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Monkey Park : Une Parenthèse Sauvage au Cœur de la Gambie +

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Après avoir exploré les lions de Fathala et les crocodiles de Bakau, notre quête de rencontres avec la faune locale nous conduit aujourd’hui au Monkey Park, situé au cœur de la forêt de Bijilo et s’étendant sur 126 hectares. Cette forêt offre une mosaïque dynamique de paysages naturels, comprenant des zones de forêt dense, des sentiers sablonneux et des prairies ouvertes. Ces habitats diversifiés abritent une biodiversité exceptionnelle, comprenant plus de 133 espèces d’oiseaux.

Dès notre arrivée, nous sommes accueillis par une foule impressionnante de calaos à bec rouge, qui semblent presque familiers, à portée de main. Leur présence ajoute une touche de magie à notre expérience dès les premiers pas dans le parc. C’est un spectacle saisissant qui nous plonge immédiatement dans l’ambiance unique de ce lieu.

La diversité des oiseaux ici est véritablement remarquable, allant du magnifique Scarlet-chested Sunbird, éblouissant de couleurs, à la mystérieuse Chouette-pêcheuse de Verreaux, qui semble se fondre parfaitement dans son environnement. Les passionnés d’ornithologie seront comblés par la variété et la beauté des espèces qu’ils pourront observer ici.

Alors que nous nous enfonçons plus profondément dans le Monkey Park, notre excitation monte à l’idée de découvrir quelles autres merveilles la faune de cette réserve exceptionnelle a à nous offrir. Chaque pas dans ce paysage enchanteur est une promesse d’aventure et de découverte.

La forêt abrite également une communauté importante de singes verts, plus communément appelés vervets. Ces charmants primates, habitués à être nourris de cacahuètes par les visiteurs, ont perdu une grande partie de leur crainte envers les humains et sont devenus l’attraction phare du parc. Cependant, leur alimentation idéale se compose plutôt de gomme d’acacia, de fleurs, de graines, de feuilles et parfois même d’œufs d’oiseaux nichant dans les arbres.

Alors que nous observons ces singes énergiques sauter d’arbre en arbre et vaquer à leurs occupations quotidiennes, nous sommes captivés par leur agilité et leur intelligence. Leur présence ajoute une dimension magique à notre exploration de la forêt de Bijilo, et nous sommes reconnaissants d’avoir la chance d’observer ces créatures dans leur habitat naturel.

Mais ce n’est pas tout ! Très rapidement nous sommes émerveillés de découvrir des colobes rouges, perchés assez haut dans les arbres ou nichés parmi les feuilles des palmiers roniers. Ces magnifiques primates ajoutent une touche de couleur vive à notre exploration déjà captivante.

Le colobe rouge, comme son nom l’indique, se distingue par sa couleur rouge ou marron orangé sur la gorge et les membres, contrastant avec les parties supérieures de son corps souvent noires, grises ardoises ou marron foncé. Sa silhouette imposante mesure entre 45 et 67 centimètres de longueur corporelle, avec une queue variant de 50 à 80 centimètres, et son poids oscille généralement entre 5 et 10 kilogrammes.

Ces primates se nourrissent principalement de jeunes feuilles fraîches, de fleurs et de fruits non mûrs. Leur système digestif est remarquablement adapté à leur régime alimentaire, avec des glandes salivaires spéciales qui leur permettent de décomposer leur nourriture avant même qu’elle n’atteigne leur estomac. De plus, leurs quatre chambres stomacales leur permettent de digérer les aliments plus longtemps, maximisant ainsi l’absorption des nutriments et leur permettant de consommer même des plantes toxiques que d’autres primates ne pourraient tolérer.

En les observant évoluer avec grâce dans leur habitat naturel, nous réalisons à quel point la nature est ingénieuse et diversifiée.

Alors que nous nous promenions dans la forêt à la recherche d’autres primates, nos yeux furent attirés par une silhouette élancée se détachant parmi les arbres. C’était l’ Irrisor moqueur. Son plumage noir et vert foncé métallique scintillait sous les rayons du soleil, ses pattes rouges éclataient de couleur contre la végétation environnante.

À ses côtés, je remarquai des juvéniles au bec foncé, leur présence témoignant d’une cohésion familiale touchante. Leur vol était lourd mais gracieux, leur longue queue ondulant légèrement derrière eux, comme une bannière flottant dans le vent.

