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Kissama, sanctuaire de la faune de l’ Angola +

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Parc national de Kissama : immersion en terre sauvage

Nous quittons Luanda à l’aube, notre 4×4 chargé de curiosité et d’anticipation. Après avoir longé l’Atlantique puis quitté l’asphalte, nous entamons près de 70 kilomètres de piste rouge avant d’atteindre les portes du parc national de Kissama (entrée située aux environs de -9.360538159088845, 13.174288290979074. L’accès est réglementé et les droits d’entrée s’élèvent à 5000 AOA par adulte, 2500 AOA par enfant, et 4000 AOA pour le véhicule.

La piste, tantôt sableuse, tantôt crevassée, reste dans l’ensemble bien entretenue et permet de rouler à 40 km/h sans difficulté. Mais c’est en ralentissant que l’on profite véritablement du spectacle : déjà la faune se dévoile au détour d’un virage. Un coucal à sourcils blancs bondit hors d’un buisson épineux, son vol lourd et chaloupé laissant entrevoir son plumage brun chaud et sa longue queue sombre. Plus loin, un vautour palmiste juvénile nous observe depuis une branche dénudée : silhouette massive, ailes larges, regard perçant, il guette patiemment un mouvement dans l’herbe. Sur la piste, un groupe de pintades de Numidie traverse sans hâte, leurs casques cornus et leurs plumages tachetés de blanc scintillant au soleil levant. Déjà, nous sentons que la journée sera riche.

Le parc s’étend sur près de 10 000 km² de savane côtière, encadrée au nord par le fleuve Cuanza et au sud par la rivière Longa. Dès les premiers kilomètres, le décor est grandiose : une mer d’herbes jaune-doré s’étend à perte de vue, ponctuée de baobabs monumentaux aux troncs ventrus et d’euphorbes candélabres dont les silhouettes, découpées par la lumière du matin, semblent former des sculptures végétales. Ces géants dominent une mosaïque de savanes herbeuses, de bosquets épineux, de buissons touffus et, en bord de rivière, de galeries forestières plus denses où se réfugient éléphants et antilopes. Chaque souffle de vent soulève un nuage de poussière ocre, donnant l’impression de voyager dans un espace vierge, encore façonné par la nature.

Nous atteignons enfin le Kissama Lodge, 9°21’35.7″S 13°10’51.7″E, cœur logistique du parc.

À notre arrivée, nous sommes littéralement émerveillés par la beauté de la plaine qui s’ouvre devant nous. Du haut d’un léger promontoire, notre regard embrasse un horizon infini : la savane se déploie en vagues dorées, et tout au loin, les méandres du fleuve Kwanza serpentent paresseusement, scintillant sous la lumière oblique du soleil. Ses rives bordées de forêts galeries contrastent avec la sécheresse des plaines et semblent promettre une autre vie sauvage, plus secrète, nichée à l’ombre des arbres. Ce paysage à la fois vaste et vivant donne immédiatement le sentiment de pénétrer un espace préservé, presque intemporel.

Nous sommes accueillis par de vifs singes grivets qui bondissent d’arbre en arbre, curieux et peu farouches. Leurs visages clairs, bordés de poils blancs, rappellent ceux des vervets d’Afrique de l’Est, auxquels ils ressemblent beaucoup. Mais leurs teintes sont plus grisâtres, et leurs attitudes parfois plus audacieuses lorsqu’il s’agit de s’approcher des visiteurs. Ce ballet malicieux ajoute une touche de légèreté à l’atmosphère sauvage du parc.

Un peu plus loin, plus furtifs et silencieux, nous apercevons un groupe de cercopithèque à diadème. Contrairement aux grivets, ils évitent les zones découvertes et se déplacent d’arbre en arbre avec une souplesse étonnante. Leur longue queue touffue, presque aussi expressive que leurs bonds, se balance dans les airs à chaque saut. Leur pelage sombre est rehaussé de touches blanches élégantes autour du visage et des épaules, qui leur donnent une allure à la fois noble et discrète. Espèce emblématique mais discrète des forêts du parc, le colobe préfère rester à l’abri du feuillage, n’offrant souvent que de fugaces apparitions. Leur simple présence témoigne de la diversité encore préservée de Kissama.

