées avec goût dans un style sobre et naturel, mêlant bois, linge clair et touches locales. La cuisine ouverte, spacieuse et bien équipée, donne envie de préparer de bons petits plats à base de produits frais. L’espace est idéal pour cuisiner à plusieurs tout en partageant un verre et des rires.
Mais le véritable lieu de vie, c’est sans doute la grande terrasse, couverte, aménagée en salon et salle à manger extérieure. On y prend le petit-déjeuner face au lever du soleil, on y déjeune à l’ombre en observant les oiseaux tropicaux, on y dîne sous les étoiles dans une ambiance magique.
Côté services, rien n’est laissé au hasard : la villa dispose d’un garage, d’un gardien présent 24h/24, et d’une femme de ménage qui passe chaque jour pour l’entretien. Sécurité, confort, et sérénité sont les maîtres mots de ce séjour hors du temps.
En résumé, un véritable petit coin de paradis, parfait pour se reposer après les aventures dans la péninsule de Samaná, ou simplement pour savourer le luxe simple d’un lieu beau, calme et chaleureux.
LA GASTRONOMIE
Braza del Mar – Playa Rincon
À l’ombre des cocotiers ondulant doucement sous la brise marine, le Braza del Mar nous accueille les pieds dans le sable, sur l’un des recoins les plus idylliques de Playa Rincón. Ici, le temps ralentit. Quelques tables en bois peint aux couleurs vives sont disposées face à l’eau turquoise, à deux pas de la frange d’écume qui caresse le rivage. L’ambiance est détendue, presque intime, avec en fond sonore le doux ressac des vagues et un soupçon de merengue flottant dans l’air.
Le Braza del Mar est l’adresse rêvée pour prolonger le charme de Playa Rincón autour d’un déjeuner simple, généreux et savoureux. Les produits viennent directement de la mer ou du village tout proche, et ça se sent dans l’assiette. Nous optons pour une langouste grillée, à la chair tendre, juteuse, légèrement fumée, accompagnée d’un riz à la noix de coco et de bananes plantain frites croustillantes. Pour les amateurs de viande, le poulet grillé, mariné dans des épices locales, est un régal : moelleux à cœur, doré à l’extérieur, relevé sans excès, et toujours servi avec le sourire.
Mais le vrai plaisir, c’est sans doute les cocktails servis dans des fruits frais. Nous trinquons à la beauté du lieu avec des piña coladas crémeuses, servies directement dans des noix de coco ouvertes à la machette, ou dans des ananas évidés, débordants de fraîcheur tropicale. Chaque gorgée évoque l’insouciance, les vacances, et le luxe simple de vivre pleinement l’instant présent.
Pendant le repas, quelques enfants jouent dans le sable, des chiens du village somnolent à l’ombre, et les plus chanceux peuvent apercevoir, au large, une frégate planant haut dans le ciel ou un pélican plongeant en piqué. Il n’y a pas de meilleur endroit pour savourer l’un des déjeuners les plus mémorables de la péninsule de Samaná.
RESTAURANT LA BODEGUITA
À Las Galeras, au détour d’une ruelle paisible bordée de cocotiers, nous découvrons avec bonheur La Bodeguita, une adresse chaleureuse et conviviale qui conjugue authenticité dominicaine et générosité des saveurs créoles.
Derrière sa façade colorée et discrète, La Bodeguita déploie une ambiance simple et détendue, avec ses tables en bois peint, ses chaises dépareillées et ses guirlandes lumineuses qui s’allument le soir venu, conférant au lieu un charme bohème et familial. La salle à manger s’ouvre largement sur l’extérieur, laissant entrer l’air marin et les parfums des plats en préparation.
Ici, on vient surtout pour les spécialités locales, préparées avec amour à partir de produits frais et souvent issus des environs : pêche du jour, légumes des potagers voisins, herbes et épices locales. Parmi les incontournables, on savoure :
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Le « pescado con coco », un poisson frais mijoté dans une sauce onctueuse à base de lait de coco, ail, coriandre et oignons, typique de la côte nord-est.
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Les crevettes flambées au rhum, généreusement servies avec du riz, des bananes plantain frites (tostones), ou encore du manioc fondant.
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Le « pollo guisado », poulet mijoté à la dominicaine dans une sauce tomatée parfumée, qui fond dans la bouche.
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Les empanadas maison, croustillantes, farcies au bœuf haché, au fromage ou au poisson, parfaites à partager en entrée avec une bière Presidente bien fraîche ou un jus naturel.
