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LE TIZI N’TICHKA « Le Col des Patûrages » – MAROC *

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ROUTE DU TIZI N’TICHKA

La route vertigineuse du Tizi n’Tichka s’étend sur environ 200 km.

Elle traverse le Haut Atlas et est considérée comme l’une des plus belles du Maroc.

 

Incontournable pour relier Marrakech à Ouarzazate, elle offre un spectacle de petits virages sinueux (avec prudence recommandée) jusqu’à son point culminant, le col de Tizi n’Tichka, également connu sous le nom de « col des pâturages », perché à 2 300 mètres d’altitude.

C’est une véritable frontière naturelle entre les provinces de Marrakech et de Ouarzazate.

LES LIENS VERS LES PHOTOS DU TIZI N’TICHKA

LA VALLEE DE TELOUET *

LE TIZI N’TICHKA *

J 238 KASBAH DE TELOUET ROUTE DU TIZI N’TICHKA *

J 238 AIT BEN HADDOU *

J 287 LE TIZI N’TICHKA – LE COL DES PATURAGES *

AÏT BENHADDOU *

AÏT BENHADDOU LES AQUARELLES *

AÏT BENHADDOU- LES SERRURES *

AÏT BENHADDOU – Artisanat *

 

DE MARRAKECH A OUARZAZATE VIA LE TIZI N’TICHKA

La route du Tizi n’Tichka, franchissant le Haut-Atlas, est véritablement exceptionnelle et singulière, offrant des panoramas à couper le souffle sur des paysages quasi-désertiques. De la Vallée de l’oued Tensift au nord à la Vallée de l’Ourika au sud, cette route vaut vraiment le détour pour ses paysages merveilleux. Tout au long de l’itinéraire, on découvre des villages de pierres sèches et des cultures de blé et d’orge nichés dans les montagnes.

Sur la route, de nombreux boui-boui proposant des plats typiquement marocains tels que des brochettes grillées, des tajines ou encore des couscous permettent de faire une halte pour déjeuner avant d’atteindre le col du Tizi n’Tichka. Il est cependant important de noter que le col peut être fermé entre janvier et avril, donc il est recommandé de se renseigner avant de prendre la route.

Une fois passé le col en direction de Ouarzazate, c’est la vallée de l’Ounila qui révèle ses trésors : des villages ocres qui se fondent dans les montagnes multicolores, des vergers en terrasse, des ksours troglodytiques et des kasbahs à l’abandon. C’est un véritable concentré de beauté inégalable au sud du Maroc.

TRAVERSÉE DU COL DE TIZI N’TICHKA

La traversée du col de Tizi n’Tichka est une expérience à couper le souffle. Des petits villages en pisé semblent s’accrocher aux flancs des montagnes, créant un tableau pittoresque. En s’approchant du col, qui marque le point culminant du trajet à 2260 mètres d’altitude, la neige devient de plus en plus présente sur les bords de la route et les températures chutent rapidement, créant une atmosphère glaciale mais envoûtante.

Le point de vue depuis le col est tout simplement extraordinaire. La route se poursuit ensuite vers le col de Tizi N’Aït Imquer, offrant un panorama exceptionnel sur le djbel Tistouit qui domine majestueusement un cirque de monts enneigés.

En contrebas, on peut apercevoir un certain nombre de kasbahs et de petits villages, ajoutant une dimension historique et culturelle à cette expérience visuelle saisissante.

KASBAH DE TELOUET

La Kasbah de Telouet est un incontournable lors de votre voyage dans la région. Ancien palais du dernier seigneur de l’Atlas, elle était autrefois le fief de la tribu des Glaoua, puissants caïds qui régnaient sur toute la région Sud dès le XVIIe siècle. Perché au milieu des montagnes aux sommets enneigés, ce site historique offre un aperçu fascinant de l’histoire et de la culture de la région.

Une visite à la Kasbah de Telouet vous plonge dans un monde d’opulence et de prestige, où les riches traditions berbères se mêlent à l’architecture remarquable de l’époque. C’est un voyage dans le temps, où chaque mur, chaque cour, raconte une histoire riche et captivante.