Alors que nous étions en train d’observer la nature paisible nous avons été surpris par l’apparition soudaine d’une mangouste rayée. Son museau pointu orné de longues moustaches trahissait sa curiosité, tandis que son corps mince et sa longue queue effilée se mouvaient avec agilité à travers les buissons. Malgré notre surprise, nous avons pu admirer les caractéristiques distinctives de cette créature. Sa petite tête était surmontée d’oreilles alertes, tandis que son pelage rêche et ses pattes courtes témoignaient de son adaptation à la vie dans les environnements variés de l’Afrique.

L’aire de répartition de la mangouste rayée s’étend à travers l’Afrique centrale et de l’Est, bien que sa présence soit moins importante en Afrique de l’Ouest. C’était un privilège d’assister à sa présence dans ce coin reculé de la nature, une créature véritablement remarquable de la savane africaine.

Alors que nous étions immergés dans la végétation dense de la forêt de Bijilo, nos regards furent attirés vers le sommet d’un palmier rônier où un couple de palmistes africains se tenait majestueusement. Le contraste entre leurs pattes d’un blanc jaunâtre terne et leur plumage principalement blanc, orné de larges couvertures d’ailes et de plumes scapulaires noires, était saisissant.

L’iris brun jaune de ces magnifiques oiseaux témoignait de leur concentration tandis qu’ils scrutaient leur environnement depuis leur perchoir. La large bande terminale blanche de leurs queues ajoutait une touche de grâce à leur silhouette imposante.

Nous nous souvenions de notre rencontre précédente avec ces rapaces lors de notre exploration des lacs de cratère dans le Parc Queen Elisabeth en Ouganda. Là-bas, nous avions été témoins de leur habileté à se nourrir principalement de palmistes, la noix du palmier à huile, bien que leur régime alimentaire comprenne également des charognes, des poissons et parfois de petits vertébrés terrestres.

C’était un spectacle inspirant de voir ces oiseaux magnifiques s’adapter à des habitats aussi divers, que ce soit au cœur des forêts denses ou près des étendues d’eau des lacs africains. Nous restâmes là, absorbés par la beauté et la grâce de ce couple de palmistes africains, symboles vivants de la richesse de la biodiversité de la région.

Le Monkey Park est ouvert tous les jours, de 6h à 18h, avec un droit d’entrée à partir de 150 GMD (00 GMD pour les étrangers).

 

VIDEOS sur Banjul et ses environs

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La Cuisine Gambienne et sénégalaise

Toutes les informations, par région sur la gastronomie sénégalaise en suivant ce lien : La Cuisine Sénégalaise

KING OF CHAWARMA A BANJUL GAMBIE

En flânant dans les rues animées de Banjul, tout près du bouillonnant Albert Market, nous tombons sur une adresse discrète mais pleine de promesses : King of Chawarma. Niché à l’ombre d’un bâtiment modeste, ce petit restaurant propre comme un sou neuf respire la générosité. L’accueil y est immédiat, chaleureux, sincère – l’un de ces endroits où l’on se sent aussitôt bienvenu.

La carte est simple mais efficace, centrée autour de la star des lieux : le chawarma, préparé à la minute, roulé dans un pain moelleux avec des sauces parfumées et de la viande savoureuse. Mais l’établissement ne s’en tient pas là : on y trouve aussi des burgers bien garnis, des kebabs juteux, et des mixed grills qui embaument l’air chaud de Banjul dès leur arrivée à table.

À notre passage, nous sommes quatre à commander – chacun son plat, chacun sa boisson – et nous repartons le ventre plein et le cœur léger pour seulement 1600 Dalasis, soit environ 23 euros à peine. Une aubaine, dans une capitale où les bonnes adresses se font parfois discrètes.

Et puis il y a la touche orientale, inattendue mais très appréciée : quelques spécialités libanaises comme le Moudamaas, ce plat simple et nourrissant à base de fèves mijotées, servi tiède avec un filet d’huile d’olive et quelques quartiers de citron. Une entrée populaire au Liban et en Égypte, qui réconcilie parfaitement l’envie de découverte et le besoin de réconfort.

