Le Palais de Topkapi ISTANBUL TURQUIE +

Avec la Mosquée Bleue et Sainte-Sophie, le Palais de Topkapi est l’une des attractions phares d’Istanbul et figure sur tous les itinéraires touristiques. Lors de notre visite, nous avons été émerveillés par ce superbe édifice, entouré de 5 km de remparts et construit entre 1470 et 1478. Véritable merveille architecturale, il nous a transportés à travers les siècles, nous offrant une plongée fascinante dans l’histoire ottomane.
Dès notre entrée, nous avons été séduits par ses quatre cours majestueuses et ses jardins magnifiques, qui confèrent au palais une atmosphère véritablement paradisiaque. Ce n’est pas un hasard si Topkapi est le musée le plus visité de Turquie, attirant plus de 1 500 000 visiteurs chaque année.
Nous avons appris que le Palais de Topkapi avait été choisi comme résidence principale par les sultans ottomans pendant près de quatre siècles. En parcourant ses différents espaces, nous avons pu constater pourquoi ce lieu était si prestigieux. Son organisation autour de quatre cours distinctes, ses salles imposantes et ses jardins sublimes nous ont laissés admiratifs. Chaque détail de ce palais témoigne de la richesse et de la grandeur de l’Empire ottoman.
Nous avons également été impressionnés par l’immensité du site : le palais s’étend sur une superficie de 700 000 m², soit l’équivalent de deux fois la taille du Vatican ou de la moitié de la principauté de Monaco.
L’histoire du Palais de Topkapi est tout aussi fascinante que son architecture. Après la conquête de Constantinople en 1453, la Cour ottomane s’était d’abord installée dans un palais situé à Beyazıt, près du Grand Bazar actuel. Cependant, l’espace étant trop restreint, le sultan Mehmed II le Conquérant ordonna la construction d’un nouveau palais entre 1475 et 1478 sur les ruines romaines, formant ainsi le noyau du futur Palais de Topkapi.
Jusqu’au XIXe siècle, le palais n’a cessé d’être agrandi et enrichi de nouveaux bâtiments. Nous avons découvert qu’il était initialement appelé le « Nouveau Palais », mais qu’il avait rapidement été surnommé « Topkapı », signifiant « la porte du Canon », en raison des imposants canons placés devant son entrée.
Ce palais fut le cœur du pouvoir de l’Empire ottoman, l’un des trois plus grands empires du monde, pendant près de quatre cents ans. Malheureusement, les fréquents incendies et tremblements de terre des XVIIe et XVIIIe siècles ont causé d’importants dommages, nécessitant de nombreuses restaurations.
C’est pourquoi nous avons pu observer une grande diversité de styles architecturaux, allant du XVe au XIXe siècle, ce qui rend chaque partie du palais unique et fascinante.
Nous avons également appris que la Cour ottomane avait été transférée au Palais de Dolmabahce en 1856, à l’exception des femmes des sultans déchus ou défunts.
Cette décision avait été prise principalement pour des raisons sanitaires, en réponse à la montée de la tuberculose.
Cette visite nous a permis de mieux comprendre l’histoire et la grandeur de l’Empire ottoman. Le Palais de Topkapi restera pour nous un lieu emblématique, où chaque salle, chaque jardin et chaque cour nous racontent une histoire fascinante.
VISITE DU PALAIS & DES JARDINS de Topkapi
Nous pénétrons dans le palais de Topkapi par la porte de l’Auguste (Bab-ı-Hümayun), édifiée en 1478 sous le règne de Mehmed II le Conquérant. Cette entrée monumentale, flanquée de murs massifs en pierre et en brique, marque le début d’un dédale de cours, de pavillons et de jardins conçus pour impressionner et symboliser la puissance ottomane. La première cour, aussi appelée « cour des Janissaires », s’étend devant nous comme une vaste esplanade de près de 200 mètres de long. À droite, nous distinguons les vestiges d’un ancien four à pain et les ruines de l’hôpital du palais, où les médecins soignaient les résidents avec des méthodes avant-gardistes, comme la musicothérapie. À gauche, l’hôtel des Monnaies (Darphane-i Amire) se dresse, rappelant l’économie florissante de l’Empire, tandis que l’église Sainte-Irène (Aya Irini), l’une des plus anciennes basiliques byzantines, témoigne des strates historiques de ce lieu.
En avançant vers le nord, nous franchissons la porte du Salut (Bab-üs-Selam), une structure ogivale encadrée de deux tours octogonales coiffées de toits coniques. Ces tours, revêtues de pierres taillées et percées de meurtrières, servirent de geôle pour les viziers tombés en disgrâce. La deuxième cour, ou place de la Justice, s’ouvre alors devant nous : un vaste rectangle de 130 mètres sur 160, pavé de marbre et ombragé par des platanes pluricentenaires. Au centre, un chemin de pierre mène au Divan-ı Hümâyûn (salle du Conseil impérial), reconnaissable à son toit en dôme recouvert de plomb et ses fenêtres à moucharabieh. À l’intérieur, les murs sont tapissés de faïences d’Iznik aux motifs floraux bleu cobalt et rouge corail, tandis qu’une grille dorée dissimulée dans un renfoncement permettait au sultan d’écouter les débats sans être vu.