La Kasbah de Telouet est un véritable chef-d’œuvre architectural, composé d’un impressionnant ensemble comprenant une forteresse, un château et un caravansérail. Ce joyau fascinant mêle harmonieusement l’architecture traditionnelle berbère avec des éléments de style oriental, hispano-mauresque. Cette fusion artistique témoigne de la grandeur et de la sophistication des anciens maîtres de cette région, qui cherchaient à impressionner le monde par leur magnificence et leur influence.

La Kasbah de Telouet, bien que semblant à première vue en état de délabrement, conserve encore à l’intérieur les vestiges du règne de la famille Glaoui. On y découvre des salons ornés de stuc, des murs décorés de zellige, des détails en marbre et en faïence, de longs couloirs et des plafonds en cèdre étonnamment bien préservés.

Ce joyau architectural, perdu au cœur de nulle part, nous émerveille par sa richesse historique et culturelle. Berbères et Juifs cohabitaient autrefois sur ces terres : les premiers se consacraient à l’agriculture et à l’élevage, tandis que les seconds exploitaient les précieuses ressources en sel et pratiquaient la distillation du Merrain, une eau-de-vie élaborée à partir de dattes et de figues.

Les premiers habitants de Telouet étaient des Berbères nomades qui occupaient les grottes des montagnes avoisinantes. Au fil du temps, Telouet est devenu un creuset ethnique, où se côtoyaient différentes cultures et traditions.

Très tôt, la communauté juive s’est établie à Telouet, devenant majoritairement des grossistes de sel et des artisans.

Pendant le Moyen Âge, les Arabes ont également migré vers Telouet dans le cadre de l’islamisation progressive du Maroc. Ils ont construit des medersa (écoles coraniques) et des zaouias (lieux d’enseignement théologique islamique). Des saints hommes, tels que Sidi Ouarghal, Sidi Ouissaâden et Sidi Daoud, ont marqué la région de leur présence. Quant à la population Haratine, d’origine africaine, elle était composée d’esclaves noirs venant du Mali, de Guinée, du Soudan et d’autres pays d’Afrique, transportés par les caravanes transsahariennes jusqu’à Telouet.

Ce douar (village) était un point de passage crucial pour les anciennes caravanes commerciales traversant le col de Telouet, appelé Tizi N’Telouet. Il servait également de point de passage pour les expéditions militaires.

À partir du 17ème siècle, l’arrivée des Glaoua dans la région a marqué un tournant dans l’histoire de Telouet. Selon certaines sources, cette famille descend d’un marabout nommé Mohamed Ou Saleh, originaire de la région d’Asfi et issu de la dynastie des Omeyyades.

Dès leur arrivée à Telouet, les Glaoua ont construit une zaouïa, où ils distribuaient des indulgences et des bénédictions appelées la baraka, héritées de l’un de leurs ancêtres. Avec l’acquisition de cette influence religieuse, leur ambition politique s’est développée.

La montée en puissance des Glaoua a transformé Telouet en résidence des nouveaux caïds et en poste de commandement du Sud. La construction de la kasbah de Telouet, château des nouveaux seigneurs, a débuté au 18ème siècle dans un style architectural berbère.

Au cours du 19ème et du 20ème siècle, des éléments de style oriental et hispano-mauresque ont été intégrés dans l’extension de la kasbah. Celle-ci est devenue une institution de commandement à part entière et un lieu de vie seigneurial par excellence, abritant une cour de justice, une prison, une résidence, une cour de festivités, une écurie, et bien d’autres installations.

LA VALLÉE OUNILA TIZI N’TICHKA

La traversée de la vallée de l’Ounila en direction d’Ouarzazate offre un voyage pittoresque à travers des paysages enchanteurs. Parsemé de villages ocres qui se fondent dans les montagnes, de vallées luxuriantes et de vergers en terrasse, ce trajet révèle également des ksour troglodytiques et des kasbahs abandonnées, témoins d’un riche passé.

