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Swakopmund : entre désert et océan, une ville aux contrastes fascinants NAMIBIE +

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La traversée de la Côte des Squelettes : entre épaves, désert et mémoire

ITINERAIRE

Nous entrons dans le Skeleton Coast Park par Torra Bay, l’une des rares portes d’accès à cette mythique région. À l’entrée, les visiteurs s’acquittent d’un droit de 150 N$ par personne et de 50 N$ par véhicule, une contribution modeste pour pénétrer dans ce territoire sauvage et fascinant. À peine les formalités passées, les barrières s’ouvrent sur un décor presque irréel : un monde de sable, de roches et de brume, où l’océan Atlantique rugit sans relâche.

Le premier objectif est Terrace Bay, situé à une cinquantaine de kilomètres au nord de Torra Bay. La piste de sable et de gravier impose sa lenteur, et il faut plus d’une heure pour atteindre ce poste avancé battu par les vents. Le trajet est déjà une expérience : la frontière entre désert et océan n’est qu’une mince bande de sable blanc balayée par les rouleaux écumeux, où les cormorans du Cap planent silencieusement. Au loin, des épaves rouillées émergent encore, fantômes d’un passé tragique, figés dans ce décor de bout du monde. Plus à l’intérieur, les plaines de graviers s’étendent à perte de vue, ponctuées d’ossements blanchis de baleines et de phoques, comme autant de rappels que la côte a toujours été synonyme de mort et de survie extrême.

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Cape Cross : là où l’océan respire, hurle… et pleure aussi

En milieu d’après-midi, après avoir traversé les étendues rocailleuses du Damaraland et longé les dunes pétrifiées de la Skeleton Coast, nous atteignons Cape Cross. L’air change. Une odeur âcre, presque animale, nous enveloppe avant même que la colonie ne soit visible. Et puis, soudain, le paysage s’anime : des dizaines de milliers de phoques à fourrure du Cap s’étendent sur les rochers, le sable, et même les passerelles. Le grondement est constant, les cris couvrent le bruit de l’océan, et le spectacle est total.

Le sol est vivant, mouvant, chaotique. Les mâles, massifs et sombres, veillent sur leurs harems dans une tension palpable. Les femelles allaitent dans la poussière, les petits rampent maladroitement vers la mer, et tout autour, la colonie semble respirer à l’unisson. Mais cette année, quelque chose cloche. La chaleur des dernières semaines a laissé des traces. La mortalité néonatale est frappante. Les corps des bébés phoques gisent sur le sable, parfois même sur les passerelles. Le contraste est brutal. Nous comprenons qu’il est essentiel de ne pas intervenir, de laisser la nature suivre son cours, mais nous regrettons que les passerelles ne soient pas débarrassées des cadavres, par respect pour les visiteurs et pour l’expérience éducative.

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Swakopmund —  Immersion  au cœur de la ville

ITINERAIRE

Swakopmund nous accueille avec ses contrastes saisissants : entre dunes et Atlantique, entre héritage allemand et chaleur africaine, entre façades pastel et palmiers élancés. Dès les premières heures, l’air salé s’infiltre dans les ruelles, le ciel encore laiteux laisse deviner une journée limpide, et la lumière, douce puis éclatante, révèle les détails d’une ville qui ne se contente pas d’être belle — elle est singulière.

Nous commençons notre exploration par Ludwig Koch Street, où nous garons notre fidèle Raptor. À pied, nous rejoignons le phare, la Lighthouse, ce repère maritime rouge et blanc qui veille sur la ville depuis 1902. Son architecture cylindrique, coiffée d’un dôme rouge, évoque les phares bretons, mais encadré de palmiers et de pelouses fleuries, il prend ici des airs tropicaux. Autour, les bâtiments coloniaux aux façades jaunes et vert olive rappellent l’époque où Swakopmund était le port principal de l’Afrique allemande du Sud-Ouest.