À l’est de cette cour, les écuries impériales, voûtées et divisées en nefs, pouvaient abriter jusqu’à 300 chevaux arabes, leurs crinières tressées de fils d’or. Non loin, la Tour de Justice, haute de 40 mètres et coiffée d’un toit pyramidal, domine l’horizon. Ses étages supérieurs, accessibles par un escalier en colimaçon, offraient au sultan une vue panoramique sur la Corne d’Or et le Bosphore, renforçant son image de souverain omniscient.
Nous passons ensuite la porte de la Félicité (Bâbüssaâde), une arche de marbre blanc surmontée d’un fronton baroque ajouté au XVIIIᵉ siècle. Cette entrée, réservée au seul sultan à cheval, nous introduit dans la troisième cour, cœur spirituel et politique du palais. Ici, le pavillon des Audiences, un kiosque carré aux murs recouverts de céramiques turquoises, abritait les rencontres diplomatiques. Sous son dôme orné de calligraphies dorées, le trône en noyer incrusté de nacre rappelle le faste des cérémonies. Plus loin, la salle des Reliques Sacrées éblouit par son décor : des vitrines de cristal exposent l’épée de David, le bâton de Moïse et le manteau du prophète Mahomet, enfermé dans un coffre d’ébène et d’argent. Ces objets, rapportés de La Mecque par Selim Iᵉʳ en 1517, transformèrent Topkapi en centre spirituel de l’islam sunnite.
À l’ouest, le Trésor impérial dévoile des pièces d’une opulence vertigineuse : le diamant du Cuillier, un solitaire de 86 carats serti de 49 petits diamants, y côtoie des trônes en or massif incrustés d’émeraudes et des armures de parade couvertes de perles. Les murs, revêtus de boiseries en cèdre sculpté, diffusent une odeur âcre d’encens et de cire, évoquant les splendeurs passées.
La quatrième cour, accessible par un escalier en marbre rose, nous transporte dans un univers de jardins en terrasse et de pavillons d’agrément. Le kiosque de Bagdad, construit en 1639 pour commémorer la conquête de la Mésopotamie, se distingue par sa coupole côtelée et ses murs intérieurs couverts de faïences d’Iznik représentant des tulipes stylisées. Ses fenêtres à vitraux multicolores projettent des reflets irisés sur les divans de soie brodée, où les sultans méditaient face au Bosphore. Plus bas, le kiosque d’Iftariye, une structure ouverte sur pilotis, offre une vue imprenable sur la Corne d’Or. Son toit en auvent, soutenu par des colonnes de porphyre, abritait les repas nocturnes du ramadan, servis dans des plats en argent martelé.
En redescendant vers les cuisines impériales, nous découvrons un complexe de 20 dômes alignés sur 120 mètres de long. Les cheminées coniques, typiques de l’architecture ottomane classique, évacuaient les fumées des fours où rôtissaient des moutons entiers. À l’intérieur, des salles voûtées exposent des porcelaines Ming aux dragons bleutés, des moules à loukoums en cuivre et des services à café en argent, témoins d’une gastronomie raffinée.
Enfin, nous longeons les jardins suspendus, aménagés en paliers successifs sur des terrasses soutenues par des murs de pierre. Les parterres de tulipes, de jacinthes et de roses anciennes, irrigués par un réseau de canaux en marbre, rappellent que cette fleur, symbole de l’Empire, fut introduite en Europe par les ambassadeurs ottomans. Des fontaines à jets multiples, alimentées par des citernes souterraines, murmurent encore des mélodies apaisantes, clôturant cette exploration par une note poétique.
Chaque détail architectural — des arabesques des céramiques aux proportions harmonieuses des dômes — révèle une philosophie où le pouvoir se mêle au sacré, où la nature est domestiquée pour refléter l’ordre divin. Topkapi n’est pas un simple palais, mais une micro-cité où l’art, la politique et la spiritualité s’entrelacent comme les racines des platanes séculaires.
VISITE DU HAREM de Topkapi
Nous pénétrons dans le Harem impérial du palais de Topkapi, un labyrinthe de salles dorées, de cours secrètes et de couloirs murmurants où se jouèrent des siècles d’intrigues, de passions et de rituels protocolaires. Bien plus qu’un simple lieu de réclusion, le Harem était une micro-société hiérarchisée, un espace de pouvoir parallèle où les femmes de la dynastie ottomane, les concubines et les eunuques influençaient le destin de l’Empire.
