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La Palmeraie de Todgha : Un écrin de verdure au cœur du désert marocain MAROC +

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Après notre visite à la Kasbah, nous reprenons la voiture et traversons le lit de la rivière Todgha sur un grand pont, puis nous tournons à droite pour accéder à Ait Belka, dans le ksar d’Afanour, la partie sud de la palmeraie du Todgha .

Nous garons la voiture près du cimetière d’Afanour et poursuivons à pied jusqu’à la mosquée Ikalane. En chemin, nous croisons un vieil homme et des femmes portant leurs récoltes, qui nous indiquent gentiment la direction à suivre. Leurs salutations chaleureuses et leurs souhaits de bon voyage témoignent de l’hospitalité qui règne dans cette palmeraie, même si les sentiers labyrinthiques peuvent rendre la navigation un peu délicate.

MOSQUEE IKALANE Todgha

La mosquée-medersa Ikelane, au cœur de cette partie de la palmeraie, est un monument historique. Elle fut la première mosquée construite dans la région.

Abandonnée et en ruine, sa restauration a été entreprise par un ancien résident du ksar, Habib, avec le soutien financier de quelques voyageurs et de l’Hôtel Tombouctou.

À l’origine, le bâtiment remplissait quatre fonctions principales :

  • Mosquée du quartier des Ikelane, l’un des quatre clans habitant dans le ksar Afanour.
  • École pour les enfants du village.
  • École supérieure formant une bonne partie des maîtres de Coran du sud marocain.
  • Résidence d’étudiants venant de villages éloignés.

Elle a fonctionné comme école jusqu’aux années 1970 et comme mosquée jusqu’en 1998, avant d’être abandonnée. L’Association Afanour de Développement a tenté de restaurer le monument avec l’aide financière de la Commune de Tineghir et du secteur touristique de la ville, mais les ressources étaient limitées. Seul le toit de la salle de prière a pu être rénové.

En 2006, les fortes pluies ont provoqué l’effondrement d’un mur et d’une partie du toit de la salle d’ablutions, par manque d’entretien. Cependant, en 2007, l’Association a réussi à reconstruire cette partie grâce à la générosité d’un groupe d’architectes catalans.

La mosquée-medersa Ikelane est ouverte à la visite touristique depuis décembre 2007, et l’Association Afanour de Développement espère continuer sa restauration grâce aux contributions des visiteurs.

Le plan de la mosquée-medersa Ikelane, construite en partie sur une falaise et en partie sur une ruelle du ksar Afanour, est unique au Maroc, voire dans le monde entier. Cependant, elle présente les éléments classiques que l’on trouve dans la plupart des anciennes mosquées en terre crue des vallées présahariennes.

– La salle d’ablutions comprend un puits, une pièce pour chauffer l’eau dans un chaudron, un espace de stockage pour le bois destiné au feu, des zones pour les ablutions mineures (mains, bouche, nez, visage, bras, tête, oreilles et pieds) ainsi que des salles réservées aux ablutions majeures (lavage du corps entier après un rapport sexuel).

– La salle de prière abrite un mihrab orienté vers La Mecque, une niche pour le minbar d’où l’imam prononce le prône du vendredi, et un grand espace couvert de nattes pour la prière.

Le toit, fait de tiges de laurier rose teintées au henné et au khôl, est soutenu par de nombreux piliers. Une lucarne centrale, destinée à éclairer la salle, est surmontée d’une belle coupole.

– La terrasse servait à dispenser des cours et à appeler à la prière.

Il est rare de trouver un minaret dans les anciennes mosquées de la région présaharienne.

Trois chambres étaient destinées à loger les étudiants venant de villages éloignés.

Comme dans toutes les mosquées des vallées présahariennes, celle des Ikelane était exclusivement fréquentée par les hommes, le culte des femmes se déroulant dans les marabouts ou à domicile.

La décoration de la mosquée est singulière et comporte de nombreux éléments originaux, tels que des chaussons, des vêtements et d’autres objets ayant toujours appartenu à ces lieux.

La vue depuis la terrasse offre un panorama magnifique sur la palmeraie et les toits en pisé partiellement délabrés du ksar.