Cette vallée, située sur le versant sud du Grand Atlas, fait partie des oasis du sud marocain inscrites au Patrimoine de l’Humanité, en raison de leur richesse géologique et minérale. Elle est habitée par les descendants des tribus berbères et se distingue par ses palmeraies, ses sources, son artisanat et ses festivals religieux.

Pour découvrir cette région fascinante, prenez la route du Tizi n’Tichka et bifurquez à gauche environ 2 km avant Taoussit en direction d’Abadou et de Sidi Daoud. Vous atteindrez alors Tighza, un point de départ idéal pour des excursions inoubliables. Par exemple, suivez le cours de l’oued Lounil (ou Ounila) jusqu’à sa source, et laissez-vous immerger dans un paysage montagneux aux couleurs chatoyantes. Après environ 4 heures de marche, vous atteindrez le lac de Tamda, une véritable oasis de lumière et de fraîcheur, offrant un spectacle naturel à couper le souffle.

Revenons maintenant à la vallée étroite, s’étirant sur environ 40 km de long. Pour la parcourir, vous devrez emprunter un chemin souvent en mauvais état, mais qui vous mènera à travers des falaises d’une beauté saisissante. Tout au long du trajet, la route serpente le long de la rivière, traversant plusieurs villages construits entièrement en terre et en paille.

Parsemant ce paysage, vous apercevrez de nombreuses kasbahs, ces anciennes forteresses traditionnelles, disséminées çà et là.

L’un des points forts de cette route est le village fortifié d’Anemiter, admirablement préservé, dont la visite est hautement recommandée. Situé juste après Telouet, Anemiter offre une vue imprenable sur la vallée de l’Ounila. De là, vous pourrez observer de nombreux autres villages et mosquées remarquables qui jalonnent la vallée. Parmi eux, la mosquée de Tamdagh se distingue par son impressionnante architecture, tout comme le charmant village d’Angelz.

Ce paysage envoûtant, d’une beauté si particulière, a inspiré de nombreux artistes, dont le peintre Jacques Majorelle, qui l’a immortalisé sur ses toiles.

GROTTES DE TAZLEFT TIZI N’TICHKA

Continuons notre périple sur la route sinueuse à travers la vallée Ounila. Bien que cette route soit souvent en mauvais état, elle offre en récompense des paysages de montagnes aux mille couleurs, véritables festins pour les yeux.

Alors que vous poursuivez votre chemin, vous vous enfoncerez bientôt dans un canyon, où il n’est pas rare de croiser quelques paysans se déplaçant sur leurs ânes ou tirant des charrettes.

Une autre bifurcation se présente à nous, nous menant vers le petit village de Tazeleft, niché entre les montagnes.

C’est avec une villageoise accueillante comme guide que nous décidons de nous aventurer dans une petite randonnée à travers les vergers en direction des grottes troglodytes de Tazeleft. Ces grottes, une série de cellules taillées dans la roche, étaient autrefois habitées par des semi-nomades.

La beauté et la quiétude de cet endroit sont tout simplement indescriptibles.

En chemin, notre guide nous explique que ces grottes étaient autrefois des agadirs, des greniers fortifiés utilisés pour stocker les récoltes en toute sécurité. C’est fascinant de penser à l’histoire qui réside dans ces anciennes structures alors que nous nous frayons un chemin à travers les vergers verdoyants.

KASBAH DE TAMDAKHT TIZI N’TICHKA

De retour sur la route principale de la vallée Ounila, nous continuons notre périple en direction du village de Tamdakht, où se dressent les ruines d’une ancienne kasbah appartenant à la dynastie des Glaoui, semblant presque figée dans le temps.

Loin de l’agitation et des afflux touristiques d’Ait Ben Haddou, le village de Tamdakht offre une véritable immersion au cœur de la culture et de la tradition amazighe. Nous décidons de partir à la rencontre des habitants, de flâner dans les jardins et de nous joindre aux festivités locales, sans oublier de faire un détour par le tafarnout, le four traditionnel où est cuit le pain du même nom.