Après nous être acquittés de 10 000 AOA pour le safari, nous montons à bord d’un grand camion de visionnage, surélevé pour dominer la savane. Le moteur gronde doucement, et déjà nos yeux se perdent dans l’immensité : un terrain de jeu pour les éléphants, les gnous, les zèbres et bien d’autres espèces que nous espérons croiser au fil de cette aventure en terre sauvage.

Le Parc de Kissama a une longue histoire. D’abord simple réserve de gibier en 1938, il a été proclamé parc national par l’administration coloniale portugaise en 1957. Autrefois, la faune y abondait – lions, éléphants et zèbres peuplaient librement la savane. Mais les vingt-sept ans de guerre civile ont tout bouleversé : l’UNITA et d’autres ravageurs ont chassé intensivement pour financer le conflit, décimant presque toute la grande faune. À la fin des années 1990, il ne restait presque plus rien. Face à cette catastrophe, la Kissama Foundation (un groupe angolais et sud-africain) s’est mobilisée. En 2001, l’« Opération Arche de Noé » a été lancée : plus de 300 éléphants, en famille ou petits groupes, ont été capturés en Afrique du Sud et au Botswana puis transportés par avion vers l’Angola. Des girafes, zèbres et antilopes les ont rejoints peu après. Nous imaginons aujourd’hui l’émotion de voir ces énormes pachydermes fouler à nouveau la terre angolaise. Depuis lors, le parc a progressivement repris vie grâce à ces relocalisations sans précédent, devenant un exemple de coopération régionale pour la conservation.

Faune sauvage

Nous partons donc avec notre camion de vision de faune pour un safari ddamale près de trois heures au cœur du parc national de Kissama. À mesure que nous quittons la zone d’accueil, le paysage s’ouvre devant nous : une alternance de savanes herbeuses parsemées de bosquets d’acacias, de forêts sèches où se cachent les animaux, et de larges plaines traversées par des pistes sablonneuses. Au loin, l’horizon est ponctué de palmiers à huile et de baobabs solitaires, silhouettes imposantes qui rappellent la rudesse et la beauté de cette terre angolaise. Le fleuve Kwanza, tout proche, nourrit cette mosaïque de milieux où se concentrent les grands mammifères et l’avifaune.

Très rapidement, une ombre majestueuse attire notre regard : un aigle martial, perché sur une branche haute, scrute la plaine. Ses serres puissantes et sa stature imposante en font l’un des plus redoutables prédateurs ailés d’Afrique.

Non loin, des silhouettes plus familières mais tout aussi impressionnantes se détachent dans le ciel : des vautours palmistes, dont un juvénile encore maladroit, profitent des courants ascendants. Ces rapaces, liés aux palmiers à huile dont ils consomment les noix, rappellent la richesse écologique du parc.

Sur la piste, un groupe d’impalas apparaît, alertes et graciles. Ils lèvent la tête à notre approche, oreilles dressées, oscillant entre curiosité et prudence. Leur robe fauve tranche sur le vert tendre de l’herbe après la pluie. Plus loin, c’est une rencontre plus rare : des damalisques à front blanc, reconnaissables à la tache claire qui orne leur visage sombre. Probablement réintroduits depuis l’Afrique du Sud, ces antilopes robustes ont retrouvé ici un espace propice à leur survie. Leur allure altière et leur démarche élégante témoignent de la réussite des efforts de conservation entrepris à Kissama.

Alors que nous progressions à travers les pistes sableuses du parc national de Kissama, nos regards furent soudain attirés par un petit groupe d’antilopes graciles, immobiles dans la lumière dorée du matin. Leur robe d’un roux éclatant, parsemée de taches blanches lumineuses, tranchait sur les hautes herbes blondies par la saison sèche. Il s’agissait de guibs harnachés occidentaux (Tragelaphus scriptusscriptus), une rencontre émouvante tant cette antilope incarne la discrète élégance de la savane boisée africaine.

Dans une zone plus dégagée, de grands vautours charognards planent au-dessus de la plaine. Avec leur collerette de plumes et leur bec massif, ils règnent sur le charognage, veillant du haut du ciel aux moindres mouvements. Enfin, à la lisière de la broussaille, nous distinguons la masse compacte d’un groupe de gnous bleus. Leur démarche saccadée et leur corps robuste leur confèrent un air étrange, presque hybride, entre cheval et bison. Leur présence, tout comme celle des autres ongulés, anime ce paysage où la vie sauvage semble renaître après des années difficiles.