La promenade nous mène ensuite vers la jetée, ce long ponton de bois qui s’avance dans l’océan comme une invitation à la contemplation. Sous nos pieds, les vagues clapotent, et sur les rochers, les cormorans du Cap s’activent : certains plongent, d’autres sèchent leurs ailes dans une posture théâtrale. La baie s’ouvre devant nous, vaste et paisible, bordée de plages impeccables et de maisons colorées. Le soleil est à son zénith, le ciel devenu d’un bleu limpide, et l’Atlantique scintille comme une mer de verre.

Nous poursuivons notre marche vers l’allée de palmiers, parfaitement symétrique, bordée de fleurs violettes et de lampadaires élégants. C’est un lieu de respiration, où les familles croisent les joggeurs, où les enfants courent entre les troncs élancés. Puis, changement d’ambiance : nous pénétrons dans le Craft Market, où les étals débordent de sculptures en bois, de tissus animaliers, de masques et d’œufs d’autruche décorés.

Le Craft Market de Swakopmund est bien plus qu’un simple lieu de commerce : c’est une scène vivante où s’exprime l’âme artisanale de la Namibie. Niché entre les palmiers et les pavés, il s’ouvre comme une galerie à ciel ouvert, débordante de couleurs, de textures et de récits sculptés. Dès l’entrée, les odeurs de bois poli et de cuir tanné se mêlent aux éclats de voix et aux rires des artisans, qui accueillent les visiteurs avec chaleur et fierté.

Les étals sont un festival de savoir-faire : des sculptures en bois d’ébène ou de mopane, représentant des éléphants en procession, des girafes élancées, des zèbres stylisés, mais aussi des scènes de village, des bustes humains, et des masques rituels. Certaines pièces sont monumentales, comme cette carte d’Afrique gravée d’animaux emblématiques, d’une précision bluffante. D’autres sont plus discrètes : cuillères sculptées, figurines, instruments de musique comme des maracas, des kalimbas ou des flûtes en bambou.

Les œufs d’autruche décorés, peints à la main ou gravés au burin, attirent l’œil par leur finesse. Ils racontent des histoires de savane, de constellations, ou de légendes locales. À côté, des paniers tressés, des chapeaux en fibre végétale, des sacs en cuir brut ou en tissu wax, témoignent d’un artisanat utilitaire et esthétique. Les tissus suspendus dansent au vent : batiks animaliers, motifs tribaux, couleurs vives. On y retrouve l’Afrique dans toute sa diversité, entre tradition et modernité.

Certains stands sont tenus par des coopératives féminines ou des projets communautaires, comme Kubatsirana — “Helping Hands” — qui mêle artisanat et solidarité. Les objets vendus ici ne sont pas seulement beaux : ils sont porteurs de sens, de transmission, de dignité. Chaque motif, chaque gravure, chaque tressage est le fruit d’une mémoire vivante, d’un geste appris et transmis.

Le marché est aussi un lieu d’échange. On y discute, on négocie, on apprend. Les artisans racontent volontiers l’origine de leurs techniques, les bois qu’ils utilisent, les symboles qu’ils gravent. Certains sculptent sur place, sous les yeux des passants, dans un ballet de copeaux et de concentration. D’autres s’installent à l’ombre, entourés de leurs enfants, dans une ambiance familiale et généreuse.

En flânant entre les étals, on comprend que Swakopmund ne se résume pas à ses façades coloniales ou à ses plages impeccables. Elle est aussi cette ville qui sait accueillir, partager, et faire vibrer les sens. Le Craft Market est son cœur battant — un lieu où l’artisanat devient langage, où chaque objet devient une invitation à la rencontre.