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Et bien sûr, les langoustes grillées, lorsqu’elles sont disponibles, assaisonnées juste ce qu’il faut de citron vert et d’épices.
En dessert, place à la douceur tropicale avec une tarte à la noix de coco, du flan au lait, ou simplement quelques fruits frais servis joliment en assiette colorée.
Le service est souriant, le patron aime discuter avec les voyageurs, et l’ambiance incite à prendre son temps, à refaire le monde autour d’un bon repas, bercé par un fond de bachata ou de merengue. Une adresse sans prétention mais pleine d’âme, parfaite pour goûter à la vraie cuisine dominicaine, généreuse, parfumée et sincère.
CHEZ DENISE
À plusieurs reprises durant notre séjour à Las Galeras, nous prenons plaisir à déjeuner ou dîner “Chez Denise”, une petite adresse sans prétention mais pleine de charme, nichée dans une ruelle tranquille à deux pas de la mer. C’est une table locale et authentique, connue des habitués pour sa cuisine simple, généreuse et savoureuse.
Ici, pas de chichis ni de menu prétentieux : l’ambiance est familiale, conviviale, on est accueilli avec le sourire par Denise en personne ou l’un de ses proches. L’endroit est modeste, parfois un peu bruyant quand il y a du monde, mais on s’y sent bien, comme à la maison, et surtout… on y mange délicieusement bien.
Parmi les incontournables, les spaghettis aux vongoles (palourdes) font l’unanimité. Parfumés à l’ail, à l’huile d’olive et légèrement relevés, ils sont cuits al dente et généreusement servis, avec des palourdes fraîches du jour. Un vrai régal ! Mais Denise propose aussi des plats de poissons grillés, du poulet au coco, du riz aux haricots rouges, ou encore de très bonnes langoustes à la plancha, quand c’est la saison.
Les prix sont raisonnables, le service est détendu, et les portions copieuses. C’est le genre de restaurant qu’on découvre un peu par hasard, puis qu’on adopte et où l’on revient avec plaisir, pour un dîner tranquille, entre amis ou en couple, en dégustant un petit verre de vin ou une Presidente bien fraîche.
“Chez Denise” fait partie de ces adresses précieuses, où l’on goûte à la vraie vie dominicaine, sans filtre, avec tout ce qu’elle a de bon : des produits frais, une cuisine de cœur, et la chaleur humaine qui l’accompagne.
RESTAURANT MATA ROSADA – Santa Barbara de Samana
À Santa Bárbara de Samaná, après une matinée bien remplie entre balades sur la rambla, visite du marché et promenade en bord de mer, nous faisons une halte gourmande au restaurant Mata Rosada, une adresse incontournable pour qui veut mêler plaisir des papilles et cadre enchanteur.
Dès notre arrivée, le charme opère. La terrasse en bois, surélevée, est installée au cœur d’un petit jardin tropical foisonnant, avec vue sur la baie. Les tonalités pastel du bâtiment, entre rose poudré et bois naturel, confèrent à l’ensemble une atmosphère chaleureuse et élégante, typiquement caribéenne, mais avec une touche de raffinement discret. L’accueil est souriant, simple, attentionné, et l’on nous installe à l’ombre d’un grand parasol en tissu clair, caressés par une légère brise marine.
La carte fait la part belle aux produits de la mer, frais et cuisinés avec créativité. Très vite, les plats arrivent, aussi beaux que savoureux.
Nous commençons par un poisson local cuit en papillote dans des feuilles de bananier, délicatement parfumé à la coriandre, au citron vert et au lait de coco — un vrai voyage sensoriel. Vient ensuite une brochette de gambas juteuses, grillées à la perfection et relevées d’une sauce légèrement épicée, accompagnée de légumes croquants et de riz coco moelleux. D’autres se laissent tenter par le saumon grillé, fondant, servi avec une purée de patate douce onctueuse et une salade de mangue verte, fraîche et acidulée.
Les jus frais maison (goyave, passion, tamarin) et les cocktails exotiques – notamment la margarita aux fruits rouges – complètent merveilleusement le repas. Et pour les plus gourmands, le dessert signature à base de banane flambée au rhum et glace vanille est un must.
Ce déjeuner au Mata Rosada restera l’un de nos plus beaux souvenirs culinaires de notre séjour sur la péninsule de Samaná. Une pause raffinée et authentique, dans un décor de carte postale, à ne pas manquer pour les amateurs de cuisine locale revisitée avec élégance.
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