Ainsi se déroule notre safari, au rythme des apparitions animales et des contrastes de paysages, où chaque rencontre souligne l’importance du parc de Kissama comme refuge d’une faune africaine en pleine reconquête.

Caractéristiques particulières

Kissama se distingue vraiment des autres parcs d’Afrique australe. D’abord, c’est aujourd’hui l’unique parc national opérationnel en Angola, survivant miraculeux des vingt-sept ans de guerre (les autres aires protégées angolaises n’ayant pas été relancées).

Sa situation est aussi unique : pas de hautes savanes d’Afrique de l’Est ou de bush épais d’Afrique du Sud ici, mais une savane côtière bordée d’océan et traversée par des fleuves.

Fait intéressant, il n’abrite (pour l’instant) aucun grand prédateur au sommet de la chaîne alimentaire – les lions ou léopards manquent encore à l’appel. En revanche, la densité d’éléphants et la profusion d’antilopes le rapprochent d’autres savanes, mais toujours sur un relief moins accidenté.

Enfin, la réintroduction massive d’animaux via l’« Arche de Noé » est un cas unique au monde : rien de tel n’existe dans les parcs voisins. Toutes ces particularités font de Kissama un endroit à part, chargé d’histoire et d’espoir, où l’on se sent à la fois privilégiés et petits au cœur du vaste théâtre de la nature angolaise.

FAUNE ET FLORE

J 1136 VAUTOUR PALMISTE JUVENILE Palmiste africain Gypohierax angolensis PARC NATIONAL DE KISSAMA LUANDA ANGOLA

VIDEOS  

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La Cuisine 

Toutes les informations, par région sur la gastronomie congolaise en suivant ce lien : La Cuisine angolaise

À Luanda, plusieurs restaurants renommés offrent une cuisine variée et une expérience gastronomique de qualité. Voici quelques établissements à découvrir :

MIAMI BEACH RESTAURANT

C’est au bout de la péninsule, face à l’océan, que nous nous attablons pour le déjeuner au Miami Beach Restaurant. L’établissement joue la carte du chic balnéaire : décoration soignée, terrasse donnant sur le large et une ambiance élégante qui tranche avec les gargotes du bord de mer. La vue est, sans conteste, le point fort — l’Atlantique déroule ses vagues sous nos yeux et le spectacle maritime accompagne chaque plat.

Le service se montre impeccable : souriant, attentif, rapide — une prestation à la hauteur du standing. Dans l’assiette, l’ensemble est très correct. Les pizzas sont surprenamment réussies, la pâte bien travaillée et les garnitures généreuses ; les hamburgers, eux, sont volumineux et satisfaisants pour les gros appétits. La darne de poisson vaut aussi le détour : cuite juste, chair ferme et sauce adaptée, elle nous rappelle que le produit de la mer peut briller même dans un cadre touristique.

Nous notons toutefois une petite réserve : la poêlée de légumes, servie à un tarif élevé au vu du reste de la carte, ne paraît pas composée de légumes fraîchement préparés — manque de croquant, cuisson un peu uniforme — ce qui est dommage dans un restaurant de ce niveau. Malgré ce bémol, l’expérience reste positive : cadre exceptionnel, service soigné et plats globalement bons. Parfait pour un déjeuner tranquille et panoramique après une matinée de découverte.

  • O Madeirense Cidade : Un restaurant apprécié pour ses plats portugais et européens.
  • Pimm’s : Un établissement bien noté proposant une cuisine européenne et portugaise.
  • Restaurante La Vigia : Spécialisé en fruits de mer et grillades.
  • Andy’s Broadway Restaurant&Bar : Un lieu convivial avec une cuisine indienne et asiatique.
  • Restaurante Barbarico : Situé sur l’Avenida Cmte. Che Guevara.
  • Restaurante Veneza : Un restaurant international et européen.
  • Seven Restaurante : Offrant une cuisine méditerranéenne et portugaise.
  • Oon Dah, Luanda : Un restaurant réputé pour ses plats asiatiques et sushi.

