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Première étape de notre Tour d’Europe, Gênes  » la Superbe « , capitale européenne de la culture en 2004, est notre porte d’entrée pour l’Italie.

Au final nous sommes passés par le Luxembourg puis Strasbourg, la suisse avant d’arriver en Italie par le nord. Le même temps de route mais avec beaucoup moins de péages : 78.30 € conte près de 120 € par la France net Grenoble

 

Autre point intéressant, cela nous a permis de faire un complément de plein au Luxembourg à seulement 1.85 €. Par contre, évitons la Suisse pour faire le plein, à plus de 2.45 e le litre de gasoil

 

Particularité de l’Italie , les stations proposent deux prix : SERVITO plus cher de 30 cts environ mais vous êtes servis comme au bon vieux temps ou SELF.

Nous apprécions de nous installer alors confortablement à l’Appartement Creuza da me

LES LIENS VERS TOUTES LES PHOTOS DE CETTE ETAPE

QUELQUES ELEMENTS HISTORIQUES

Elle a une histoire qui remonte à 26 siècles en arrière et, selon le mythe, elle fut fondée par Janus, le dieu bifront gardien des portes, dont il surveillait les entrées et les sorties.

Gênes a toujours été une “porte” des civilisations, entre ’Orient et l’Occident, entre la Méditerranée et l’Europe. Elle a toujours été protagoniste de son propre destin. C’est ici que le célèbre explorateur Christophe Colomb a vu le jour. C’est aussi le tout premier port d’Italie.

Avec le vingtième siècle Gênes connut un grand essor en tant que port moderne, puis elle devint l’un des principaux centres industriels de l’Italie du Nord. Gênes est actuellement un important centre d’innovation technologique et de services à contenu élevé de valeur ajoutée et elle représente un attrait pour un nombre de plus en plus croissant de visiteurs. En 2004 Gênes a été nommée “Capitale Européenne de la Culture”, puis en 2006 son système des Palais des Rolli et des Rues Nouvelles a été déclarée par l’UNESCO “Patrimoine de l’Humanité”

LA VISITE

La ville incarne la diversité et les contrastes : tradition et modernité se mêlent harmonieusement, à la fois ville d’art d’art et ville industrielle, mêlant gratte-ciels en verre et tours médiévales

 

La ville est construite verticalement à cause de la hauteur de ses immeubles et de l’étroitesse de ses ruelles, les “caruggi”, et de ses “creuze”, les petits sentiers qui s’insinuent dans les hauteurs. comme celui qui nous mène à notre appartement

 

 

Alors évidemment quand nous prenons la route ce matin à la fraîche, notre surprise a été malgré tout bien grande à la vue des dizaines de marches que nous devions gravir pour commencer à apprécier la ville « du haut »

Pour débuter notre visite nous prenons la direction du quartier Strade Nuove.

 

Pour cela nous descendons la via Assarotti bordée de très jolies demeures de maîtres dont quelques unes en pleine réfection par la ville;

 

Sur notre droite la Basilica Di Santa Maria, un des exemples les plus frappant du style de la néo renaissance à Gênes. sa façade est médaille de décorations précieuses, sculptures, mosaïques, marbre.

 

L’intérieur est remarquable par les fresques de Nicolas Barabino représentant la sainte Vierge du Chapelet, saint Dominique et Sainte Catherine

Nous arrivons ensuite à la Piazza Corvetto et sa statue monumentale,

Notre chemin passe tout d’abord par la très agréable villa négro, avec ses jardins, ses cascades, ses grottes et son belvédère qui offre une vue magnifique sur la basse ville et son port

Nous suivons ensuite la Via Garibaldi, une des plus belles rues de Gênes, autrefois appelée Strada Nuova qui nous amène au coeur de la zone historique de la cité : le quartier Strade Nuove

QUARTIER STRADE NUOVE

L’UNESCO n’a pas hésité à le distinguer. Ici, le régal aux yeux est garanti.

