Moon Landscape & Vallée de la Welwitschia Namibie
Entre dunes, roches et plantes millénaires : la Moon Landscape
Nous quittons Swakopmund à l’aube, encore enveloppés par l’humidité saline de l’Atlantique. L’air, frais et chargé de brume, a cette texture presque ouatée que seule la côte namibienne sait offrir. La lumière rasante découpe les premiers reliefs ; les dunes s’effacent progressivement pour laisser place à des collines pierreuses que le soleil dévoile comme des strates d’un récit ancien. À peine sortis de la ville, nous bifurquons vers le WCR pour obtenir notre permis d’entrée dans le parc — 5 550 NAD pour quatre personnes et notre véhicule, prêt à affronter les pistes lunaires.
Très vite, la route disparaît derrière nous et l’espace se métamorphose. Le désert que nous traversons semble avoir renoncé à toute complaisance. Devant nous s’étend le Moon Landscape, un paysage qui porte bien son nom : ravins déchiquetés, courbes sédimentaires, promontoires sculptés par le vent et les siècles… tout donne l’impression de marcher sur la surface d’un autre monde. Ici, la géologie parle à voix haute. Les couches sombres, d’origine volcanique, se superposent à des dépôts plus tendres, mis à nu par l’érosion de millions d’années. Ce relief d’apparence immobile demeure pourtant un organisme en mouvement, façonné par des forces lentes — vent dominant du sud-ouest, dilatation thermique, ruissellements rares mais décisifs.
Dans ce décor minéral, la vie semble d’abord absente. Puis, à mesure que nous avançons, elle se révèle sous la forme la plus humble et la plus remarquable : les lichens. Le sol en est tapissé, mais ces organismes pionniers se confondent si bien avec la pierre qu’ils paraissent inertes. Certains forment des plaques noirâtres et froissées qui ressemblent à des végétaux morts ; d’autres, gris, bruns ou même orangés, tranchent légèrement sur le sable. Intrigués, nous versons quelques gouttes d’eau sur une touffe asséchée : presque instantanément, elle se réhydrate, se déploie, retrouve sa texture souple et une couleur plus vive. Cette résurrection miniature, aussi discrète que spectaculaire, raconte l’extrême adaptation de ces êtres hybrides — moitié algue, moitié champignon — capables de survivre dans un milieu où il ne pleut parfois pas pendant plusieurs années. Ils vivent de brume, de rosée, de patience.
Sur les plateaux, les traces d’un passé humain affleurent à peine : l’empreinte d’un ancien chariot à bœufs, vestige du Baziweg, apparaît dans la poussière. Cette route, jadis essentielle pour acheminer les vivres depuis la côte vers l’intérieur, a laissé des marques que le désert s’efforce d’effacer. Là où les roues ont broyé les tapis de lichens, la guérison est presque imperceptible : moins de 100 mm de croissance par an. Il faudra parfois un siècle pour restaurer une surface altérée. Cette fragilité silencieuse nous impose une humilité immédiate : le moindre pas hors des pistes peut effacer une vie que nous ne percevons même pas.
Depuis un promontoire dominant la vallée de la Swakop, le paysage s’étend et s’ordonne. Les sillons d’érosion dessinent de longues arabesques dans les dépôts meubles ; les strates de grès affleurent comme les pages d’un livre de pierre feuilleté par les âges. Dans cette aridité extrême, quelques arbustes persistent. Le Dollar Bush, avec ses feuilles rondes et charnues, emmagasine l’eau comme une monnaie rare. L’Ink Bush, plus élancé, laisse filtrer la lumière entre ses feuilles fines. Tous deux survivent avec moins de 20 mm de pluie par an, souvent concentrés en une seule averse. Leur présence, discrète mais tenace, raconte une écologie résiliente, intimement liée aux cycles géologiques.
Au fil de notre progression, nous réalisons que ce désert n’est pas un vide, mais une archive. Les couleurs ocre, grises et noires s’y superposent comme des strates d’un récit profond. Le vent, constant, redessine sans cesse les formes des dunes et des talus rocheux. À chaque halte, nous observons les contrastes de texture, les jeux de lumière, les ombres projetées dans les ravines. Le paysage, loin d’être figé, évolue sous nos yeux, dans un mouvement lent qui échappe à la mesure humaine.
La vallée de la Swakop, que nous surplombons régulièrement, révèle alors son histoire. Les dépôts exposés par l’érosion datent de près de 460 millions d’années, époque où la région connaissait un climat bien plus humide. La rivière, aujourd’hui souvent asséchée en surface, a creusé son lit dans ces couches anciennes, mettant à nu les récits géologiques de périodes où le désert n’existait pas encore. Ce contraste nous frappe : sous nos pieds, un passé aquatique sommeille dans un monde devenu minéral.