Le Harem prit son essor sous Soliman le Magnifique au XVIᵉ siècle, lorsque le sultan décida d’y installer son épouse Hürrem Sultan, une ancienne esclave devenue son conseiller politique. Ce déménagement marqua un tournant, transformant ce lieu en un centre névralgique de la cour où se tissaient alliances et complots. Seuls y résidaient le sultan, sa mère appelée Valide Sultan, ses épouses, ses enfants, les concubines, les eunuques noirs chargés de la surveillance et le cadi, juge religieux de la cour impériale. Les concubines, souvent offertes en tribut, recevaient une éducation raffinée incluant musique, poésie et religion. Les plus talentueuses pouvaient espérer devenir épouses ou favorites, voire mère d’un futur sultan, ce qui leur permettait d’exercer une influence considérable au sein du palais.
Le Harem s’étend sur 67 000 m² et se relie au reste du palais par des passages dissimulés. Son architecture mêle les styles classique ottoman et baroque, illustrant son évolution entre le XVIᵉ et le XIXᵉ siècle. L’entrée principale, gardée par des eunuques, ouvre sur un véritable dédale composé de dix cours et de trois cents pièces, séparées par des portes en bois sculpté. La cour des Concubines constitue le cœur de la vie quotidienne, bordée de chambres modestes dont les murs sont recouverts de carreaux d’Iznik bleu et blanc. Les concubines y tissent, prient ou attendent d’être convoquées. Plus luxueux, les appartements de la Valide Sultan reflètent le pouvoir de cette véritable reine de l’ombre. Son salon, orné de faïences de Kütahya aux motifs de grenades symbolisant la fertilité, ouvre sur un jardin privé.
Certains espaces du Harem témoignent du raffinement absolu de l’Empire ottoman, notamment la chambre privée de Murad III, conçue par Mimar Sinan au XVIᵉ siècle. Cette pièce majestueuse incarne l’apogée de l’art ottoman avec son dôme étoilé soutenu par des colonnes de marbre rouge et sa fontaine en albâtre, dont le doux murmure étouffait les conversations secrètes. Les murs, tapissés de céramiques turquoise et or, évoquent des jardins paradisiaques. La salle du Trône impérial, aussi appelée Salon de l’Impératrice, accueille les audiences privées du sultan. Éclairée par des vitraux filtrant une lumière dorée, elle abrite un trône en nacre et ébène, incrusté de perles, sous un plafond à muqarnas aux sculptures en alvéoles. Plus tardif, l’appartement d’Ahmed III, surnommé la Fruit Room et datant du XVIIIᵉ siècle, illustre l’ère des Tulipes avec ses fresques illusionnistes représentant des corbeilles de fruits et des guirlandes fleuries. Ce trompe-l’œil, inspiré par l’Europe, rappelait au sultan la prospérité de son règne.
Les bains royaux constituent un autre élément essentiel du Harem, avec un complexe de neuf hammams dotés de dômes percés d’étoiles en verre coloré. Celui de la Valide Sultan, entièrement revêtu de marbre de Marmara, se distingue par ses bassins alimentés par des conduites en argent massif. Le rôle des eunuques s’avérait fondamental dans cet univers clos. Ces gardiens, souvent originaires d’Afrique, contrôlaient les allées et venues. Leur chef, le Kızlar Ağası, figurait parmi les hommes les plus puissants de l’Empire. Les concubines communiquaient parfois avec le sultan en utilisant des mouchoirs brodés de messages cryptés, qu’elles déposaient dans des niches murales discrètes. Dans le kiosque jumeau, où résidaient les princes héritiers, des fontaines intérieures couvraient les chuchotements des complots. Les murs, ornés de calligraphies dorées, citaient des poèmes de Rumi, insufflant une dimension spirituelle à cet espace de pouvoir.
L’entrée du Harem se situe dans la deuxième cour du palais de Topkapi, et un billet distinct, d’environ 100 TRY, est nécessaire pour y accéder. Le parcours débute par la porte des Carrosses, Arabalar Kapısı, et suit un itinéraire précis permettant d’explorer la cour des eunuques aux logements austères, les appartements de la Valide Sultan au luxe ostentatoire, la salle du Trône et les chambres privées, avant de s’achever dans les bains royaux et les jardins intérieurs. Certains lieux, souvent méconnus, méritent une attention particulière, notamment la salle des Pipeurs, Çuhacılar Koğuşu, où les serviteurs préparaient les narguilés parfumés au jasmin, ou encore le bain des Hallebardiers, dont les carreaux de céramique dessinent des motifs géométriques d’une grande finesse.
Le Harem de Topkapi ne se réduit pas aux fantasmes exotiques qui l’entourent. Il s’agit d’un monument complexe où l’art, la politique et la spiritualité s’entrelacent. En parcourant ses couloirs étroits et ses salles resplendissantes, il est aisé d’imaginer le froufrou des soieries, les chuchotements derrière les moucharabiehs et les regards échangés lors des nuits de ramadan, baignées dans la lumière vacillante des lanternes en verre de Venise. Ce lieu, à la fois prison dorée et scène de pouvoir, reste l’un des témoignages les plus fascinants de l’ingéniosité humaine et de ses ambiguïtés. Le Harem ne se livre pas entièrement, il se devine. Chaque carreau, chaque fontaine, chaque courbure de mur raconte une histoire de désir, de ruse et de survie. 🌙
PARC DE GÜLHANE (GÜLHANE PARKI)
Nous entrons dans le parc de Gülhane (Gülhane Parkı), un écrin de verdure de 163 000 m² niché entre les murailles du palais de Topkapi et les rives de la Corne d’Or. Autrefois jardin privé des sultans ottomans, intégré à la quatrième cour du palais, ce parc devient public en 1912, sous l’ère des réformes Tanzimat, symbolisant l’ouverture de l’Empire à la modernité. Aujourd’hui, ses allées ombragées, ses pelouses fleuries et ses bancs de pierre invitent à une pause bucolique au cœur de l’effervescence stambouliote.