En se promenant Via Garibaldi, on apprécie la beauté antique de cette merveilleuse ville à travers les élégants palais des riches aristocrates génois. A partir de la moitié du XVI siècle, Gênes s’enrichit de magnifiques façades décorées de stucs, de marbres ou peintes, de vestibules grandioses, de magnifiques jardins ornés de fontaines et de nymphes; à l’intérieur : de grands salons décorés de fresques, du mobilier somptueux, des collections précieuses et de riches tableaux. Ces demeures luxueuses n’échappent pas au regard d’un artiste raffiné comme le célèbre peintre flamand Pieter Paul Rubens qui, au début du XVII siècle publie un recueil de dessins des palais qu’il propose comme modèle d’habitation pour la noblesse européenne.

Vous y découvrirez les palais des Rolli fascinants par leur architecture et les matériaux précieux qui ont été utilisés pour la construction. Au nombre de ces majestueuses résidences, le Palais Rosso, le Palais Bianco et le Palais Doria Tursi, tous transformés en musée où la splendeur architecturale se conforme parfaitement aux œuvres exposées.

PALAZZO BIANCO

Dans le cadre élégant d’un palais du XVIe siècle (remanié au XVIIIe) avec jardin sur cour, la pinacothèque illustre l’évolution de la peinture figurative à Gênes du XVIe au XVIIe siècle. Les plus célèbres peintres génois y sont exposés ainsi que les primitifs flamands et hollandais et les grands maîtres italiens, français et espagnols.

Le musée accueille une importante collection de peinture européenne, italienne et génoise couvrant une période allant du XVIe au XVIIIe siècle: aux côtés des chefs-d’œuvre des peintres italiens (Le Caravage, Véronèse), flamands (Hans Memling. Gérard David, Jean Provost, Rubens, Van Dyck), hollandais (Steen), français (Vouet, Lancret) et espagnols (Zurbaràn, Murillo), soulignons l’importance de la collection consacrée à la peinture génoise allant du XVIe au XVIIIe siècle (Magnasco, Cambiaso, Strozzi, Piola).

Le parcours de visite s’ouvre avec la Madone à la bougie de Luca Cambiaso, suivi par la plupart des représentants de l’école génoise. Les autres salles dédiées à la peinture italienne, accueillent parmi d’autres des toiles des peintres Véronèse, Palma le Jeune, Procaccini et l’extraordinaire Ecce Homo de Caravage. Petite diversion à l’entresol avec une exposition d’habits, d’accessoires et de lingerie d’époque, illustrant l’évolution de la mode féminine du XVIIe au XXe siècle (remarquez l’incroyable collection de broderies anciennes).

Le parcours d’exposition de la précieuse pinacothèque du Palazzo Bianco se conclut par une sculpture de Canova, La Madeleine pénitente, installée dans un espace conçu spécialement pour elle, à l’intérieur du Palazzo Doria Tursi.

Plus loin dans le prolongement la basilique Santissima Annunziata del Vastato est une église représentative de l’école génoise, typique du maniérisme tardif, du baroque du Seicento. Probablement l’une des plus belles de la cité, toute dorée, elle abrite des fresques de Giovanni mais aussi dans la coupole des fresques en trompe-l’œil (voir https://www.visitgenoa.it/basilica-della-santissima-annunziata-del-vastato)

Toujours en poursuivant sur le même chemin, nous arrivons au Palais Royal de Gênes devenu l’un des plus beaux musées de la ville, présentant un riche mobilier des XVIIe et XVIIIe siècles, ainsi qu’une somptueuse galerie des glaces, mais aussi des oeuvres d’art de tout premier plan : oeuvres de Van Dyck, il Guercino notamment et enfin, de nombreuses sculptures.

Enfin, le jardin est très agréable, orné d’un bassin octogonale et entouré d’un typique risseu (quatrième photo ci-dessous). En effet, le risseu, dont le nom est tiré du français ruisseau, est une mosaïque de galets noirs ou blancs et plus rarement rougeâtres, une décoration typiquement gênoise.

Il fait partie des Palais des Rolli de Gênes.