King of Chawarma, c’est le genre d’adresse qu’on recommande sans hésiter, où l’on reviendrait volontiers après une visite du marché ou une balade vers les quais. Une parenthèse gourmande au cœur de Banjul, à petit prix, avec le sourire en prime.

https://voyageavecnous.com/banjul-et-ses-environs-gambie/

et la cuisine sénégalaise et gambienne
https://voyageavecnous.com/la-cuisine-senegalaise-senegal/
#kingofchawarma #banjul

LE PARADISO SENEGAMBIE

À quelques pas de la plage, non loin du Craft Market animé de Senegambia, une halte gourmande s’impose : Le Paradiso. Dès l’entrée, on comprend pourquoi ce restaurant fait l’unanimité auprès des voyageurs comme des habitués du quartier. L’ambiance est conviviale, un brin élégante sans prétention, et l’accueil y est tout aussi chaleureux que professionnel.

La carte, vaste sans être confuse, est pensée pour plaire à toutes les envies : pizzas fines, pâtes al dente, soupes fumantes, salades croquantes, mais aussi fruits de mer, grillades, et même quelques tapas pour accompagner un apéritif au coucher du soleil. Les assiettes arrivent rapidement, les portions sont généreuses et les saveurs au rendez-vous. Rien n’est laissé au hasard : la présentation est soignée, le service attentif.

Mais s’il est un plat qui mérite une mention spéciale, c’est bien le Beef Domoda. Ce ragoût épais à base de pâte d’arachide, emblématique de la cuisine mandingue, est ici proposé dans une version savamment dosée en épices, suffisamment douce pour les palais européens tout en conservant l’authenticité de ses arômes. Le bœuf, tendre, mijote longuement avec des légumes fondants, imprégnés de cette sauce onctueuse aux reflets cuivrés. Servi avec du riz blanc ou du couscous local, le Domoda du Paradiso résume à lui seul tout un pan de la culture ouest-africaine.

Autour de nous, des groupes d’amis partagent un moment joyeux, des couples dînent aux chandelles, et des familles s’installent après une journée à la plage. Le Paradiso porte bien son nom : il incarne ce doux mélange de vacances, de plaisir simple et de découverte culinaire, au cœur de la vivante Senegambia.

RESTAURANT LE FIGARO’S SENEGAMBIA

Dès notre arrivée au Figaro’s, niché dans une ruelle tranquille non loin de l’animation du Strip de Senegambia, nous avons été accueillis dans une ambiance résolument chaleureuse. La terrasse ombragée, le murmure des conversations mêlé à une douce musique d’ambiance, et le sourire complice du serveur nous ont tout de suite mis à l’aise. Ce restaurant, recommandé par plusieurs habitués de la région, cultive une atmosphère conviviale où l’on sent que chaque client est reçu comme un invité.

Dès la première lecture du menu, nous avons été séduits par la diversité des plats proposés. Entre inspirations locales et touches méditerranéennes, la carte fait la part belle aux produits de saison, soigneusement choisis sur les marchés de Banjul ou de Serrekunda. On y trouve aussi bien des classiques internationaux revisités – comme des burgers au pain maison, des salades copieuses, ou encore des pizzas à pâte fine garnies d’ingrédients frais – que des spécialités gambiennes authentiques.

Nous avons opté pour le Fish Benachin, l’un des plats emblématiques du restaurant. Ce plat traditionnel – littéralement “riz cuisiné dans une seule marmite” – est souvent comparé au riz jollof, mais avec une personnalité bien à lui : ici, le riz est cuit dans un bouillon de tomates, d’herbes locales, de légumes fondants, et accompagné d’un poisson entier grillé, généralement du barracuda ou du capitaine, pêché dans les eaux voisines. Le résultat est un plat savoureux, épicé avec mesure, généreux, et profondément enraciné dans l’histoire culinaire de la région.

Ce Fish Benachin a aussi été l’occasion pour nous de revenir sur l’anecdote savoureuse du riz jollof, plat roi d’Afrique de l’Ouest, dont la paternité alimente depuis des décennies une compétition amicale (mais passionnée) entre Sénégalais, Nigérians et Gambiens. Il est dit que son origine remonterait à l’ancien empire wolof, ou “Djolof”, qui couvrait autrefois une partie du Sénégal et de la Gambie. Aujourd’hui encore, chaque pays y ajoute sa touche personnelle, qu’il s’agisse du piment, du type de riz ou des accompagnements.