Nous remontons le temps en passant sous une porte ottomane monumentale, vestige des anciennes limites du palais, pour découvrir un paysage où se mêlent histoire et nature. À gauche, la colonne des Goths, érigée au IIIᵉ siècle par les Romains, se dresse fièrement sur un socle de marbre. Son inscription latine, « Fortunae reduci ob devictos Gothos » (« À la Fortune revenue grâce à la défaite des Goths »), célèbre une victoire militaire oubliée, tandis que son chapiteau corinthien, érodé par les siècles, témoigne des strates byzantines de la ville.
Nous nous engageons dans une allée centrale bordée de platanes centenaires, dont les troncs noueux et les branches entrelacées forment une voûte végétale. Au printemps, des milliers de tulipes — fleur emblématique exportée en Europe par les Ottomans — explosent en tapis rouges, jaunes et violets, rappelant l’époque où le parc servait de pépinière impériale. À l’automne, les érables japonais, plantés sous Abdulhamid II, enflamment le paysage de leurs feuilles pourpres.
Plus loin, un kiosque en bois du XIXᵉ siècle, aux persiennes ajourées et aux balcons ouvragés, abrite le çay bahçesi (jardin de thé). Nous nous installons à l’une des tables en fer forgé, commandant un verre de çay fumant servi dans des gobelets en forme de tulipe, accompagné de simit (bretzel turc). Le murmure des fontaines en mosaïque, le chant des merles et le cliquetis des tasses créent une symphonie apaisante, tandis que la vue plongeante sur le Bosphorus, entre les branches, offre un tableau vivant de cargos et de ferries voguant vers l’Asie.
En nous enfonçant dans le parc, nous découvrons des gloriettes cachées, des bassins à nymphéas et des pergolas couvertes de glycines. Près de l’entrée sud, un ancien pavillon de chasse reconverti en bibliothèque publique expose des manuscrits ottomans sous des vitrines en verre soufflé. Plus insolite, un observatoire astronomique du XVIIIᵉ siècle, aujourd’hui en ruines, rappelle que les sultans y étudiaient les étoiles pour fixer les dates du ramadan.
Nous croisons des familles pique-niquant sur des tapis colorés, des artistes croquant des aquarelles et des vieillents jouant aux dominos sous les tonnelles. Le parc, jadis réservé aux promenades solennelles des sultans et à leurs fêtes somptueuses — comme les Lale Devri (fêtes des Tulipes) du XVIIIᵉ siècle —, est devenu un lieu de vie démocratique, où se côtoient étudiants, touristes et chats errants couronnés de colliers de perles.
En quittant Gülhane, nous longeons les remparts byzantins qui le séparent du palais de Topkapi, admirant les graffitis anciens gravés par des gardes ottomans. Ce parc, à la fois témoin des conquêtes romaines, des fastes impériaux et des simples joies populaires, résume Istanbul : une ville où chaque pierre, chaque fleur et chaque banc raconte une histoire millénaire, toujours vivante.
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LE PALAIS DE DOLMABAHCE – BEKSITAS -ISTANBUL – TURQUIE
PODCAST QUARTIER HISTORIQUE DE SULTANAHMET
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ISTANBUL – LE GRAND BAZAR PARTIE II
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RESTAURANT EMIR SULTAN KEBAB FATIH ISTANBUL

Pour notre repas du soir, nous avons choisi de dîner au Restaurant Emir Sultan Kebab, une adresse qui avait attiré notre attention grâce aux excellents avis laissés sur TripAdvisor. Situé dans le quartier animé de Fatih, à deux pas de notre hébergement, cet établissement s’est révélé être un véritable coup de cœur, tant pour la qualité de ses plats que pour l’accueil chaleureux qui nous y attendait.
Dès notre arrivée, nous sommes séduits par la devanture bien éclairée et l’atmosphère conviviale qui se dégage du lieu. À peine avons-nous franchi le seuil que le patron, d’une hospitalité remarquable, nous accueille avec un grand sourire. Attentif et bienveillant, il prend le temps de nous expliquer le menu et de nous conseiller sur les spécialités de la maison.