LA BASILIQUE SANTISSIMO ANNUNZIATA DEL VESTATO

En poursuivant l’avenue Garibaldi puis la Via Cairoli, nous débouchons sur un rond-point, Piazza della Nunziatta. La basilique trône fièrement sur la place qui porte son nom. l’intérieur est magnifique. Entre les fresques des plafonds très brillantes et les colonnes de marbre et ses lignes rouges

LE PORT

 

Vous ne pourrez d’ailleurs éviter cette escale puisqu’à tout point de la cité, vous le repérerez assez facilement avec ses 76 m de haut. Il compte même parmi les plus importants ports du monde. Il représente le symbole même de la ville. Admirez son phare encore appelé « la Lanterne ».

 

BIGO

Le bigo était une grue métallique placée autrefois sur le pont des bateaux, qui servait à soulever les marchandises. En 1992, Renzo Piano en reprenant le concept en a fait le symbole du Porto Antico. Un ascenseur panoramique rotatif vous emmène en musique, tout en haut de cette grosse araignée renversée à 40 m de hauteur ; de là, on a une des plus belles vues de Gênes et de la mer.

Horaires variables selon le mois et selon la saison. Tarif 5 € par personne, tarif réduit 3 €.

Nous reprenons ensuite les visites d’églises et de palais du centre historique avec tout d’abord la CHIESA DI SAN PIETRO

Le Centro Banchi est situé au cœur de Gênes, dans les ruelles, à quelques mètres du Porto Antico et de la cathédrale de San Lorenzo. Il comprend l’église de San Pietro alla Porta avec son arcade et les salles de réception du Centro Banchi.

Plus loin dans un dédale de ruelles, la

CATTEDRALE SAN LORENZO

Quelques pas plus loin commence via San Lorenzo, qui relie la zone du Porto Antico et Piazza De Ferrari, le coeur de la ville.

À mi-chemin se dresse la majestueuse cathédrale, un chef d’oeuvre de l’art gothique bâti sur une structure préexistante romane en pierres noires et blanches. La cathédrale abrite le trésor de Saint Laurent et le “Sacro Catino”, un calice en verre qui, selon certains, serait le Saint-Graal.

Construite entre le XIIe et XIVe siècle, sur de précédentes fondations d’époque romane, San Lorenzo est l’Eglise la plus importante de Gênes. Elle affiche le traditionnel style gothique ligure, caractérisé par la façade à bandeaux blancs et noirs. Seuls les deux portails (de San Giovanni à gauche et de San Gottardo sur la Via San Lorenzo) le long des nefs latérales, témoignent encore du passé roman de l’édifice.

Des histoires curieuses et des légendes fascinantes circulent autour de la cathédrale génoise et des représentations sur la façade.

Érigée vers 1098 sur une ancienne basilique du V-VI siècle et agrandie au fil des siècles sous des formes solennelles et précieuses, la cathédrale dédiée à San Lorenzo Martire abrite les cendres du saint patron de la ville San Giovanni Battista , arrivé en Gênes à la fin de la première croisade.

Trois portails gothiques s’ouvrent en façade ; une lunette à l’effigie de Saint Laurent accompagné du Christ orne le portail central. Deux grands lions de pierre flanquent les marches d’accès au Duomo ; sculptures et escalier furent rajoutés en 1840 suite au percement de la Via San Lorenzo et au successif abaissement du niveau de la place. Le clocher de gauche initialement prévu, ne fut jamais terminé suite à la mort du maître-maçon ; une loggia fut rajoutée au XVe siècle, tandis que le clocher sur la droite ne fut terminé qu’au XVIe siècle.

Bien que recouvert de marbre, l’intérieur est majestueux de simplicité. L’élévation, teintée de blanc et de noir, suit la logique binaire des grandes arcades et du triforium. On oscille sans cesse entre une impression contrastée de dénuement et de richesse décorative (fresques murales, marbre, vitraux…). En contre-façade, une remarquable fresque du XIVe siècle représente le Jugement Universel et le Couronnement de la Vierge. Du côté de la nef gauche, juste après le baptistère, s’ouvre la chapelle Saint-Jean-Baptiste décorée d’un élégant fronton de 1451, ainsi que de précieuses statues de la même époque. Une urne conserverait ici les cendres présumées du saint.