En remontant vers le centre historique, nous longeons le Snake Park, modeste mais captivant. Derrière ses murs simples, il abrite une collection de reptiles du désert namibien : mambas, boomslangs, pythons et geckos. Loin d’être une attraction sensationnaliste, le lieu se veut pédagogique. Les visiteurs y découvrent la biologie et le rôle écologique de ces animaux souvent redoutés, mais essentiels à l’équilibre des écosystèmes. Les explications sont claires, parfois ponctuées d’anecdotes locales, et permettent de voir ces créatures autrement, non plus comme des menaces mais comme des acteurs discrets de la vie dans les dunes et les savanes.

Quelques pas plus loin, le regard est happé par le Hohenzollernhaus, véritable chef-d’œuvre néo-baroque. Construit entre 1904 et 1906, il fut d’abord un hôtel de prestige avant d’être transformé en appartements. Sa façade est une exubérance sculptée : balustrades ouvragées, frontons ornés, fenêtres cintrées, et surtout la statue d’Atlas, campé au sommet, portant le globe terrestre. Ce détail mythologique donne au bâtiment une allure théâtrale, presque démesurée, qui contraste avec la sobriété des maisons voisines. Classé monument national en 1972, il incarne à lui seul l’ambition coloniale allemande de doter Swakopmund d’une architecture digne des grandes villes européennes.

Non loin, le Woermannhaus rappelle une autre facette de l’histoire : celle du commerce maritime. Érigé en 1894 puis agrandi au début du XXe siècle, il fut le siège de la Damara und Namaqua Handelsgesellschaft, une compagnie marchande allemande. Sa Damara Tower, haute de 25 mètres, servait de repère aux navires de la Woermann Line qui accostaient ici pour relier l’intérieur du pays aux routes maritimes. Aujourd’hui, le bâtiment abrite une bibliothèque et un centre culturel, mais conserve ses balcons en bois et son allure imposante, témoin d’un passé où Swakopmund était une porte d’entrée stratégique vers l’Afrique australe.

En poursuivant notre déambulation, nous croisons Peter’s Antiques, une boutique au charme désuet où s’entassent meubles, porcelaines et curiosités, comme un cabinet de mémoire figé dans le temps. Juste à côté, la bibliothèque communautaire s’élève dans une bâtisse à colombages, mélange de bois et de stuc, qui évoque les villages bavarois transposés au bord de l’Atlantique. Plus loin, les façades pastel de l’Altstadthof attirent l’œil avec leurs vitrines colorées. Sur l’une d’elles, un slogan interpelle : “Africa is not a country”. Ce rappel, simple mais puissant, souligne la diversité du continent et invite à dépasser les clichés.

Enfin, nous rejoignons le front de mer, où l’animation des terrasses contraste avec la solennité des monuments. Le soleil est haut, les ombres courtes, et l’air marin se mêle aux éclats de voix. Nous nous installons au bord de la jetée pour un verre bien mérité. Une bière locale, un jus de fruit, peu importe : l’essentiel est ce moment suspendu, entre patrimoine et plaisir, entre histoire et instant présent. Swakopmund nous apparaît alors comme une ville aux multiples visages — coloniale et africaine, sérieuse et joyeuse, tournée vers la mémoire mais résolument vivante.

Cette ville n’est pas qu’une étape : c’est une respiration, une parenthèse élégante et joyeuse dans le voyage. Elle nous parle en allemand, en oshiwambo, en anglais, en sourires et en embruns. Et nous l’écoutons, conquis.

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Walvis Bay — Entre mer et désert — lumière, lagune et dunes

ITINERAIRE

Ce matin, à peine quittée la douceur rétro de Swakopmund, le paysage bascule. Les maisons s’effacent, les palmiers se font rares, et soudain surgissent les dunes — immenses, dorées, mouvantes. L’impression est saisissante : on se croirait aux confins de Merzouga ou de l’Erg Chegaga, là où le Sahara se fait sculpture.