La carte, bien que concise, propose une belle sélection de plats turcs et internationaux. Après une brève hésitation face aux nombreuses options alléchantes, nous optons pour plusieurs spécialités :

- Tavuk Şinitzel – Une escalope viennoise de poulet, croustillante à l’extérieur et tendre à l’intérieur, parfaitement accompagnée de pommes de terre fondantes et d’une salade fraîche.
- Balık Güveç – Une cassolette de fruits de mer et poissons mijotée au four, servie brûlante dans un plat en terre cuite, exhalant des arômes envoûtants d’épices et de sauce tomate.
- Karışık Pizza – Une pizza « quatre saisons » généreusement garnie, alliant des saveurs variées et équilibrées qui ravissent nos papilles.
- Peynirli Hamburger – Un hamburger au poulet garni de fromage fondant, sublimé par une sauce maison délicieusement relevée.
Chaque plat est soigneusement préparé et servi avec une grande attention aux détails, confirmant la réputation de l’établissement. Les portions sont généreuses, les ingrédients frais et la cuisson parfaitement maîtrisée.
L’expérience ne serait pas complète sans un final en douceur : nous nous laissons tenter par un thé turc traditionnel, servi dans de petits verres élégants, accompagné d’un baklava fondant à souhait.
En résumé, notre dîner au Restaurant Emir Sultan Kebab fut une expérience culinaire des plus agréables. Entre la qualité des plats, la chaleur du service, et l’ambiance typiquement stambouliote, ce restaurant coche toutes les cases pour un repas réussi. Une adresse que nous recommandons vivement à tous ceux qui recherchent une bonne table à Istanbul !
RESTAURANT EPOPE ORTAKOY

Le quartier d’Ortaköy, situé en bord de mer et dominé par l’emblématique mosquée du même nom, est un lieu vibrant et animé, où les restaurants ne manquent pas. Pourtant, trouver une bonne adresse parmi la multitude d’établissements n’est pas une mince affaire, la plupart étant mal notés ou trop touristiques.

Nous commençons notre balade en nous laissant tenter par les spécialités de street-food qui font la renommée du quartier. L’une des stars locales est sans conteste la pomme de terre farcie, ou Kumpir. Préparée avec une pomme de terre cuite au four, d’une taille impressionnante, sa chair est écrasée avec du beurre et du fromage avant d’être généreusement garnie d’un mélange de condiments : purée de piment, maïs, olives, petits pois, carottes, cornichons, et bien d’autres ingrédients colorés. Un plat à la fois simple et réconfortant, que nous dégustons avec plaisir tout en admirant le va-et-vient incessant des passants.
Nous ne pouvons pas non plus résister aux moules farcies, appelées Midye Dolma, une autre spécialité incontournable en Turquie. Servies encore refermées, ces moules cachent une farce délicatement parfumée à base de riz épicé et d’herbes aromatiques, rehaussée d’une touche de citron qui en sublime les saveurs. Ce mets savoureux nous rappelle une précédente expérience culinaire à Antalya, où nous avions découvert cette délicieuse recette sur le port.
Après avoir longuement hésité entre poursuivre notre découverte du street-food ou nous attabler dans un restaurant, nous décidons finalement d’opter pour un compromis parfait : nous trouvons une petite adresse nichée au cœur du bazar d’Ortaköy, le restaurant Épopé, qui nous séduit par son cadre intimiste et son ambiance chaleureuse. Nous commandons une pomme de terre farcie en guise d’entrée, et, conquis par les moules farcies, nous décidons d’en prendre une portion à emporter pour l’apéro du soir.
L’expérience est à la hauteur de nos attentes : des produits frais, des saveurs authentiques, et un cadre agréable, à l’écart de l’agitation du bord de mer. Une belle découverte dans ce quartier prisé d’Istanbul, et un choix que nous ne regrettons pas !
RESTAURANT PALADIUM
Imaginez un restaurant perché au-dessus des vestiges d’un palais ancien, où chaque pierre semble murmurer des histoires oubliées de l’Empire ottoman. Un lieu où l’on ne se contente pas de dîner, mais où l’on voyage dans le temps et dans les saveurs. Bienvenue au restaurant Paladium, une adresse atypique nichée dans le quartier emblématique de Sultanahmet, à deux pas des monuments mythiques comme la Mosquée Bleue et Sainte-Sophie.

Dès notre arrivée, nous sommes conquis par l’atmosphère du lieu. L’ambiance feutrée, les lumières tamisées et les décorations traditionnelles nous plongent immédiatement dans une autre époque. Mais la véritable expérience commence lorsque les plats arrivent sur la table.
Parmi les spécialités les plus impressionnantes du restaurant Paladium, impossible de passer à côté du célèbre Testi Kebabı. Ce plat, emblématique de la cuisine anatolienne, est préparé avec soin : de tendres morceaux de viande (généralement de l’agneau ou du bœuf) mijotent lentement avec des légumes et des épices dans une jarre en terre cuite, soigneusement scellée pour conserver toutes les saveurs.