Les deux chapelles qui flanquent le choeur baroque sont décorées à gauche de fresques par Giovanni Battista Castello (Assomption, Couronnement de Marie, Saints et Prophètes) et de Luca Cambiaso (Noces de la Vierge, Présentation de Jésus au Temple) datées 1565-1569, tandis qu’à droite un superbe retable de 1597, oeuvre du Baroche (Crucifix avec Marie, Jean et saint Sébastien), mérite que l’on s’y attarde. Au bout de la nef (à l’opposé du choeur) se dresse une fresque abordant le thème du Jugement Dernier.

CHIESA DEL GESÙ

Un peu plus au sud, sur la droite, Santi Ambrogio e Andrea Church, appelée également église de Jésus, une église baroque en plein cœur du centre historique de la ville, à voir pour la Circoncision de Pierre-Paul Rubens au-dessus du maître-autel

A une façade rigoureuse d’une grande simplicité, ornée des statues des saints Ambroise et Andrée, fait écho l’opulence du décor intérieur baroque.

Avec sa profusion d’or, stucs et marbres polychromes, les perspectives audacieuses des fresques des frères Giovanni et Giovan Battista Carlone, l’intérieur de l’église est un exemple prestigieux du baroque génois, à une époque où les plus importantes familles aristocratiques de la ville demandaient aux plus célèbres artistes de décorer les chapelles de famille.

Un lieu sacré qui renferme également des chefs d’œuvre absolus dans le transept gauche comme la Circoncision et le Miracle de Saint Ignace de Loyola de Peter Paul Rubens ou l’Assomption de la Vierge de Guido Reni.

La succession de chapelles latérales, chacune appartenant à une famille aristocrate de la ville, affiche un décor tout aussi riche. On trouvera ici, parmi les pièces maîtresses, une Crucifixion de Simon Vouet, et l’Assomption de la Vierge par Guido Reni. Une impressionnante coupole semblant s’ouvrir sur le ciel recouvre la nef et le transept central.

Ouverte de 7h à 12h30 et de 16h30 à 19h. Les jours de fêtes religieuses, de 8h à 13h et de 16h à 22h.

Ensuite, l’embranchement de via XX Settembre, la route principale de la ville, puis le Théâtre de l’Opéra Carlo Felice et, pour terminer, la grande façade décorée du Palais Ducal. Depuis ici se déploie une partie des plus célèbres ‘caruggi’ génois (ruelles), qui conduisent à l’intérieur du centre historique riche en églises, maisons et petites places ravissantes comme celle de San Matteo.

PALAZZO DUCALE – TORRE GRIMALDINA

Via San Lorenzo débouche sur piazza Matteotti, dominée par l’imposante façade néoclassique du Palais Ducal, l’ancienne résidence des Doges qui représente actuellement le centre dynamique de la vie culturelle de la ville.

Le palais ducal est l’un des lieux historiques les plus symboliques de Gênes : résidence du Doge à partir de 1339, le palais est aujourd’hui le principal centre culturel de la ville, et propose tout au long de l’année, expositions d’art, congrès, rencontres, festivals, salons et activités didactiques.

L’édifice engloba le palais attenant d’Alberto Fieschi avec ses tours représentant le centre médiéval original du palais, visible encore aujourd’hui avec la “Tour du Peuple”, dite également la Grimaldina.

La Tour est tout de suite devenue l’un des symboles du pouvoir politique de la République : ses coups de cloche soulignaient les moments les plus solennels ou les plus dramatiques de la ville. À partir du XIVe siècle, la Tour s’est transformée en prison où étaient enfermés les prisonniers politiques, les intellectuels, les conspirateurs et les anarchistes, jusqu’aux années 30 du XXe siècle : les murs de ses cellules conservent encore bien visibles les inscriptions laissées par les prisonniers comme autant de messages d’espoirs et de proclamations d’innocence, mais aussi des peintures murales avec voiliers, navires et montgolfières.