Mais ici, c’est la Namibie. Et les dunes ne sont pas silencieuses. Elles vibrent. Des méharées paisibles croisent des caravanes de quads, des buggys bondissent sur les crêtes, et le vent emporte les cris joyeux des voyageurs. Les chameaux avancent lentement, silhouettes tranquilles dans le tumulte mécanique. Leurs guides, drapés de couleurs vives, ajoutent une touche saharienne à ce théâtre côtier.

Et derrière les dunes, l’Atlantique veille. C’est cette juxtaposition qui rend le trajet vers Walvis Bay si unique : le désert qui danse avec l’océan.

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Moon Landscape & Vallée de la Welwitschia — Lundi 1er décembre 2025 Entre dunes, roches et plantes millénaires


ITINERAIRE

Nous partons tôt depuis Swakopmund, encore bercés par l’air salé et frais de l’Atlantique, pour une journée d’exploration dans les paysages insolites de la Namib. La route nous conduit rapidement hors de la ville, entre dunes et roches sculptées par le vent et le temps, vers un territoire que l’on appelle Moon Landscape — littéralement « paysage lunaire » — et qui doit son nom aux formations volcaniques et érosives qui évoquent la surface d’un autre monde. Chaque promontoire, chaque ravin, révèle des strates rocheuses, des coulées de grès et des fossiles d’anciens lits de rivière, témoins de l’histoire géologique complexe de la région.

À mesure que nous avançons, le décor devient de plus en plus minéral : les couleurs ocre, gris et noir se mêlent, ponctuées çà et là de plantes adaptées à la sécheresse extrême. Ici, le vent souffle en continu, façonnant des dunes et des formations rocheuses aux formes fantastiques. Le silence est presque total, seulement ponctué par le bruissement du vent et le craquement des pierres sous nos pas.

#DECEMBRE2025 #MoonLandscape #Welwitschia #Namib #Désert #FloreEndémique #Geologie #Swakopmund #Aventure

FAUNE ET FLORE

chacal à chabraque

phoques à fourrure du Cap

cormorans du Cap

flamant rose d’Afrique

flamant nain

avocettes élégantes

VIDEOS  

J 1239 🦭 RUSHS Cape Cross : là où l’océan respire, hurle… et parfois retient son souffle

AUTRES ARTICLES SUR la Namibie à DISPOSITION :

Vous trouverez sur ce site de nombreux articles qui traitent des lieux à ne pas manquer en Namibie.
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La Cuisine 

Toutes les informations, par région sur la gastronomie namibienne en suivant ce lien : La Cuisine namibienne

tableau comparatif des restaurants de Swakopmund avec leurs fourchettes de prix en dollars namibiens (NAD) :

Restaurant Type de cuisine / ambiance Fourchette de prix (NAD) Notes
Swakopmund Brauhaus Cuisine allemande, plats copieux, bières locales 150 – 280 NAD Atmosphère conviviale, très populaire auprès des voyageurs
Ankerplatz Restaurant and wine bar Cuisine internationale & vins 180 – 300 NAD Ambiance élégante, bon choix de vins
Restaurant The Tug Fruits de mer, poissons, cuisine internationale 250 – 450 NAD Vue sur l’océan, huîtres et poissons frais réputés
Restaurant Altstadt Cuisine allemande et internationale 180 – 300 NAD Portions généreuses, ambiance chaleureuse
BlueGrass Fruits de mer, grillades, cuisine moderne 200 – 350 NAD Bonne réputation pour la fraîcheur des produits
Old Steamer Restaurant Cuisine internationale, grillades 180 – 300 NAD Situé à Alte Brücke Resort, cadre agréable
Jetty 1905 Restaurant Fruits de mer, sushis, cuisine internationale 250 – 450 NAD Restaurant emblématique sur la jetée, vue panoramique
Farmhouse Deli Cuisine allemande, internationale, pâtisseries 120 – 220 NAD Idéal pour brunchs, cafés gourmands et repas légers

Swakopmund — Déjeuner iodé et joyeux à Platz Am Meer

À l’heure du déjeuner, nous retrouvons le centre moderne et animé de Platz Am Meer, ce complexe en bord de mer où les palmiers côtoient les parasols colorés et les terrasses bien garnies. L’ambiance est vivante, les familles flânent, les joggeurs ralentissent, et les vagues viennent ponctuer la scène d’un clapotis régulier.