À Luanda, vous trouverez une variété de marchés, supermarchés, hypermarchés, boucheries et poissonneries pour vos achats alimentaires :

  • Marchés locaux : Luanda abrite plusieurs marchés traditionnels où vous pouvez acheter des produits frais et locaux.
  • Supermarchés et hypermarchés : Des enseignes comme Shoprite, Kero, Maxi et Candando sont bien établies et offrent une large gamme de produits.
  • Boucheries : Vous trouverez des boucheries spécialisées proposant des viandes locales et importées.
  • Poissonneries : Situées principalement près du littoral, elles offrent des poissons et fruits de mer frais.

Pour des informations plus détaillées sur les commerces ouverts et leurs horaires, vous pouvez consulter . Bonnes courses !

REPAS DE REQUIN ET COQUILLAGES A TEU RIVA : Un festin aux saveurs de l’Atlantique

Après nos emplettes matinales au marché aux poissons de Luanda, nous nous apprêtons à vivre un véritable repas de fête, orchestré autour des produits les plus frais du jour.

Nous commençons avec les kitetas — des palourdes locales très prisées, à la coquille nacrée — que nous faisons « revenir » dans une poêle brûlante avec de l’ail haché, du persil finement ciselé et un généreux filet de vin blanc. Sous l’effet de la cuisson, elles s’ouvrent délicatement, libérant un parfum iodé exaltant. Chaque bouchée mêle la douceur subtile de leur chair à la rondeur musquée de l’ail et à la vivacité du persil et du vin.

Les crevettes, elles aussi achetées au marché, sont cuites simplement dans de l’huile d’olive avec ail et persil. Leur carapace s’enveloppe d’une robe orangée brillante, tandis que la chair, à peine saisie, reste ferme, légèrement sucrée, et absolument juteuse — une préparation parfaite pour révéler leur délicatesse naturelle.

La pièce maîtresse du repas est la darne de requin, longuement marinée dans un mélange citron-herbes fraîches, puis cuite au barbecue. La peau croustille joliment, tandis que la chair conserve une texture fondante, blanche et tendre. À chaque tranche, nous ajoutons un peu de sauce verte maison — un mélange de coriandre, oignon, piment fin et citron — pour apporter une note éclatante et rafraîchissante qui équilibre la puissance du poisson.

Sur nos assiettes, les kitetas parfumées, les crevettes dorées et la darne de requin aux tons charbonneux forment une harmonie parfaite : une ode à l’Atlantique et au vécu du marché. Chaque bouchée raconte, avec gourmandise, l’ambiance bruyante du marché, le savoir-faire des pêcheurs et la générosité de la côte angolaise.

Un festin simple, authentique, et profondément savoureux — le meilleur hommage que nous puissions rendre aux mers et aux traditions culinaires locales.

RESTAURANT DU KISSAMA LODGE

bifana no prato à moda Quicama

De retour de notre safari, encore émerveillés par les paysages et les rencontres animales de la journée, nous prenons place à la terrasse du Kissama Lodge, niché au cœur du parc. L’endroit offre une atmosphère reposante, avec sa vue ouverte sur la savane et son ambiance simple mais authentique, idéale pour prolonger cette immersion en pleine nature.

La carte, bien que prometteuse, révèle vite ses limites : plusieurs plats inscrits au menu ne sont en réalité pas disponibles, une situation fréquente dans les lodges reculés où l’approvisionnement dépend des arrivages. Le serveur, souriant et attentif, nous oriente vers deux spécialités locales revisitées à la mode portugaise.

Nous choisissons d’abord le bitoque à la portuguesa, ce grand classique composé d’un steak garni d’un œuf au plat, accompagné de frites dorées et d’un peu de riz. Mais la viande, plus coriace que ce que nous avions pu savourer ailleurs, ne tient pas toutes ses promesses et laisse une impression mitigée.

En revanche, le bifana no prato à moda Quicama se révèle une agréable surprise. Ce plat typique, d’inspiration lusitanienne mais ici adapté au contexte angolais, associe une escalope de porc marinée et légèrement épicée, servie avec un œuf, des frites croustillantes et quelques légumes sautés. La viande, bien assaisonnée, s’avère savoureuse et tendre, rehaussée par la simplicité des garnitures qui rappellent la cuisine de taverne portugaise. Ce mélange rustique mais généreux s’accorde parfaitement avec l’ambiance du lieu et fait oublier la relative déception des autres plats.