Sa structure actuelle se caractérise par une façade en trompe-l’œil de couleurs ocre et rouge. Les éléments architecturaux sont soumis au rythme de la symétrie : alternance de frontons triangulaires et cintrés, pilastres et stucs apparents…

A l’intérieur du palais, un vaste atrium couvert, flanqué par deux cours bordées d’arcades, où se tient un bar sympathique (clientèle jeune). Un imposant escalier mène au premier étage

La tour Grimaldina se dresse de façon imposante au-dessus des toits du centre historique génois, depuis le XIVe siècle appelée la «tour du peuple» elle s’élève au-dessus de la loggia des abbés, sur la façade donnant sur via Tommaso Reggio et fait partie intégrante du Palazzo Ducale de Gênes. on accède à la Torre Grimaldina en ascenseur (ou par les escaliers) depuis le hall ouest.

Elle est composée de sept étages, les quatre inférieurs inclus dans le Palazzo Fieschi tandis que les trois supérieurs s’élèvent au-dessus du palais. Le premier étage a la rustication qui couvre tout le niveau inférieur du palais Fieschi et une fenêtre rectangulaire récente. Le deuxième étage, comme le reste du bâtiment, présente une décoration à rayures noires et blanches et le même motif est répété à l’étage supérieur. A ces deux niveaux, une fenêtre à quatre lumières s’ouvre sur la façade donnant sur via Tommaso Reggio, tandis que le quatrième étage, en brique apparente comme les suivants, a une fenêtre à trois lumières à partir du milieu du cinquième étage, sur lequel un la fenêtre à une seule lumière s’ouvre, la tour est libre de la structure du bâtiment. Le sixième étage, montre une grande fenêtre à lancette unique sur la façade de la via Tommaso Reggio et une fenêtre à meneaux sur les trois autres côtés. Elle est couronnée par trois séries d’arcs suspendus datant de 1539, qui séparent l’édifice médiéval du dernier étage, construit au début du 17ème siècle. Depuis le Moyen Âge, le dernier étage de la tour abritait un beffroi et plusieurs cloches se succédèrent jusqu’en 1941, date à laquelle, pendant la Seconde Guerre mondiale, l’actuelle fut fusionnée pour fabriquer des canons.

Ouvert tous les jours de 9h à 19h, sauf le lundi à partir de 14h. Pour les expositions temporaires, comptez environ 15 €. Torre Grimaldina : visite le samedi à 15h. Entrée 5 €.

BOCCADASSE

Ce petit port de pêcheurs quasiment en centre-ville apparaît comme une  » ville dans la ville  » au visiteur qui le découvre émerveillé depuis le Corso Italia embouteillé.

Presque inaccessible en voiture, il est d’ailleurs quasi impossible de s’y garer (mieux vaut prendre le bus n°15), vous ne trouverez ici aucun établissement balnéaire sur la petite plage de galets, mais juste quelques baigneurs qui posent leur serviette le temps de piquer une tête. Veillé par l’église de Sant’Antonio, remplie d’ex-voto en forme de maquette de navires, Boccadesse a tout du village de carte postale : quelques maisons aux façades pastel, une petite place, la piazzetta où se rassemblent les jeunes à l’heure de l’apéro, quelques barques de pêche et une jetée de rochers d’où admirer la vue sur le promontoire de Portofino.

La fondation du bourg remonte au Moyen Age, quand un groupe de pêcheurs échoués sur cette plage aurait décidé d’y bâtir un village. Le nom viendrait du dialecte génois böcca d’ase,  » bouche d’âne « , à cause de sa forme particulièrement concave.

Aujourd’hui les pêcheurs sont encore là, ils résistent mais le temps où Boccadasse ne vivait que de la pêche est bien loin : glaciers, bistrots et quelques bars pittoresques attirent jeunes et moins jeunes à la recherche d’un cadre romantique. Les Génois y viennent pour fuir la chaleur et le centre-ville le temps d’une glace, d’un apéro ou d’un dîner en amoureux. Allez-y à l’heure du coucher de soleil : l’ambiance est alors magique.

 

 

 

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