Nous nous installons en terrasse au Blue Grass, l’un des restaurants les plus accueillants du front de mer. Vue imprenable sur l’Atlantique, brise légère, et une carte qui donne envie de tout commander. Les huîtres de Walvis Bay, bien laiteuses et servies sur lit de glace, ouvrent le bal avec élégance. On les accompagne d’un filet de citron ou d’un trait de vinaigrette au vin rouge et à l’échalote, selon l’humeur du jour.

La salade de calmars grillés arrive ensuite, généreuse et parfumée : calamars tendres, légumes croquants, pain grillé et sauce maison. C’est frais, c’est savoureux, c’est exactement ce qu’il faut pour une pause ensoleillée.

Pour les plus carnivores, le hamburger déborde de gourmandise : cheddar fondant, oignons frits croustillants, steak juteux et frites dorées. Et pour les amateurs de finesse, le carpaccio de bœuf est une œuvre d’art : fines tranches de filet, roquette, parmesan, basilic et betterave, le tout arrosé d’une huile parfumée.

Le service est souriant, les assiettes généreuses, et l’ambiance détendue. On savoure, on observe, on se laisse porter. Swakopmund, à l’heure du déjeuner, c’est un petit luxe simple : celui de manger bien, face à l’océan, avec le soleil pour témoin.

#Swakopmund #PlatzAmMeer #BlueGrassRestaurant #NamibiaTravel #LunchWithAView #HuîtresDeWalvisBay #CalamarsGrillés #CarpaccioDeBoeuf #CarnetDePiste #VoyageAvecNous

👉 En résumé :

  • Budget moyen : 150 – 250 NAD pour un repas simple.
  • Restaurants haut de gamme (The Tug, Jetty 1905) : 300 – 450 NAD.
  • Options plus abordables (Farmhouse Deli, Brauhaus) : 120 – 220 NAD.

🇫🇷 Walvis Bay — Déjeuner sur le ponton, otaries incluses

MOULES GRATINEES – ANCHORS – WALVIS B.

C’est donc au Anchors Waterfront Restaurant que nous nous posons pour déjeuner. Terrasse animée, DJ en place, quelques clients qui esquissent des pas de danse sur le ponton… ambiance festive garantie. Devant nous, l’océan fait son show, avec quelques otaries qui se prélassent dans l’eau et jouent à cache-cache avec les reflets.

Côté service, rien à redire : personnel souriant, commandes rapides, et une carte bien garnie — poissons, fruits de mer, viandes, tout y est. Les assiettes arrivent joliment présentées, et ça sent bon.

ASSIETTE DE LA MER – ANCHORS – WALVIS B.

En entrée, le carpaccio d’oryx fait fureur : fin, parfumé, et visuellement très réussi. Les huîtres chaudes (mozzarella et beurre à l’ail) sont bonnes, même si le fromage joue un peu les envahisseurs et masque le goût iodé.

En plat, le plateau de sushi est copieux et excellent. Le steak de thon de 350g est parfaitement cuit — ni trop, ni pas assez, juste ce qu’il faut. Les gambas au curry sont un peu trop piquantes pour les palais sensibles, mais le goût indien est bien là. L’assiette de fruits de mer est généreuse : filet pané de poisson (hawk), calamars grillés, moules farcies… et en option (un peu chères), 4 crevettes grillées qui valent le détour.

L’addition pique un peu : 1670 NAD avec une bouteille de vin blanc et deux cocktails pour les enfants. Mais entre les otaries, le DJ, les assiettes et la vue, on ne regrette rien.