Mais au Figaro’s, ce sont surtout les saveurs maîtrisées, l’équilibre des épices et la générosité des assiettes qui font la différence. À côté de notre plat principal, nous avons goûté quelques spécialités d’accompagnement comme le Domoda, un ragoût d’arachide onctueux, et de fines tranches de bananes plantain frites, dorées à souhait. Le tout, arrosé de jus de bissap bien frais, puis terminé par un dessert simple mais réconfortant : un gâteau moelleux au coco, servi tiède.

Le service est rapide sans être pressant, attentif sans être envahissant. Chaque plat est présenté avec soin, et l’équipe du restaurant semble réellement passionnée par ce qu’elle propose. Environ 450 dalasis par personne, soit 6 à 8 € le plat principal, pour une cuisine de cette qualité, c’est remarquable. Nous étions quatre, et l’addition finale – boissons comprises – s’est élevée à 1600 dalasis, soit environ 23 €, un excellent rapport qualité-prix.

On comprend aisément pourquoi les avis positifs s’accumulent sur les plateformes comme Tripadvisor : 34 recommandations enthousiastes, soulignant autant la qualité de la cuisine que l’ambiance familiale du lieu.

Le Figaro’s n’est pas simplement une bonne adresse de plus dans la région de Senegambia. C’est un petit havre de saveurs, où l’on prend le temps d’apprécier ce que la Gambie a de meilleur à offrir : une cuisine authentique, un accueil sincère et une ambiance où le temps semble ralentir.

WINERY TAPAS AND RESTAURANT SENEGAMBIE

En fin d’après-midi, alors que la lumière dorée du soleil commence à caresser les palmiers de Senegambie, nous quittons la plage et les étals colorés du centre artisanal pour rejoindre une adresse qui nous avait été chaudement recommandée : le Winery Tapas and Restaurant. Situé à deux pas de l’agitation du Strip mais suffisamment en retrait pour offrir une atmosphère plus feutrée, ce petit établissement nous attire dès l’entrée avec sa terrasse élégamment éclairée et ses effluves d’ail, d’huile d’olive et de paprika.

Dès la carte entre les mains, un doux parfum de souvenirs nous envahit. Le menu, résolument tourné vers la cuisine espagnole, évoque nos soirées à Barcelone ou Séville. Bastien n’hésite pas une seconde : il commande ses éternelles croquetas dorées et croustillantes, suivies de patatas bravas, ces pommes de terre sautées recouvertes d’une sauce piquante et d’aïoli maison. Margot, plus audacieuse, choisit un généreux solomillo de cerdo, filet mignon de porc tendre nappé d’une sauce au vin rouge, accompagné de légumes croquants.

De notre côté, nous partageons une paella mixte fumante, servie dans sa poêle traditionnelle, avec riz safrané, crevettes, moules, morceaux de poulet et chorizo. L’équilibre des saveurs est parfait, la cuisson maîtrisée : un vrai goût d’Espagne au cœur de la Gambie. Le tout s’accompagne à merveille d’une bière bien fraîche (mention spéciale pour la pression de 50 cl à seulement 110 Dalasis, soit moins de 1,50 € !), ou, pour les amateurs, d’un petit verre de vin espagnol soigneusement sélectionné.

Le service est souriant, discret mais attentif, et l’atmosphère, entre convivialité méditerranéenne et douceur ouest-africaine, rend l’expérience particulièrement agréable. Les assiettes arrivent à un bon rythme, bien présentées, et les portions sont généreuses. Le cadre, mi-espagnol, mi-tropical, joue lui aussi sur l’équilibre des cultures – un mélange harmonieux qui reflète bien l’esprit de Senegambie, cosmopolite et accueillant.

Au moment de régler l’addition, pas de mauvaise surprise : 2950 Dalasis pour quatre personnes, boissons incluses – soit environ 43 €. Une excellente affaire pour un dîner aussi savoureux, copieux et bien orchestré.

Le Winery Tapas and Restaurant s’impose donc comme une adresse incontournable pour tous ceux qui souhaitent changer des classiques locaux le temps d’un soir, retrouver les saveurs de l’Espagne tout en restant les pieds dans le sable gambien. Une halte gustative à ne pas manquer.