Plus loin, la mémoire humaine s’ajoute à celle des roches. À Balise 7 subsistent les vestiges d’un campement militaire de 1915, établi par des troupes sud-africaines pendant la Première Guerre mondiale. Bouteilles brisées, bidons rouillés, empreintes d’un ancien véhicule chenillé : tout est là, figé dans un décor qui, lui, change à l’échelle du million d’années. Ce lieu suspendu entre deux temporalités — la nôtre, brève, et celle du désert, presque éternelle — nous rappelle la modestie de nos passages.
Nous descendons ensuite vers le lit asséché de la rivière, où quelques campements se nichent entre les buissons. Le silence qui y règne est profond, un silence que seul le craquement du gravier sous nos pas vient troubler. L’érosion a sculpté des promontoires et des canyons miniatures qui offrent des points de vue vertigineux sur la vastitude du désert namibien. À chaque pas, nous apprenons que marcher ici, c’est lire un paysage comme on lit un palimpseste : les anciennes écritures n’ont jamais entièrement disparu.
Quand nous rebroussons chemin pour retrouver la piste principale, une crête noire attire notre regard. Elle serpente à travers les collines comme une cicatrice minérale parfaitement dessinée. C’est une intrusion de dolérite, roche magmatique très dure, injectée autrefois dans des fissures de matériaux sédimentaires plus tendres. Avec le temps, l’érosion a éliminé ces derniers, laissant subsister ce ruban sombre, véritable ligne dorsale du paysage. Nous traversons même une dyke de dolérite, une paroi presque architecturale où la lave refroidie est restée prisonnière de la roche granitique. Ces intrusions témoignent d’un passé volcanique où l’Afrique australe se fragmentait et se recomposait.
En avançant vers l’intérieur, la vallée de la Swakop change de visage. Une végétation plus dense apparaît, profitant de l’humidité résiduelle des brumes atlantiques. Le chaume, l’ensboom et le tamaris créent des zones d’ombre où la vie se regroupe. Les graines de séneçon, petites capsules collantes, s’accrochent aux oiseaux et voyagent avec eux, colonisant les berges en silence. Cette dynamique invisible relie plantes, vent et migrations aviaires, rappelant qu’un désert n’est jamais un système clos.
Enfin, la vallée que nous attendions se dévoile : celle des Welwitschia mirabilis. Leur forme, à la fois étrange et familière, défie d’emblée notre regard. Deux feuilles seulement, mais deux feuilles qui grandissent sans fin, se torsadent, se déchirent, se stratifiant au fil des siècles. Leur racine, profonde et tentaculaire, capte l’humidité des couches superficielles, là où la brume vient mourir. Certaines de ces Welwitschia vivent depuis plus de mille ans. L’une, à la Balise 12, est estimée à plus de 1 500 ans — un être vivant plus ancien que nombre de civilisations humaines.
Nous nous attardons longuement auprès d’elles. Leurs cônes mâles ou femelles montent comme des chandelles discrètes, rappelant que ces plantes sont unisexuées ; leurs feuilles abritent insectes et reptiles ; leurs graines nourrissent parfois rongeurs et oiseaux. Le Welwitschia n’est pas une curiosité botanique : c’est une espèce structurante, un conifère nain unique au monde, un monument biologique, un repère dans l’immensité du Namib.
Dans cette vallée silencieuse, chaque spécimen devient une leçon de temps long. Leur présence nous invite à ralentir, à mesurer notre échelle, à respecter un paysage où l’essentiel se joue sous la surface et dans la durée. Nous repartons avec le sentiment d’avoir traversé non pas un désert, mais un livre ouvert — un livre dont les pages sont faites de pierre, de brume et de feuilles millénaires.