La kasbah de Tamdakht, bien que maintenant en ruines, demeure un véritable joyau architectural vieux de plusieurs siècles. Selon l’histoire, elle fut à l’origine la résidence d’un chef amazigh, l’amghar Ali Ou Brahim n’Aït Haddou, opposé au Glaoui. Après sa défaite et son exécution en 1900, la kasbah passa sous le contrôle des Glaoui. Elle fut ensuite agrandie par le caïd Hamou vers 1920, puis par le caïd Brahim qui y ajouta des annexes vers 1940.

Après l’indépendance, la kasbah servit de prison à la famille Oufkir à la suite de la tentative de coup d’État de 1972 menée par le général Oufkir, alors commandant en chef de l’armée et ministre de la défense sous Hassan II.

Le terme « kasbah » est généralement utilisé pour désigner un bâtiment de plan carré, construit en terre crue. Ce type d’habitat est d’origine amazighe et dans cette langue, on le nomme « tighremt ». Le mot « kasbah » est relativement récent.

La construction des kasbahs suit plusieurs règles architecturales. Les murs sont réalisés en pisé, un mélange de terre et de paille selon un procédé ancien qui offre une isolation thermique naturelle. Le cœur de l’habitation est souvent un patio, permettant à la lumière de pénétrer dans l’ensemble de la construction.

L’ornementation extérieure des tours et du haut des murs est généralement en adobe, une brique de terre crue argileuse. Cette technique permet d’exécuter des motifs en creux et en relief qui ajourent les parties hautes des murs. Les toitures sont réalisées avec des poutres espacées, recouvertes de roseaux serrés, puis enduites de terre glaise.

AIT BENHADDOU

Aït-Benhaddou, situé à 30 km de Ouarzazate en venant de Marrakech et à une dizaine de kilomètres de Taborahte, présente un spectacle impressionnant de strates rocheuses. Il est l’un des ksars les mieux préservés de tout le Sud marocain, inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco en 1987, et emblématique de l’architecture présaharienne en terre et brique crue du Sud du Maroc.

Deux kilomètres avant l’entrée du village, un petit promontoire le long de la route vous offre une vue splendide sur l’ensemble du ksar, l’oued Ouarzazate et les cultures maraîchères qui le longent.

Le ksar d’Aït Ben Haddou remonte au 12ème siècle, et plusieurs légendes racontent sa fondation. Le village était une étape importante pour les caravanes chamelières reliant les pays au-delà du Sahara aux grandes cités du Maroc telles que Marrakech, Fès ou Meknès.

Cet endroit a été utilisé pour le tournage de nombreux films, dont Sodome et Gomorre, Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre, Lawrence d’Arabie, Gladiateur, le Joyau du Nil, Jésus de Nazareth, et bien d’autres.

Ce village fortifié, édifié sur un éperon rocheux, est magique en fin d’après-midi lorsque le soleil couchant l’illumine comme mille spots de cinéma. Il a été un carrefour du commerce depuis l’Antiquité, et ses maisons et fortifications reflétées dans la rivière en contrebas apparaissent comme un mirage au milieu du désert.

L’habitat de cet ensemble architectural se présente sous forme d’un groupement compact, fermé et suspendu pour des raisons à la fois sécuritaires (défensives) et socio-économiques (vie communautaire). Le tout disposait de seulement deux portes d’entrée pour contrôler les allées et venues, et un dédale de ruelles et de passages ouverts s’enchevêtrent entre les fragiles maisons de terre.

Les espaces publics comprennent :

– Une mosquée fondée au cœur de l’ensemble architectural. Elle est équipée d’un puits, de deux salles (l’une pour chauffer l’eau, l’autre pour les ablutions), d’une salle de prière et d’une annexe pour les études coraniques.

– Une place publique dédiée aux fêtes et à la danse traditionnelle, notamment l’« ahwach ».

– Des aires de battage des céréales à l’extérieur des remparts.

– Un grenier collectif (ighrem n iqddarn) perché au sommet du village.

Les habitants ont pris l’initiative de valoriser et de promouvoir leur patrimoine culturel, qu’il soit matériel ou immatériel. À cet effet, ils ont créé trois coopératives locales pour en assurer la gestion.