SAFFRON SEASON RESTAURANT SERREKUNDA BANJUL

En fin de journée, alors que les rues animées de Serrekunda commencent à s’emplir des senteurs mêlées d’épices, de grillades et de poussière chaude, nous prenons la direction de Saffron Season Restaurant, niché à Kololi, non loin de la plage et du Strip. L’endroit, à la façade discrète mais élégante, s’ouvre sur une salle joliment décorée, baignée de lumière tamisée, où l’ambiance est immédiatement chaleureuse. On s’y sent bien, pris en charge avec courtoisie par un personnel attentif et professionnel.

Dès les premières pages du menu, la promesse de l’Inde est là : currys parfumés, tandooris fumants, naans moelleux… tout donne envie. Nous optons pour deux classiques aux saveurs relevées : un madras de crevettes et un balti de poulet. Les assiettes arrivent rapidement, superbement dressées. Le madras dévoile des crevettes dodues, parfaitement cuites, baignant dans une sauce épicée et profonde aux notes de cumin, coriandre et piment doux. Chaque bouchée est un voyage. Le balti, lui, séduit par son équilibre : une sauce onctueuse, légèrement tomatée, relevée sans excès, où le poulet fond littéralement en bouche.

À côté, un naan au fromage encore chaud, croustillant à l’extérieur et fondant à l’intérieur, accompagne à merveille les plats, absorbant les sauces et prolongeant le plaisir.

Les portions sont généreuses, sans excès, et les prix restent tout à fait raisonnables pour la qualité proposée : comptez environ 400 à 600 Dalasis (entre 6 et 9 €) pour un plat principal, un peu plus pour les plats à base de crevettes ou d’agneau. Le tout est parfaitement complété par une sélection de boissons fraîches et quelques bières locales ou importées.

Saffron Season Restaurant s’impose ainsi comme une référence pour les amateurs de cuisine indienne raffinée en Gambie. C’est une adresse qui allie qualité, générosité, service irréprochable et cadre agréable, idéale pour un dîner en amoureux, un repas entre amis ou même une célébration plus formelle.

Si vous êtes de passage à Kololi ou dans la région de Banjul, ne manquez pas cette escale savoureuse, qui vous transportera en plein cœur du sous-continent indien, le temps d’un repas mémorable.

LES LOGEMENTS

 THE WHITE HOUSE N°1

Nous séjournons actuellement à The White House No.1, situé à environ 1,7 km de la plage de Bijilo. Cet établissement offre une vue charmante sur la cour intérieure et propose un hébergement confortable avec un jardin et une terrasse pour profiter pleinement du climat.

Ici, nous bénéficions du service de concierge et avons la possibilité de profiter de l’aire de pique-nique pour des repas en plein air. L’établissement propose également des services pratiques tels que des navettes aéroport et la location de voitures pour explorer les environs.

La villa elle-même est spacieuse, avec ses 3 chambres et 2 salles de bains. Nous apprécions le confort des lits avec le linge de lit et les serviettes fournies. Dans le salon, une télévision par satellite à écran plat nous permet de nous détendre après une journée bien remplie. La cuisine entièrement équipée nous permet de préparer nos repas avec facilité, et la terrasse offre une vue paisible sur le jardin où nous aimons prendre notre petit-déjeuner le matin.

Cependant, nous sommes un peu déçus de constater que l’accès à la piscine, mentionné dans l’annonce, se révèle être à plusieurs kilomètres de là. De plus, le jardin est partagé avec d’autres occupants, ce qui peut parfois réduire l’intimité. Nous avons également remarqué que le petit déjeuner, bien que proposé, n’est pas inclus dans le tarif, ce qui peut être un point à prendre en considération pour certains voyageurs.

Malgré ces petits bémols, nous apprécions tout de même le confort et l’espace de cette villa. Il est vrai cependant qu’un petit coup de propre général serait le bienvenu pour améliorer l’expérience globale.

VILLA MUHAMMED CEESEY OLD YUNDUM BANJUL

Nous séjournons au Muhammed Ceesay Villa, situé à Old Yundum, et nous sommes absolument ravis de notre expérience.