Nous reprenons la route en longeant toujours le fleuve vers l’est, en direction des gorges du Todgha. La route serpente au-dessus de la palmeraie et de la rivière Todgha, offrant encore une fois des points de vue spectaculaires. Nous nous garons tout au bout de la route, dans le quartier d’Ihjamen.

L’Oued Todgha serpente ici entre collines et plaines désertiques, arrosant avec l’eau du Haut Atlas une vallée étroite qu’il transforme en un verger paradisiaque, regorgeant de palmiers, d’oliviers et d’arbres fruitiers.

Ce cours d’eau, également connu sous les noms de Todgha ou Toudgha, se fraye difficilement un passage entre les chaînes du Haut Atlas, formant ainsi les célèbres gorges du Todgha , et il est alimenté en grande partie par la source souterraine de Tizgui. De là, il continue son parcours à travers l’intérieur d’une falaise, entre les dernières chaînes de montagnes, jusqu’à Tineghir. Ensuite, il se déverse dans la grande plaine, serpentant légèrement sur une vingtaine de kilomètres jusqu’à Agoudim n’Aiït Yazza. Malgré son importance, l’eau de l’Oued Todgha est souvent absorbée par un grand nombre de canaux d’irrigation, ne parvenant généralement pas jusqu’à Ferkla, une oasis située à 50 km à l’est de Tineghir. Son lit traverse Ferkla pour finalement se jeter dans le Ghris, mais cela se produit uniquement lors de fortes crues et pendant quelques jours seulement.

Bien sûr, la palmeraie est l’une des premières choses à visiter dans la région. On peut aisément passer une demi-journée à explorer les détours de ses parcelles, séparées par des seguias qui les irriguent selon une répartition complexe des droits de l’eau, préservant ainsi un savoir-faire précieux. Dans une région si proche du désert, chaque goutte d’eau, qu’elle provienne de la pluie ou de la fonte des neiges, est précieuse.

La palmeraie du Todgha , dense et étendue sur une largeur de 800 à 2000 mètres, est implantée dans le lit mouvant de l’Oued Todgha . Elle est irriguée par un réseau de canalisations appelées tirgouine (pluriel de targua). Ombragée dans toute son étendue par une multitude de palmiers, elle abrite également, dans sa partie nord, une variété de vergers grâce à l’abondance d’eau, comprenant presque toutes les espèces d’arbres fruitiers : pommiers, poiriers, pruniers, abricotiers, cognassiers, grenadiers, figuiers, amandiers, pêchers, etc. Tous les légumes y sont également cultivés : tomates, menthe, haricots verts, courges, carottes, navets, fèves, ainsi que du raisin. En aval, avec la diminution de l’eau, on trouve davantage d’orge et d’amandiers, mieux adaptés à la sécheresse.

Dans la basse vallée, le débit de la rivière n’est pas suffisant pour alimenter toute la palmeraie.

Un système appelé nouba est alors mis en place, où chaque village ou ighrem bénéficie à tour de rôle de la quasi-totalité du débit restant de l’oued pendant un nombre de jours défini, généralement de deux à quatre, en fonction de l’importance du village et des champs à irriguer.

En dehors de ces périodes, l’irrigation est assurée par des puits collectifs, pouvant atteindre jusqu’à 60 mètres de profondeur, équipés de moteurs à gasoil. Les habitants se relaient pour utiliser ces puits et irriguer leurs champs.

Plus bas encore, en complément des puits, on trouve des fogaras ou khettaras, des canaux souterrains transportant l’eau sur plusieurs kilomètres à travers le plateau, reconnaissables en surface par la ligne des puits d’accès permettant leur construction et leur entretien.