VIDEOS DE L’ETAPE

 

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LA GASTRONOMIE MAROCAINE

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RESTAURANT THE FULL SUN OUARZAZATE

Le restaurant The Full Sun à Ouarzazate offre une pause bienvenue après avoir traversé le Tizi N’Tichka. Malgré un soleil généreux, la température y est plus fraîche, à peine au-dessus de 20°C. Optant pour la terrasse ensoleillée, nous découvrons une carte de snacks variée, comprenant des omelettes berbères, des brochettes mixtes, des pizzas et des tacos, le tout à des prix abordables ! Nous avons payé seulement 270 MAD pour 4 personnes, boissons comprises.

REPAS SOIR NOVEMBRE

C’est avec un plaisir non dissimulé que nous célébrons le retour de la fraîcheur à Ouarzazate, avec des températures qui flirtent avec les 23°C en journée, mais chutent à 7°C le matin. Pour ce dîner, nous décidons de prendre le contre-courant en optant pour un repas froid. Bien que nous n’ayons pas tous très faim, un menu à moins de 50 MAD pour 4 personnes semblait être le choix parfait ! Au menu : une délicieuse salade de riz, des avocats avec mayonnaise, des poivrons piquillos et une salade de cervelas de dinde. Un festin simple mais ô combien réconfortant dans cette fraîcheur retrouvée !

RESTAURANT OSCAR HOTEL BY ATLAS – OUARZAZATE

Nous nous aventurons dans le Restaurant Oscar Hotel by Atlas à Ouarzazate, tout en tenant compte du couvre-feu qui exige que notre repas soit terminé avant 21 heures, une règle qui s’applique dans tout le Maroc. Malgré cette contrainte, nous sommes accueillis dans un cadre charmant au bord de la piscine.

Cependant, en raison des restrictions liées au couvre-feu, le menu disponible est considérablement réduit par rapport à ce qui est annoncé sur leur site web. De plus, nous remarquons une augmentation notable des prix. Malgré cela, nous espérons tout de même trouver des plats délicieux pour agrémenter notre soirée.

RESTAURANT LA DATTE D’OR – SKOURA région de Ouarzazate MAROC

Voici une recommandation à ne pas manquer : le Restaurant La Datte d’Or à Skoura, dans la région d’Ouarzazate au Maroc. Nous avons été séduits par la beauté de la kasbah et la terrasse, même si le vent était assez fort aujourd’hui.

Le menu proposé est très intéressant, avec une entrée, un plat principal et un dessert pour seulement 100 MAD, thé inclus. Nous avons été accueillis avec des dattes, des biscuits secs, des olives, de la harissa et de l’eau plate, ce qui a ajouté une touche locale à notre expérience culinaire.

Les plats étaient généreux et délicieux, et il était évident que tout était préparé avec soin et fait maison. Le tajine de kefta, en particulier, était un vrai régal, avec des petits pois frais qui lui donnaient une saveur authentique. Une adresse à retenir pour une expérience gastronomique authentique au Maroc.

CHEZ MON AMI AZIZ

Cela semble être une soirée mémorable chez Aziz, mon ami de longue date à Ouarzazate ! Nous nous sommes rencontrés il y a presque 20 ans, et notre amitié perdure depuis. Nous avons déjà partagé des moments inoubliables lors de notre dernière visite, notamment à l’occasion de l’anniversaire de son fils Anas.

Cette fois-ci était particulièrement spéciale, car c’était l’occasion pour Aziz de revoir Enzo, qu’il avait connu à l’âge de 2 ans et qu’il n’avait pas revu depuis ! Des retrouvailles émouvantes pour eux deux, et pour nous aussi. Nous avons célébré ces retrouvailles autour d’un excellent repas, très copieux comme toujours chez Aziz. La soirée a été des plus agréables, à échanger nos souvenirs et nos photos d’enfance.

Au plaisir de te revoir très vite, Aziz !

J 239 – REPAS CHEZ MON AMI AZIZ

Quelle belle soirée chez mon ami Aziz Agnaw retrouvé lors de mon voyage à Ouarzazate en 2006, où il travaille dans le souk artisanal en face de la kasbah Taourirt. Il nous a gentiment invités, ma famille et moi, à partager le repas du soir avec lui et sa famille.