Cette immense villa climatisée est un véritable bijou, avec son balcon et sa terrasse spacieuse, dont une partie est couverte pour offrir un espace salon confortable. À côté de la terrasse, un vaste salon couvert est également à disposition, ajoutant encore plus de charme à cet endroit.

Pour notre véhicule, le Raptor, nous avons accès à un parking privé avec une grille motorisée, assurant ainsi la sécurité de notre voiture. La villa est équipée d’une connexion Wi-Fi gratuite, d’une télévision à écran plat, d’un lave-linge et d’une cuisine complète avec tous les ustensiles nécessaires pour cuisiner.

Nous apprécions particulièrement le jardin, un endroit paisible où nous pouvons nous détendre et profiter de l’air frais.

L’ensemble de la villa est d’une propreté impeccable, ce qui contribue grandement à notre confort. De plus, l’accueil chaleureux et sympathique que nous recevons rend notre séjour encore plus agréable.

La villa se distingue également par sa proximité avec l’aéroport de Banjul, ce qui en fait un choix idéal pour les voyageurs en transit ou ceux qui souhaitent être à quelques pas seulement de leur point de départ ou d’arrivée.

FINFOOT LODGE LAMIN KOTO

Alors que nous recherchions une retraite paisible pour notre séjour en Gambie, nous avons eu la chance de découvrir le charmant Finfoot Lodge, niché à Lamin Koto, au cœur de la région de la Division de Central River.

Dès notre arrivée, nous avons été enveloppés par l’atmosphère sereine qui règne ici. Le lodge est idéalement situé au bord du fleuve Gambie, ses cases traditionnelles rondes, surmontées de toits en tôle, et ses chambres alignées sous des auvents en tôle contribuent à son charme rustique. Cependant, le jardin semble en manque d’entretien, tout comme l’ensemble des bâtiments. Il est clair que des travaux d’amélioration sont nécessaires.

Le bar en bord de rivière est un endroit idéal pour se détendre, avec un service personnalisé en fonction des demandes des clients.

Le lodge propose également des équipements pratiques, comme un parking privé gratuit et une connexion Wi-Fi disponible dans tout l’établissement.

Les chambres offrent un confort assez basique avec une literie ferme mais sont dotées de salles de bains privatives. L’électricité est alimentée par des panneaux solaires et est donc coupée la nuit. Cependant, l’alimentation électrique n’est pas suffisante pour recharger des batteries d’ordinateurs portables. De plus, l’absence de ventilation en cas de coupure d’électricité pendant les nuits chaudes peut rendre l’expérience inconfortable.

Au Finfoot Lodge, les repas suivent des recettes traditionnelles mais offrent une qualité gustative remarquable. Pour le déjeuner, nous avons savouré du poulet avec du riz accompagné d’une variété d’aubergines, de choux et de pommes de terre, tandis que le dîner nous a régalés avec un poulet façon yassa, servi avec des frites, des nouilles et du riz. Le petit-déjeuner consistait en du pain, du thé ou du café, accompagné d’une délicieuse omelette aux oignons avec le bonheur d’être accompagnés par un vervet femelle et son bébé

Au Finfoot Lodge, nous avons ainsi eu un aperçu du confort sommaire auquel nous devons nous habituer en Afrique centrale. Malgré cela, l’accueil chaleureux de nos hôtes et l’expérience inoubliable vécue au Parc national du fleuve Gambie ajoutent une valeur considérable à notre séjour. De plus, compte tenu du peu d’options disponibles à proximité, notre expérience globale reste positive.

LES LIENS VERS LES PHOTOS de Banjul et de ses environs

J 635 ARRIVEE EN GAMBIE et installation à la white house BRUFUT

J 636 BANJUL la capitale et le MARCHE ALBERT

J 636 BAKAU ET LA CROCODILE POOL GAMBIE

DONS DE BIJOUX ET BALLONS DE FOOT BAKAU

J 637 MONKEY FOREST FORET DE BIJILO SENEGAMBIA GAMBIE

SENEGAMBIA CRAFT MARKET

J638 LA SNAKE FARM ET KARTONG GAMBIE

J639 MAKASUTU CULTURAL FOREST BRIKAMA GAMBIE

GAMBIA HORSE AND DONKEY TRUST

j 669 PARC NATIONAL DU FLEUVE GAMBIE

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