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LA GASTRONOMIE MAROCAINE

Toutes les informations, par région sur la gastronomie marocaine en suivant ce lien : LA GASTRONOMIE MAROCAINE

PLAT PALMIER ASNIF

Nous avons fait une pause déjeuner au restaurant Plat Palmier à Alnif, sur la route de Rissani à Tineghir., sur la route qui relie Rissani à Tineghir, et dès notre arrivée, nous avons été immédiatement enveloppés par l’atmosphère animée de la terrasse. Autour de nous, des motards en pleine discussion et quelques touristes attablés créaient une ambiance décontractée et typiquement routière, une parenthèse sur la chaleur du désert qui nous rappelait que, parfois, c’est justement l’imprévu qui rend le voyage encore plus mémorable.

Cependant, malgré l’accueil sympathique et le décor authentique, nous avons été quelque peu déçus par le menu restreint proposé ce jour-là. Le choix limité de plats nous a surpris, surtout après une matinée riche en découvertes et avant d’arriver à un point de fatigue où notre appétit était grand. Le service, lent malgré tout, nous a laissé le temps d’observer attentivement chaque détail du lieu et des allées et venues du personnel, mais la gêne est rapidement apparue quand nous avons constaté que les portions étaient nettement moins généreuses que ce que nous espérions. Les assiettes à base de thon, en particulier, étaient peu garnies, ce qui a attisé une légère déception, bien que nous ayons eu du réconfort en constatant que les prix étaient abordables et en parfaite adéquation avec ce qui était offert.

Heureusement, la commande d’un tajine Kalya à la dinde s’est révélée être une véritable bouffée d’air frais dans ce contexte culinaire. Nous avons été agréablement surpris par le soin apporté à sa présentation et par la richesse des saveurs qui se dégageaient dès la première bouchée. Ce plat, aux arômes équilibrés et à la cuisson maîtrisée, a su compenser en partie les autres choix du menu, nous rappelant que même dans un cadre tout simple, l’excellence peut se cacher dans l’attention portée aux préparations traditionnelles.

Tout au long de ce repas, nous avons gardé le sourire, conscients que chaque étape du voyage réserve ses surprises – bonnes ou moins bonnes – et que ces expériences, même si elles nous laissent quelques regrets, font partie intégrante de l’authenticité de la route. Ce déjeuner au Plat Palmier, avec ses hauts et ses bas, nous a permis de nourrir non seulement nos corps, mais aussi notre curiosité, et nous a rappelé que, dans le grand livre des voyages, chaque page, même imparfaite, mérite d’être lue et savourée.

CAFE RESTAURANT AL HILAL TINEGHIR

Lors de notre pause au Café Restaurant Al Hilal à Tineghir, situé face à la place principale, nous avons été attirés par son emplacement central et son ambiance animée. Malheureusement, notre expérience culinaire n’a pas été à la hauteur de nos attentes. Les plats manquaient de saveur, et le service laissait à désirer. Les brochettes, bien que grillées au charbon, étaient accompagnées de frites froides, et l’attente pour que tout le monde soit servi a été longue.

Malgré ces désagréments, nous avons apprécié le tajine Kalya à la dinde, bien servi et savoureux, qui a partiellement compensé notre déception. Cette étape, bien que décevante, n’a pas entamé notre enthousiasme pour la suite de notre aventure. Nous restons optimistes quant aux découvertes culinaires que la route nous réserve.

COUSCOUS MAISON

Préparer un couscous en famille au Maroc est non seulement très facile mais aussi abordable !

Voici ce dont vous aurez besoin pour un délicieux couscous :

– 500 g de poulet pour seulement 30 MAD
– 500 g de merguez pour 25 MAD
– Environ 20 MAD de légumes frais
– 20 MAD pour la semoule

Si vous n’avez pas de barbecue pour les brochettes, pas de souci ! Vous pouvez en trouver un au souk de Tineghir pour environ 25 MAD.

Avec ces ingrédients à petit prix, vous pourrez savourer un délicieux couscous en famille sans vous ruiner !

REPAS OFFERT PAR FAHRID AIT SIDI ALI OUBROUK

Pour notre dernière soirée à Tineghir, nous avons été choyés par notre hôte, Fahrid à Ait Sidi Ali Oubrouk. un petit village niché à flanc de montagne, où prend source la rivière Agolzi. Ce lieu, entouré d’un environnement minéral spectaculaire et d’une petite palmeraie aux nuances de vert flamboyantes, nous a offert une expérience authentique et mémorable. 