Nous avons été accueillis comme des rois par cette famille en or et avons passé une soirée mémorable autour d’un repas des plus copieux : nous avons commencé par des pâtisseries, des fruits secs et du thé, suivis d’un délicieux couscous à la viande et aux légumes préparé par son épouse Fatima (le couscous est roulé avec du beurre et de l’huile… un vrai délice !). Ensuite, nous avons dégusté un tajine de poulet au citron confit et aux olives, agrémenté d’œufs durs. Enfin, nous avons partagé un gâteau pour célébrer l’anniversaire de son fils de 8 ans, suivi d’un café.

Ce fut une soirée extraordinaire et l’accueil chaleureux d’Aziz et de sa famille a rendu ce moment encore plus spécial. Quel bonheur de partager ces moments de convivialité et de générosité !

J 239 RESTAURANT DE LA KASBAH OUARZAZATE

Au cœur de la kasbah de Taourirt se trouve un incontournable : le restaurant de la kasbah. C’est là que convergent tous les touristes après avoir exploré la kasbah et la médina, ainsi que le complexe artisanal.

Le restaurant dispose de plusieurs terrasses offrant des vues magnifiques sur la kasbah et, au loin, sur les montagnes enneigées de l’Atlas. Vous pouvez choisir de vous installer au soleil ou à l’ombre, selon vos préférences.En ce qui concerne les plats, l’offre est basique mais très rapide, parfois même un peu trop rapide. Le menu propose quatre plats pour 130 MAD (un peu plus cher qu’à Marrakech) : une salade variée en entrée (plutôt fade), suivie d’une délicieuse harira. En plat, vous avez le choix entre une grande variété de tajines, de couscous et de brochettes, tous bien servis et savoureux. En dessert, des pâtisseries (biscuits) et des fruits de saison.Ce restaurant est idéal pour les personnes pressées ou pour profiter de la vue imprenable sur la kasbah.

LES LOGEMENTS

RESIDENCE OUARZAZATE – MAROC

La résidence Ouarzazate offre un appartement impeccablement propre au cœur de la ville, situé au deuxième étage sans ascenseur. Le stationnement est disponible dans la rue, et la résidence est à proximité d’une clinique et d’un marché couvert. De plus, elle se trouve à une courte distance du carrefour pour faire ses courses.

L’appartement comprend deux chambres avec des lits très confortables. Le wifi est particulièrement performant, et une terrasse au quatrième étage est disponible pour sécher le linge. La cuisine est équipée d’un micro-ondes, d’un lave-linge et d’un équipement correct. Le grand salon marocain offre un espace de détente agréable.

Le prix est très intéressant compte tenu des prestations fournies.

CHEZ MUSTAPHA OUARZAZATE

Chez Mustapha à Ouarzazate, vous découvrirez un bel appartement situé à proximité de l’aéroport, dans un quartier calme et sécurisé.

L’appartement, bien que petit, est agencé de manière très confortable sur deux étages. Au premier étage, vous trouverez une petite cuisine très bien équipée, bien que manquant d’un micro-ondes et de quelques verres supplémentaires. La qualité et la propreté de l’ensemble sont remarquables.

Un salon marocain vous accueille avec une télévision très moderne offrant un accès à Netflix, Iptv, etc. Le wifi peut être un peu lent, mais cela semble être une caractéristique générale au Maroc. Une chambre double avec une petite salle de bains attenante complète cet étage.

À l’étage supérieur, vous découvrirez une terrasse ainsi qu’une chambre double très spacieuse, dotée d’un dressing et d’une salle de bains confortable.

L’ensemble de l’appartement est très propre, récent et bien entretenu. À noter également l’extrême gentillesse de l’hôte, toujours disponible pour répondre à vos besoins.

Il est évident que le logement de Mustapha mérite une place de choix dans vos options de séjour à Ouarzazate !

LIEN VERS L’ANNONCE

LES LIENS

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