En somme, même si le Kissama Lodge ne brille pas par la richesse de son offre culinaire, il parvient à proposer une expérience conviviale et nourrissante, en phase avec l’esprit du safari : simplicité, authenticité et un certain goût d’aventure jusque dans l’assiette.

LES LOGEMENTS  

🏡 Notre logement à Luanda : un loft moderne à Nova Vida

Nous arrivons en fin d’après-midi dans le quartier résidentiel de Nova Vida, au sud-est du centre-ville. C’est un quartier calme, bien organisé, avec des rues larges, bordées de villas modernes, de petits commerces, et de résidences surveillées.

Notre hébergement est un loft géré par Archangel Properties, situé dans une zone paisible, loin du tumulte du centre-ville, mais proche de nombreux services. Dès l’ouverture de la porte, nous découvrons un intérieur chaleureux et contemporain, pensé pour le confort et la détente.

✨ Équipements et ambiance du loft :

  • Un espace lumineux et climatisé, au design épuré avec une grande baie vitrée donnant sur la cour intérieure.

  • Connexion Wi-Fi haut débit stable dans tout le logement : idéale pour ceux qui souhaitent télétravailler ou rester connectés.

  • Téléviseur avec abonnement câble standard, parfait pour une soirée cinéma après une journée de visite.

  • Une cuisine équipée avec réfrigérateur, plaques de cuisson, vaisselle et ustensiles pour préparer nos repas comme à la maison.

  • Lave-linge à disposition, très utile après plusieurs jours de route et de plage.

  • Salle de bain moderne avec douche chaude et sèche-cheveux fourni.

  • À l’extérieur, une piscine partagée accessible à quelques pas – parfait pour se détendre après la route.

  • Parking gratuit dans la rue, sécurisé, directement devant la résidence.

Ce loft est un véritable havre de paix dans la capitale. Il allie la tranquillité d’un quartier résidentiel à la proximité des grands axes menant au centre-ville ou à la côte. Installés confortablement, nous avons désormais tout le loisir de planifier les jours suivants, entre découverte de l’histoire coloniale de Luanda, balades en bord de mer, gastronomie locale… et bien sûr, quelques instants de farniente au bord de la piscine.

LES LIENS VERS LES PHOTOS  

J 1131- Départ jusqu’à Foz do Rio / Saída até Foz do Rio / Departure to Foz do Rio – SOYO A LUANDA ANGOLA

J 1132- AMBRIZ & Praia Croc Nga / Praia Croc Nga / Praia Croc Nga

J 1133- Barrondo Dande – ANGOLA

J 1134- LUANDA- ANGOLA

J 1134-ASSEMBLEE NATIONALE LUANDA- ANGOLA

J 1134-Monumento do Marco Histórico 4 de Fevereiro LUANDA- ANGOLA

J 1134-MAUSOLEU DR ANTONIO AGOSTINHO NETO LUANDA- ANGOLA

J 1134-FORTALEZA DE SAO MIGUEL LUANDA- ANGOLA

J 1134 ILHA DO CABO LUANDA- ANGOLA

J 1134 RESTAURANT MIAMI BEACH ILHA DO CABO LUANDA- ANGOLA

J 1134 COZIDO MAISON A NOTRE VILLA LUANDA- ANGOLA

J 1134 LA VIANDE DE BOEUF SURGELEE A LUANDA- ANGOLA

J 1135 FEIJOADA MAISON A LUANDA- ANGOLA

J 1135 La présence chinoise à Luanda : petites villes commerciales le long de la voie express

J 1135 Praia de Cacuaco : au cœur du marché aux poissons LUANDA ANGOLA

J 1136 Parc national de Kissama : immersion en terre sauvage LUANDA ANGOLA

J 1136 Parc national de Kissama : immersion en terre sauvage LUANDA ANGOLA

J 1136 RESTAURANT DU KISSAMA LODGE LUANDA ANGOLA

J 1137 Le Miradouro da Lua, un paysage lunaire aux portes de Luanda ANGOLA

LES LIENS

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