📌 Hashtags (FR)

#AnchorsWaterfrontRestaurant #WalvisBay #WaterfrontWalvisBay #Namibie

 Gabriele’s Italian Pizzeria – Soleil, pâte fine et moules en coquille à Swakopmund

🇮🇹 La dolce vita version Namibie
De retour à Swakopmund, on troque les crêtes de dolérite pour une terrasse ensoleillée chez Gabriele’s Italian Pizzeria — merci Orlane pour le bon plan ! Et oui, ici, on cherche le soleil, parce que les températures jouent à cache-cache avec nos envies de chaleur.
La carte est une ode à l’Italie : pâtes fraîches, gnocchis dodus, pizzas fines et croustillantes. Et surprise… pas de viande rouge. En Namibie, pays du bœuf et du braai, c’est presque révolutionnaire. Peut-être est-ce justement ce qui fait le charme et le succès de cette adresse : du goût, du frais, du local, sans carnage.
Le service est rapide, la pâte exceptionnelle, et chacun trouve son bonheur : – Bastien plonge dans ses gnocchis bolognaise, concentré comme un critique gastronomique. – Margot opte pour une pizza burrata, fraîche et généreuse. – Nadège choisit la pizza Karen, mascarpone, épinards et balsamique — élégance assumée. – Et moi, je craque pour la pizza fruits de mer, avec des moules farcies dans leurs coquilles, posées comme des bijoux sur la pâte.
L’addition ? 820 NAD pour 4, avec deux bières légèrement ambrées et deux sodas. Pas mal pour un festin italien sous les palmiers namibiens.
📌 Hashtags pour voyageurs gourmands

LES LOGEMENTS  

🏖️ Séjour en bord de mer à Swakopmund — Notre villa en bord de mer

À notre arrivée à Swakopmund, nous avons trouvé un véritable cocon : une villa en self-catering gérée par Gladys, idéalement située sur le front de mer. En quelques minutes à pied, nous rejoignons le centre commercial Platz Am Meer, avec ses boutiques, restaurants et distributeurs, tandis que la plage et le parc sont accessibles en moins de cinq minutes.

Nous sommes immédiatement séduits par la propreté et le confort du logement, proposé sur Airbnb à seulement 465 € pour 6 nuits. Spacieuse et décorée avec goût, la maison offre un cadre parfait pour quatre adultes, mais convient tout autant aux familles, aux aventuriers ou aux voyageurs d’affaires. Le quartier est convivial et la sécurité optimale.

À l’intérieur, deux chambres accueillantes et deux salles de bain luxueuses garantissent confort et intimité. La cuisine ouverte, entièrement équipée, permet de préparer des repas comme à la maison : four double, cuisinière électrique, friteuse à air, bouilloire et micro-ondes. Le coin repas accueille jusqu’à huit convives, tandis que le salon, la buanderie avec lave-linge et sèche-linge, et le garage double complètent l’ensemble. Un espace braai intérieur ajoute une touche locale, idéale pour savourer un barbecue en toute saison.

Le système de sécurité est impressionnant : alarme et faisceaux laser reliés à l’unité d’intervention armée G4S, assurant une tranquillité totale. Les voyageurs disposent de l’ensemble du logement et d’une cour arrière fermée, parfaite pour les enfants, avec même une corde à linge pour les séjours prolongés.

Enfin, des brochures détaillant les attractions locales sont mises à disposition, facilitant la découverte de Swakopmund et de ses environs. Entre confort moderne et immersion dans la vie côtière namibienne, cette villa est une halte idéale pour profiter pleinement de la ville et de l’océan.