Fahrid nous a invités à partager un repas traditionnel marocain, mettant en avant le sens profond de l’hospitalité locale. Au menu, une savoureuse salade marocaine, suivie de poulet grillé accompagné de frites, et pour terminer, une coupe de fruits frais en dessert. Chaque plat était préparé avec soin, reflétant les saveurs et les traditions culinaires de la région.

Au-delà du repas, nous avons été impressionnés par la beauté de la propriété de Fahrid. Les travaux en cours, notamment la construction d’une piscine et l’aménagement extérieur, promettent de rendre cet endroit encore plus accueillant. Nous avons même eu la chance d’assister à la plantation de deux nouveaux palmiers pendant notre séjour, symboles de croissance et de renouveau.

Nous recommandons vivement cette magnifique demeure à tous ceux qui cherchent un séjour confortable et authentique à Tineghir. Un grand merci à Fahrid pour son accueil exceptionnel, qui a marqué la fin de notre séjour d’une manière inoubliable.

RESTAURANT DE L’HÖTEL TOMBOUCTOU

Nous avons passé un déjeuner mémorable au sein de l’hôtel Tombouctou, un lieu chargé d’histoire et d’authenticité qui nous a immédiatement transportés dans l’univers fascinant des kasbahs. Construit en 1944, à une époque où les conflits entre tribus avaient laissé place à un renforcement nécessaire des habitations, cet édifice, autrefois connu sous le nom de kasbah du Cheikh Bassou, se dresse aujourd’hui comme le parangon de l’architecture de réception et de représentation dans la région. Dès notre arrivée, nous avons été saisis par la solennité des murs en pisé, le jeu subtil d’ombres et de lumières sur la façade, et l’aura de sagesse et de traditions que l’on sent dans chaque pierre.

En déambulant à l’intérieur de l’hôtel, nous avons découvert des espaces soigneusement restaurés qui marient avec élégance le patrimoine historique et des touches d’art contemporain. Les expositions d’art, judicieusement installées dans des salles spacieuses, invitent à la réflexion et à l’émerveillement, révélant des artistes locaux et internationaux qui racontent à leur manière l’âme de ce lieu. Le décor, ponctué d’objets d’époque et de pièces artisanales, nous a rappelé que chaque recoin de cet édifice a une histoire à raconter, qu’il s’agisse d’anciens rituels de réception ou de moments intimes partagés au fil des générations.

Autour de nous, le cadre naturel n’est pas en reste. À travers de larges ouvertures, nous pouvions contempler un paysage où la végétation s’entrelace avec le désert environnant, créant un contraste saisissant entre le robuste édifice en terre et la douceur des plantes endémiques qui ornent les espaces extérieurs. Dans les petits jardins soigneusement aménagés, nous avons pu observer une faune discrète – quelques oiseaux locaux et papillons effleurant les fleurs – qui ajoute une note de vie et de poésie à l’ensemble.

Au fil du repas, nous avons ressenti une profonde connexion avec le passé et le présent, partageant des anecdotes sur les légendes qui entourent l’ancienne kasbah et les transformations qu’elle a connues au fil des décennies. Chaque plat dégusté semblait être un hommage aux traditions culinaires locales, préparé avec soin pour révéler la richesse des épices et des saveurs authentiques qui nous rappellent la diversité culturelle du Maroc. L’atmosphère, empreinte d’un calme presque méditatif, nous invitait à la réflexion, tout en insufflant une énergie discrète qui a animé nos discussions.

En fin de compte, ce déjeuner au sein de l’hôtel Tombouctou fut bien plus qu’un simple repas : il était une véritable immersion dans l’histoire, l’architecture, l’art et la nature. Nous sommes repartis avec le sentiment d’avoir touché une part de l’âme du passé, grâce à un lieu où les traditions et le modernisme cohabitent harmonieusement, et où chaque instant est une invitation à découvrir la beauté et la profondeur d’un héritage qui perdure.