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tableau comparatif des restaurants de Swakopmund avec leurs fourchettes de prix en dollars namibiens (NAD) :
| Restaurant | Type de cuisine / ambiance | Fourchette de prix (NAD) | Notes |
|---|---|---|---|
| Swakopmund Brauhaus | Cuisine allemande, plats copieux, bières locales | 150 – 280 NAD | Atmosphère conviviale, très populaire auprès des voyageurs |
| Ankerplatz Restaurant and wine bar | Cuisine internationale & vins | 180 – 300 NAD | Ambiance élégante, bon choix de vins |
| Restaurant The Tug | Fruits de mer, poissons, cuisine internationale | 250 – 450 NAD | Vue sur l’océan, huîtres et poissons frais réputés |
| Restaurant Altstadt | Cuisine allemande et internationale | 180 – 300 NAD | Portions généreuses, ambiance chaleureuse |
| BlueGrass | Fruits de mer, grillades, cuisine moderne | 200 – 350 NAD | Bonne réputation pour la fraîcheur des produits |
| Old Steamer Restaurant | Cuisine internationale, grillades | 180 – 300 NAD | Situé à Alte Brücke Resort, cadre agréable |
| Jetty 1905 Restaurant | Fruits de mer, sushis, cuisine internationale | 250 – 450 NAD | Restaurant emblématique sur la jetée, vue panoramique |
| Farmhouse Deli | Cuisine allemande, internationale, pâtisseries | 120 – 220 NAD | Idéal pour brunchs, cafés gourmands et repas légers |
Swakopmund — Déjeuner iodé et joyeux à Platz Am Meer
À l’heure du déjeuner, nous retrouvons le centre moderne et animé de Platz Am Meer, ce complexe en bord de mer où les palmiers côtoient les parasols colorés et les terrasses bien garnies. L’ambiance est vivante, les familles flânent, les joggeurs ralentissent, et les vagues viennent ponctuer la scène d’un clapotis régulier.
Nous nous installons en terrasse au Blue Grass, l’un des restaurants les plus accueillants du front de mer. Vue imprenable sur l’Atlantique, brise légère, et une carte qui donne envie de tout commander. Les huîtres de Walvis Bay, bien laiteuses et servies sur lit de glace, ouvrent le bal avec élégance. On les accompagne d’un filet de citron ou d’un trait de vinaigrette au vin rouge et à l’échalote, selon l’humeur du jour.
La salade de calmars grillés arrive ensuite, généreuse et parfumée : calamars tendres, légumes croquants, pain grillé et sauce maison. C’est frais, c’est savoureux, c’est exactement ce qu’il faut pour une pause ensoleillée.
Pour les plus carnivores, le hamburger déborde de gourmandise : cheddar fondant, oignons frits croustillants, steak juteux et frites dorées. Et pour les amateurs de finesse, le carpaccio de bœuf est une œuvre d’art : fines tranches de filet, roquette, parmesan, basilic et betterave, le tout arrosé d’une huile parfumée.
Le service est souriant, les assiettes généreuses, et l’ambiance détendue. On savoure, on observe, on se laisse porter. Swakopmund, à l’heure du déjeuner, c’est un petit luxe simple : celui de manger bien, face à l’océan, avec le soleil pour témoin.
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👉 En résumé :
- Budget moyen : 150 – 250 NAD pour un repas simple.
- Restaurants haut de gamme (The Tug, Jetty 1905) : 300 – 450 NAD.
- Options plus abordables (Farmhouse Deli, Brauhaus) : 120 – 220 NAD.
🇫🇷 Walvis Bay — Déjeuner sur le ponton, otaries incluses

C’est donc au Anchors Waterfront Restaurant que nous nous posons pour déjeuner. Terrasse animée, DJ en place, quelques clients qui esquissent des pas de danse sur le ponton… ambiance festive garantie. Devant nous, l’océan fait son show, avec quelques otaries qui se prélassent dans l’eau et jouent à cache-cache avec les reflets.
Côté service, rien à redire : personnel souriant, commandes rapides, et une carte bien garnie — poissons, fruits de mer, viandes, tout y est. Les assiettes arrivent joliment présentées, et ça sent bon.

En entrée, le carpaccio d’oryx fait fureur : fin, parfumé, et visuellement très réussi. Les huîtres chaudes (mozzarella et beurre à l’ail) sont bonnes, même si le fromage joue un peu les envahisseurs et masque le goût iodé.
En plat, le plateau de sushi est copieux et excellent. Le steak de thon de 350g est parfaitement cuit — ni trop, ni pas assez, juste ce qu’il faut. Les gambas au curry sont un peu trop piquantes pour les palais sensibles, mais le goût indien est bien là. L’assiette de fruits de mer est généreuse : filet pané de poisson (hawk), calamars grillés, moules farcies… et en option (un peu chères), 4 crevettes grillées qui valent le détour.
L’addition pique un peu : 1670 NAD avec une bouteille de vin blanc et deux cocktails pour les enfants. Mais entre les otaries, le DJ, les assiettes et la vue, on ne regrette rien.