Mais ce qui fait tout le charme du Testi Kebabı, c’est sa présentation spectaculaire. Lorsque la jarre arrive à table, elle est encore enflammée et fumante, sous les regards émerveillés des convives. Le serveur, dans un geste précis et théâtral, brise le récipient à l’aide d’un couteau, libérant ainsi un nuage parfumé qui titille instantanément les papilles. Une mise en scène aussi impressionnante que délicieuse !
Au-delà du spectacle, la cuisine du restaurant Paladium est savoureuse et généreuse. Les amateurs de grillades seront comblés par les brochettes d’agneau fondantes, les mezzés colorés et parfumés, ou encore les poissons fraîchement pêchés du Bosphore.
Seul bémol : les prix sont à la hauteur du cadre et de l’expérience. Si l’on vient ici pour se faire plaisir et vivre un moment hors du commun, il faut s’attendre à une addition plus élevée que dans d’autres restaurants du quartier. Mais après tout, peut-on vraiment mettre un prix sur un dîner dans un lieu chargé d’histoire, avec des mets aussi exquis que spectaculaires ?
Au final, le restaurant Paladium s’impose comme une expérience unique à Sultanahmet, où gastronomie et patrimoine se rencontrent dans une harmonie parfaite. Une adresse idéale pour une soirée mémorable, entre histoire, saveurs et émerveillement.
PODCAST DE CETTE MISE EN SCENE
FUEGO CAFE AND RESTAURANT SULTANAHMET
Les samedi soirs à Istanbul ont une saveur particulière. Entre les ruelles animées, les éclairages subtils qui mettent en valeur les monuments historiques et l’énergie vibrante qui envahit la ville, chaque sortie devient une expérience à part entière.

Pour cette soirée, notre choix s’est porté sur une adresse chaleureuse et authentique : Fuego Café & Restaurant, niché dans le cœur historique de Sultanahmet.
Dès notre arrivée, nous sommes immédiatement séduits par l’ambiance conviviale et intimiste du lieu. Le propriétaire, d’une bienveillance exemplaire, nous accueille avec un large sourire et nous installe confortablement. L’équipe, aux petits soins, fait de cette soirée un moment inoubliable, où la gastronomie se mêle à la chaleur humaine.
Petit détail qui fait toute la différence : un mezze offert pour commencer en douceur, suivi d’un thé traditionnel servi en fin de repas, symbole d’hospitalité en Turquie. Une attention rare qui témoigne du sens du service et du plaisir de recevoir propre à cet établissement.
Le repas est à la hauteur de nos attentes. Des plats typiques, cuisinés avec soin, aux saveurs authentiques. La spécialité du soir ? Un Testi Kebabı, un ragoût de viande mijoté lentement dans une jarre en terre cuite, qui ne peut être dégusté qu’après une ouverture spectaculaire.
Et qui a eu l’honneur de casser la poterie ? Bastien ! Un rituel amusant et impressionnant qui ajoute une touche ludique et théâtrale à l’expérience culinaire.
Autre surprise de la soirée : la présence de quelques chats, ces rois non officiels d’Istanbul, qui ont élu domicile dans le restaurant. Selon le personnel, ces félins farouches ne se laissent jamais approcher par les touristes… mais ce soir, ils semblent avoir fait une exception pour nous ! Une scène à la fois drôle et touchante, qui ajoute un charme authentique à cette sortie du samedi soir.
Entre l’accueil chaleureux, les attentions offertes, la cuisine savoureuse et l’ambiance unique, Fuego Café & Restaurant s’impose comme une adresse incontournable pour une soirée réussie à Sultanahmet.
Un restaurant qui ne se contente pas de nourrir l’estomac, mais aussi l’âme et le cœur. Une belle découverte qui donne envie de revenir !
MIVAN RESTAURANT CAFE ISTANBUL

Notre premier repas à Istanbul a été une véritable réussite. Après une longue journée à parcourir les rues animées de la ville, nous avons décidé de nous attabler au Mivan Restaurant Café, un charmant établissement niché dans une ruelle calme, à l’écart de l’effervescence des grands axes. L’ambiance y était chaleureuse, avec un décor mêlant élégance moderne et touches traditionnelles turques. Les lumières tamisées et l’accueil souriant du personnel nous ont immédiatement mis à l’aise.
La carte, riche et variée, proposait un bel éventail de spécialités anatoliennes et ottomanes. Pour ce premier dîner, nous avons tous trouvé notre bonheur. Impossible pour nous de résister aux Adana Kebabs, ces brochettes de viande hachée, finement épicées et grillées à la perfection. Chaque bouchée révélait un mélange subtil de saveurs relevées et de fumé, un véritable délice qui nous rappelait nos précédents séjours en Turquie.

Bastien, quant à lui, a préféré jouer la sécurité en optant pour un cheeseburger, une valeur sûre qu’il a savourée sans regret. De leur côté, Marg et Nadège se sont laissées tenter par une spécialité anatolienne, le Kaşarlı Tavuk Güveç. Ce plat, servi dans un plat en terre cuite encore fumant, était un véritable spectacle en soi : des morceaux de poulet fondants baignaient dans une sauce tomate parfumée à l’origan, le tout recouvert d’une généreuse couche de cheddar fondu qui s’étirait à chaque coup de fourchette.