RESTAURANT LA SOURCE DES POISSONS SACRES

Nous avons récemment découvert un lieu enchanteur à Tineghir : le restaurant La Source des Poissons Sacrés. Niché à proximité immédiate de la source éponyme, ce restaurant offre un cadre idyllique où la fraîcheur de l’eau et la verdure environnante créent une atmosphère apaisante. L’accueil chaleureux et la simplicité du patron ajoutent au charme de l’endroit.

Le menu propose des plats traditionnels marocains, simples mais savoureux. Nous avons particulièrement apprécié les tajines de keftas aux œufs et les tajines Galia à base de dinde et d’œuf. Ces plats, accompagnés d’une entrée de salade marocaine, de boissons rafraîchissantes et d’un dessert de fruits de saison, nous ont coûté seulement 350 MAD pour deux personnes, un excellent rapport qualité-prix.

Ce restaurant est non seulement un lieu de restauration, mais aussi une invitation à la détente et à la contemplation, idéal pour une pause gourmande au cœur de la nature.

RESTAURANT ATLAS GORGES DU DADES BOULMANE DU DADES

Nous avons récemment fait une halte au Restaurant Atlas, situé à l’entrée des majestueuses gorges du Dadès à Boumalne du Dadès. Dès notre arrivée, le froid ambiant nous a incités à nous installer à l’intérieur, où l’atmosphère chaleureuse et l’accueil convivial nous ont immédiatement réchauffés.

Le service s’est distingué par sa flexibilité et sa volonté de satisfaire nos préférences culinaires. En effet, le personnel n’a pas hésité à se rendre au souk voisin pour se procurer les ingrédients nécessaires à la préparation de notre repas, démontrant ainsi un engagement remarquable envers la satisfaction des clients.

Le menu proposé était à la fois simple et savoureux. Nous avons dégusté une harira réconfortante, une crème de citrouille au miel et au chèvre, ainsi qu’une omelette moelleuse. Ces entrées ont été suivies de brochettes de poulet grillées accompagnées de frites croustillantes. Le tout, pour un prix raisonnable de 322 MAD pour quatre personnes, témoigne d’un excellent rapport qualité-prix.

Le cadre du restaurant, avec ses murs en pisé et sa décoration traditionnelle, offre une immersion authentique dans la culture locale. La vue sur les paysages environnants ajoute une touche pittoresque à l’expérience culinaire.

En somme, notre passage au Restaurant Atlas a été une expérience agréable, marquée par une cuisine délicieuse, un service attentionné et un cadre charmant. Nous recommandons vivement cet établissement à tous ceux qui souhaitent savourer des plats traditionnels marocains dans une ambiance accueillante au cœur des gorges du Dadès.

ROSA EXPRESS

Nous avons récemment fait une halte au restaurant Rosa Express Lunch, situé à la sortie d’El Kelaa M’gouna, dans la région de Souss-Massa, au Maroc. Ce charmant établissement offre une expérience culinaire authentique, mettant en valeur les saveurs marocaines dans un cadre agréable.

Installés sur une belle terrasse, nous avons apprécié l’atmosphère détendue et la vue sur les environs, tout en étant à proximité des boutiques de parfumerie et de produits à base d’eau de rose, emblématiques de la région. Le menu propose une variété de plats traditionnels, tels que des salades composées, des brochettes de poulet et des tajines de poulet, tous préparés avec soin et servis généreusement. En dessert, les crêpes à la rose et au chocolat ont ajouté une touche sucrée et locale à notre repas.

Le service était chaleureux et attentif, contribuant à rendre notre pause déjeuner des plus agréables. Le rapport qualité-prix est excellent, avec un coût total de 450 MAD pour six personnes, incluant les plats principaux, les desserts et les boissons.

Cette expérience culinaire a été une véritable immersion dans la culture et les traditions marocaines, et nous recommandons vivement Rosa Express Lunch à tous ceux qui visitent El Kelaa M’gouna.

RESTAURANT ATLAS DADES BOUMALNE DU DADES

Après une matinée d’exploration dans la vallée des Roses et les pistes de la vallée d’Ighil M’Gouna, nous avons décidé de faire une pause déjeuner à Boumalne Dadès. Notre choix s’est porté sur le Restaurant Rooftop Atlas Dadès, attirés par sa façade accueillante et sa terrasse offrant une vue imprenable sur les montagnes environnantes. 