📸 Hashtags pour publication

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MAGASINS ALIMENTATION

Voici les principales options pour acheter viande, poisson, légumes et produits alimentaires à Swakopmund :

  • Food Lover’s Market Namibia Swakopmund : excellent choix de fruits, légumes frais, viandes et produits de la mer.
  • Model Swakopmund : grande épicerie locale avec produits variés.
  • SUPERSPAR Swakopmund : supermarché complet, large gamme de produits alimentaires.
  • Woermann, Brock Cash & Carry Swakopmund : idéal pour les achats en gros et produits de base.
  • SPAR Ocean View : supermarché de quartier pratique pour les courses quotidiennes.
  • The Green Center Market : marché local, réputé pour ses produits frais et son ambiance conviviale.
  • Checkers Waterfront Swakopmund : supermarché moderne avec un bon rayon frais.
  • Your Woermann Swakopmund Main Branch : épicerie centrale, produits alimentaires et ménagers.

👉 Pour la viande et le poisson, privilégie Food Lover’s Market et Checkers Waterfront, qui ont les rayons les plus fournis. Pour les fruits et légumes frais, The Green Center Market et Food Lover’s Market sont les plus intéressants.

CARBURANT

Pour le ravitaillement en carburant à Swakopmund, tu peux compter sur la Oceanview Shell Service Station, bien située sur la route de Henties Bay.

👉 Concernant la route depuis Terrace Bay :

  • Il n’y a aucune station-service directement à Terrace Bay (c’est une zone très isolée de la Skeleton Coast).
  • Le dernier point de ravitaillement fiable avant d’y entrer est généralement à Torra Bay (saisonnier, parfois fermé) ou plus sûrement à Palmwag et Khorixas.
  • Il est donc indispensable de faire le plein complet à Swakopmund (ou Henties Bay) avant de monter vers Terrace Bay, et de prévoir des jerricans supplémentaires pour l’autonomie.

BANQUES ET DISTRIBUTEURS

Voici les principales options de banques et distributeurs à Swakopmund :

  • Standard Bank Swakopmund – agence bancaire avec distributeurs.
  • Bank Windhoek Swakopmund Branch – agence principale en centre-ville.
  • Nedbank Bureau de Change – utile pour change de devises et retraits.
  • Bank Windhoek Swakopmund Agency – autre agence Bank Windhoek.
  • Bank Windhoek ATM – plusieurs distributeurs automatiques répartis en ville (dont Vrede Rede Ave).
  • ExpressCredit Swakopmund branch – institution financière pour services de crédit.

👉 Les cartes Visa et Mastercard sont largement acceptées. Pour plus de sécurité, privilégie les retraits dans les ATM attenants aux agences bancaires.

LES LIENS VERS LES PHOTOS  

J 1239 🦴 Bienvenue sur la côte des squelettes (et des chacals curieux)

J 1239 🦭 De Terrace Bay à Swakopmund : entre épaves, cormorans et dunes grondantes

J 1239 🦭 Cape Cross : là où l’océan respire, hurle… et parfois retient son souffle

J 1239 🌊 Swakopmund — Notre petit bonheur en bord de mer

J 1240 Swakopmund — Immersion au cœur d’une ville qui aime le vent, les palmiers et les façades pastel

J 1240 Swakopmund — Soleil, calmars et huîtres bien laiteuses

J 1241 🏜️ Entre dunes et Atlantique — From Swakopmund to Walvis Bay

J 1241 🇫🇷 Walvis Bay — Flamants, phoques et jazz au bord du lagon

J 1241 🇫🇷 Walvis Bay — Quand le désert se prend pour un lagon

J 1241 🇫🇷 Walvis Bay — Otaries, DJ et carpaccio d’oryx : le combo gagnant

J 1241 🇫🇷 Walvis Bay → Rooibank — Flamants roses et mirage au bout du sable

🐦 Cormoran du Cap Cape Cormorant Phalacrocorax capensis

🦭 Phoque à fourrure du Cap Cape Fur Seal Arctocephalus pusillus pusillus

LES LIENS

1 réflexion sur “Swakopmund : entre désert et océan, une ville aux contrastes fascinants NAMIBIE +

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