Nous avons accompagné notre repas de pains moelleux et légèrement grillés, parfaits pour saucer les plats jusqu’à la dernière goutte. Pour parfaire ce festin, nous avons siroté un Ayran, cette boisson au yaourt légèrement salée qui contraste agréablement avec les plats épicés.
Ce premier dîner à Istanbul a été une introduction parfaite à notre séjour : des saveurs authentiques, une atmosphère conviviale et le plaisir de partager un bon repas ensemble. Nous avons quitté le restaurant repus et enthousiastes, impatients de découvrir encore plus de trésors culinaires dans les jours à venir.
RESTAURANT ALI BABA – ISTANBUL

À la sortie de la majestueuse mosquée de Soliman le Magnifique, après une visite imprégnée d’histoire et de splendeur architecturale, nos estomacs affamés nous ont guidés vers l’un des nombreux restaurants qui bordent les ruelles environnantes. Notre choix s’est porté sur Ali Baba, une adresse réputée pour sa cuisine turque authentique et généreuse.
Dès notre arrivée, nous avons été séduits par l’ambiance typiquement stambouliote du lieu : une terrasse animée où locaux et voyageurs se mêlent, des effluves de grillades flottant dans l’air et une carte qui promettait un véritable festin. Ali Baba est connu pour ses kebabs, déclinés sous toutes les formes possibles : servis dans un pain moelleux, roulés en dürüm dans une fine galette de blé, ou encore en assiette, accompagnés de riz parfumé et de légumes grillés.
Mais l’autre star de la maison, c’était sans conteste le Kuru Fasulye, un plat traditionnel turc de haricots mijotés dans une sauce tomate relevée au piment. Simple en apparence, ce ragoût est une véritable institution en Turquie, apprécié pour son goût réconfortant et sa richesse en saveurs. Servi bien chaud avec du riz pilaf et du pain croustillant, il se révélait être un choix parfait pour se réchauffer après une journée de découverte.
Nous avons savouré chaque bouchée, appréciant la justesse des épices et la tendreté des viandes. Pour accompagner notre repas, nous avons opté pour un Ayran, cette boisson au yaourt légèrement salée qui apporte une touche de fraîcheur bienvenue face aux plats épicés.
Chez Ali Baba, nous avons trouvé bien plus qu’un simple repas : une immersion dans la gastronomie populaire turque, avec ses plats simples mais profondément ancrés dans la tradition. Requinqués et pleinement satisfaits, nous avons repris notre exploration d’Istanbul, déjà impatients de notre prochaine escale gourmande.
RESTAURANT TURKISH CUISINE ISTANBUL

Après une journée bien remplie à arpenter les ruelles d’Istanbul et à admirer ses trésors architecturaux, nous avons décidé de dîner à proximité de notre appartement à Sultanahmet. L’un des nombreux avantages de la ville est le coût relativement abordable des restaurants, ce qui rend la cuisine locale encore plus accessible et attrayante que de préparer nos propres repas. Ce soir-là, notre choix s’est porté sur le Restaurant Turkish Cuisine, une adresse réputée pour ses spécialités traditionnelles, où les parfums des épices et des grillades éveillent immédiatement l’appétit.
Dès notre installation, nous avons été séduits par l’ambiance chaleureuse du lieu : un décor authentique, des tables joliment dressées et un service attentif. La carte proposait un large éventail de plats typiques, et nous avons opté pour un Karışık Güveç, une version mixte de ce plat mijoté emblématique. Servi fumant dans son plat en terre cuite, ce ragoût généreux à base de poulet et de bœuf était agrémenté de poivrons, d’oignons, de tomates et de champignons. Les saveurs riches et profondes se mariaient parfaitement, et chaque bouchée révélait une texture fondante et parfumée. Comme le veut la tradition, il était accompagné d’un pain pita moelleux, idéal pour savourer jusqu’à la dernière goutte de sauce.
L’un des autres incontournables de la carte était le Çoban Kavurma, un plat rustique qui illustre parfaitement l’art turc de la cuisine mijotée. Préparé à partir de morceaux d’agneau sautés avec des oignons, des tomates, des champignons et des poivrons, il tire son nom du procédé de conservation de la viande, le Kavurma, une méthode ancestrale qui consiste à cuire lentement la viande dans sa propre graisse pour en préserver toutes les saveurs. Ce plat, à la fois tendre et savoureux, s’accordait à merveille avec du riz pilaf ou du pain croustillant.
Nous avons accompagné notre repas d’un Ayran, cette boisson au yaourt légèrement salée qui adoucit les épices et rafraîchit le palais. En dessert, difficile de résister à un baklava fondant, dont les fines couches de pâte feuilletée imbibées de miel et garnies de pistaches clôturaient ce festin en beauté.