À notre arrivée, nous avons été chaleureusement accueillis par le personnel. La carte variée nous a agréablement surpris, notamment par la présence de couscous, un plat traditionnellement servi le vendredi au Maroc. Bastien, ressentant une légère fatigue, a opté pour un sandwich au poulet, tandis que Margot et Nadège ont choisi le couscous. Pour ma part, j’ai savouré un tajine de poulet aux figues.

Le service s’est révélé efficace, et les plats étaient à la hauteur de nos attentes, alliant saveurs authentiques et présentation soignée. L’addition s’est élevée à seulement 235 MAD pour l’ensemble du repas, témoignant d’un excellent rapport qualité-prix.

Le Restaurant Rooftop Atlas Dadès est réputé pour sa cuisine marocaine authentique et son ambiance conviviale. Les clients apprécient particulièrement la qualité des plats et la gentillesse du personnel. La terrasse offre une vue panoramique sur les montagnes, ajoutant une touche pittoresque à l’expérience culinaire. 

En somme, notre déjeuner au Restaurant Rooftop Atlas Dadès a été une expérience des plus agréables, alliant cuisine savoureuse, service attentionné et cadre enchanteur. Nous recommandons vivement cet établissement à tous ceux qui souhaitent découvrir les délices de la cuisine marocaine dans un environnement authentique.

LES LOGEMENTS

MAISON CHEZ FAHRID– TINEGHIR– MAROC

Nichée à une vingtaine de kilomètres de Tineghir, dans un paisible village de montagne, la Maison chez Fahrid nous a offert une parenthèse de sérénité et d’authenticité. Dès notre arrivée, nous avons été séduits par le cadre naturel exceptionnel, avec une vue imprenable sur les paysages environnants.

La propriété, entourée d’un muret, est gardée en permanence par Mohammed, assurant ainsi une sécurité et une tranquillité d’esprit totales. Son accueil chaleureux et sa disponibilité ont grandement contribué à notre confort tout au long du séjour.

La maison elle-même est spacieuse et élégamment décorée, alliant tradition et modernité. Elle comprend trois chambres confortables, deux salles de bains bien aménagées, une cuisine entièrement équipée, un vaste salon et une salle à manger accueillante. Bien que dépourvue de télévision et de connexion Wi-Fi, cette absence a favorisé une déconnexion bénéfique, nous permettant de pleinement apprécier la quiétude des lieux.

À l’extérieur, les aménagements sont en constante évolution, avec notamment la construction en cours d’une piscine, promettant des moments de détente supplémentaires lors de futures visites.

En somme, notre séjour à la Maison chez Fahrid a été une expérience mémorable, marquée par un confort optimal, un cadre enchanteur et un accueil des plus chaleureux. Nous recommandons vivement cette adresse à tous ceux en quête d’authenticité et de tranquillité dans la région de Tinghir.

LIEN VERS L’ANNONCE

RIAD DADES BIRDS– BOUMALNE DU DADES– MAROC

Situé entre Boumalne Dadès et Kelaat M’Gouna, le Riad Dades Birds est un établissement de charme offrant une expérience authentique dans la vallée du Dadès. Ce riad dispose de huit chambres spacieuses, comprenant des chambres doubles et des suites familiales, pouvant accueillir jusqu’à 25 personnes.

L’établissement est réputé pour son patio verdoyant et fleuri, créant une atmosphère paisible et relaxante. Les clients peuvent profiter de repas sur réservation, avec un petit-déjeuner inclus dans le séjour.

De plus, le riad propose des activités telles que la location de vélos, des excursions d’observation des oiseaux et des cours de cuisine marocaine.

Les visiteurs apprécient particulièrement la propreté des lieux, la qualité des équipements et la gentillesse du personnel. Le Riad Dades Birds constitue ainsi une option d’hébergement idéale pour les voyageurs en quête d’authenticité et de confort dans la région du Dadès.

 

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