📌 Hashtags (FR)
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LES LOGEMENTS
🏖️ Séjour en bord de mer à Swakopmund — Notre villa en bord de mer
À notre arrivée à Swakopmund, nous avons trouvé un véritable cocon : une villa en self-catering gérée par Gladys, idéalement située sur le front de mer. En quelques minutes à pied, nous rejoignons le centre commercial Platz Am Meer, avec ses boutiques, restaurants et distributeurs, tandis que la plage et le parc sont accessibles en moins de cinq minutes.
Nous sommes immédiatement séduits par la propreté et le confort du logement, proposé sur Airbnb à seulement 465 € pour 6 nuits. Spacieuse et décorée avec goût, la maison offre un cadre parfait pour quatre adultes, mais convient tout autant aux familles, aux aventuriers ou aux voyageurs d’affaires. Le quartier est convivial et la sécurité optimale.
À l’intérieur, deux chambres accueillantes et deux salles de bain luxueuses garantissent confort et intimité. La cuisine ouverte, entièrement équipée, permet de préparer des repas comme à la maison : four double, cuisinière électrique, friteuse à air, bouilloire et micro-ondes. Le coin repas accueille jusqu’à huit convives, tandis que le salon, la buanderie avec lave-linge et sèche-linge, et le garage double complètent l’ensemble. Un espace braai intérieur ajoute une touche locale, idéale pour savourer un barbecue en toute saison.
Le système de sécurité est impressionnant : alarme et faisceaux laser reliés à l’unité d’intervention armée G4S, assurant une tranquillité totale. Les voyageurs disposent de l’ensemble du logement et d’une cour arrière fermée, parfaite pour les enfants, avec même une corde à linge pour les séjours prolongés.
Enfin, des brochures détaillant les attractions locales sont mises à disposition, facilitant la découverte de Swakopmund et de ses environs. Entre confort moderne et immersion dans la vie côtière namibienne, cette villa est une halte idéale pour profiter pleinement de la ville et de l’océan.
📸 Hashtags pour publication
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MAGASINS ALIMENTATION
Voici les principales options pour acheter viande, poisson, légumes et produits alimentaires à Swakopmund :
- Food Lover’s Market Namibia Swakopmund : excellent choix de fruits, légumes frais, viandes et produits de la mer.
- Model Swakopmund : grande épicerie locale avec produits variés.
- SUPERSPAR Swakopmund : supermarché complet, large gamme de produits alimentaires.
- Woermann, Brock Cash & Carry Swakopmund : idéal pour les achats en gros et produits de base.
- SPAR Ocean View : supermarché de quartier pratique pour les courses quotidiennes.
- The Green Center Market : marché local, réputé pour ses produits frais et son ambiance conviviale.
- Checkers Waterfront Swakopmund : supermarché moderne avec un bon rayon frais.
- Your Woermann Swakopmund Main Branch : épicerie centrale, produits alimentaires et ménagers.
👉 Pour la viande et le poisson, privilégie Food Lover’s Market et Checkers Waterfront, qui ont les rayons les plus fournis. Pour les fruits et légumes frais, The Green Center Market et Food Lover’s Market sont les plus intéressants.
CARBURANT
Pour le ravitaillement en carburant à Swakopmund, tu peux compter sur la Oceanview Shell Service Station, bien située sur la route de Henties Bay.
👉 Concernant la route depuis Terrace Bay :
- Il n’y a aucune station-service directement à Terrace Bay (c’est une zone très isolée de la Skeleton Coast).
- Le dernier point de ravitaillement fiable avant d’y entrer est généralement à Torra Bay (saisonnier, parfois fermé) ou plus sûrement à Palmwag et Khorixas.
- Il est donc indispensable de faire le plein complet à Swakopmund (ou Henties Bay) avant de monter vers Terrace Bay, et de prévoir des jerricans supplémentaires pour l’autonomie.
BANQUES ET DISTRIBUTEURS
Voici les principales options de banques et distributeurs à Swakopmund :
- Standard Bank Swakopmund – agence bancaire avec distributeurs.
- Bank Windhoek Swakopmund Branch – agence principale en centre-ville.
- Nedbank Bureau de Change – utile pour change de devises et retraits.
- Bank Windhoek Swakopmund Agency – autre agence Bank Windhoek.
- Bank Windhoek ATM – plusieurs distributeurs automatiques répartis en ville (dont Vrede Rede Ave).
- ExpressCredit Swakopmund branch – institution financière pour services de crédit.
👉 Les cartes Visa et Mastercard sont largement acceptées. Pour plus de sécurité, privilégie les retraits dans les ATM attenants aux agences bancaires.
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