Sortis du restaurant repus et comblés, nous avons rejoint notre appartement en savourant encore le souvenir de ces plats riches et réconfortants. Istanbul n’a décidément pas fini de nous surprendre par la diversité et la générosité de sa gastronomie !
GÜLHANE SARK SOFRASI ET LE PARC GÜLHANE

À la recherche d’un bon restaurant après une matinée bien remplie à explorer Istanbul, nous avons suivi les recommandations de TripAdvisor et choisi de nous attabler au Gülhane Şark Sofrası. Situé à proximité immédiate du parc Gülhane, ce restaurant jouit d’une bonne réputation et d’un cadre agréable.
Dès notre arrivée, nous avons été séduits par la terrasse spacieuse et confortable, même si sa proximité avec la route pouvait parfois se faire sentir. L’accueil était chaleureux, avec un service attentif et souriant, et nous nous sommes rapidement plongés dans l’exploration du menu. La carte proposait un large choix de spécialités turques, des kebabs savoureux aux mezze parfumés, en passant par des plats mijotés aux épices envoûtantes.
Nous avons opté pour un assortiment de grillades soigneusement préparées : de tendres morceaux d’agneau, de poulet et de bœuf, délicatement marinés et grillés à la perfection. Accompagnés de riz pilaf, de légumes grillés et de pain pita moelleux, ces plats reflétaient tout le savoir-faire de la cuisine turque. Nous avons également goûté aux mezze, ces petites entrées variées à partager, allant du hummus crémeux au cacık, une sauce fraîche à base de yaourt et de concombre relevée d’ail et de menthe.
Si la qualité des plats était indéniable, l’addition s’est révélée un peu plus élevée que dans d’autres établissements similaires d’Istanbul. Cela dit, le cadre et le service justifiaient en partie ce petit écart de prix.
ISTIKLAL CADDESI REST ESMER ISTANBUL
Flâner sur Istiklal Caddesi, la célèbre avenue de l’Indépendance à Istanbul, est une expérience incontournable. Cette artère animée, bordée de boutiques, de librairies et de bâtiments historiques, regorge également de cafés et de restaurants où l’on peut faire une halte gourmande. Parmi eux, le restaurant Esmer s’est imposé comme une adresse idéale pour une pause déjeuner rapide et savoureuse au cœur de l’effervescence stambouliote.
Dès notre arrivée, nous avons été séduits par l’ambiance conviviale et moderne du lieu. Le service, efficace et chaleureux, permet de profiter d’un repas sans trop attendre, ce qui est appréciable lorsqu’on souhaite poursuivre sa visite de la ville. La carte offre une large variété de plats, alliant influences locales et internationales, parfait pour satisfaire toutes les envies.
Nous avons opté pour des pizzas généreusement garnies, à la pâte fine et croustillante, cuites à la perfection. Leur saveur était rehaussée par des ingrédients frais et de qualité, allant de la mozzarella fondante aux tomates juteuses, en passant par de savoureuses olives et des herbes aromatiques. Pour ceux qui recherchent un repas plus consistant, le restaurant propose également des hamburgers gourmands, servis avec des frites croustillantes et une sauce maison relevée.
Ceux qui préfèrent une option plus locale peuvent se tourner vers des plats typiques comme les pides turques, ces pains plats garnis de viande hachée, de fromage ou de légumes, ou encore des salades fraîches aux influences méditerranéennes, légères et parfumées.
L’emplacement central du restaurant Esmer en fait un arrêt parfait pour recharger les batteries avant de poursuivre l’exploration d’Istiklal Caddesi et de ses environs. Après ce repas réconfortant, nous avons repris notre promenade en direction de la place Taksim, profitant de l’ambiance vibrante de cette avenue mythique. Une adresse à retenir pour un déjeuner pratique et agréable en plein cœur d’Istanbul !
LES LOGEMENTS
Apartment FATIH chez OZAN – ISTANBUL- TURQUIE
Nous avons récemment séjourné à Istanbul, cette ville mythique autrefois connue sous les noms de Byzance et de Constantinople. Ayant déjà visité la ville à plusieurs reprises, nous étions convaincus que ce séjour serait tout aussi agréable, d’autant plus que notre appartement était idéalement situé.
Situé à seulement 9 minutes à pied du Grand Bazar, 9 minutes de la Mosquée Bleue et à moins de 20 minutes du Palais de Topkapi, notre hébergement CHEZ OZAN offrait une proximité inégalée avec les principaux sites touristiques.
L’appartement était spacieux et bien aménagé. Le salon confortable était parfait pour se détendre après une journée de visites, tandis que la grande salle à manger nous permettait de prendre nos repas du soir ensemble, sauf lorsque nous étions tentés par les activités nocturnes de la ville. La cuisine bien équipée facilitait la préparation de nos repas, et les deux chambres très confortables nous assuraient un repos optimal.
Nous tenons à exprimer notre gratitude à Ozan pour son accueil chaleureux, ses précieux conseils et sa disponibilité tout au long de notre séjour. Grâce à lui, notre expérience à Istanbul a été encore plus enrichissante et agréable.
LES LIENS
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