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Les Lébous constituent une communauté au Sénégal. Traditionnellement pêcheurs mais aussi agriculteurs, ils sont concentrés dans la presqu’île du Cap-Vert (Dakar) qu’ils occupent déjà à l’arrivée des premiers colons dans la région. Ils parlent Wolof depuis les origines et sont désormais majoritairement musulmans tout en conservant des pratiques issues de leur religion traditionnelle.

Selon le recensement de 1988 au Sénégal, les Lébous étaient 56 758, sur une population totale de 6 773 417 habitants, soit 0,8 %. D’après d’autres sources, leur nombre est estimé à 90 000. Ils sont essentiellement présents sur la presqu’île du Cap-Vert, mais on les trouve également sur tout le littoral entre la Petite-Côte et la ville de Saint-Louis.

L’histoire ancienne des Lébous a été un sujet de débat. Selon certains, ils ont migré de l’Égypte ancienne, mais cette théorie est contestée par certains historiens occidentaux. Les Lébous sont généralement classés avec les Wolofs en raison de la culture et de la langue. Ils ont été les porteurs d’origine de la langue wolof. Les Lébous sont organisés en plusieurs lignées matrilinéaires qui remplissent différentes fonctions politico-administratives pour éviter la concentration des pouvoirs entre les mains d’une même famille.

Traditionnellement, les Lébous sont des pêcheurs, bien que certains pratiquent aussi l’agriculture. Ils ont tenté d’obtenir leur indépendance des différentes puissances coloniales qui ont cherché à les dominer. En 1790, ils ont obtenu leur indépendance vis-à-vis du Royaume du Cayor et ont formé une petite république gouvernée par un chef religieux musulman, le Serigne Ndakaru.

Pendant la période coloniale, les Lébous ont réussi à obtenir une forme d’auto-gouvernance et à conserver leurs terres malgré l’influence française. Ils ont été des acteurs importants dans le développement de Dakar, et de nombreux patronymes de grandes familles lébous se retrouvent parmi les fondateurs de la capitale.

Les traditions religieuses et culturelles des Lébous restent vivantes. Ils pratiquent des rituels de guérison pour certaines maladies mentales et célèbrent des cérémonies en hommage aux ancêtres. Ils sont majoritairement musulmans, appartenant souvent à des confréries soufies comme la Layène, mais certains sont également tidjanes ou mourides.

Les Lébous dominent encore l’industrie nationale de la pêche, bien que beaucoup d’entre eux soient devenus propriétaires fonciers en raison de leur présence historique dans la presqu’île du Cap-Vert. Certains pratiquent également l’élevage et l’agriculture.

origines et sont désormais majoritairement musulmans tout en conservant des pratiques issues de leur religion traditionnelle.

Selon le recensement de 1988 au Sénégal, les Lébous étaient 56 758, sur une population totale de 6 773 417 habitants, soit 0,8 %. D’après d’autres sources, leur nombre est estimé à 90 000. Ils sont essentiellement présents sur la presqu’île du Cap-Vert, mais on les trouve également sur tout le littoral entre la Petite-Côte et la ville de Saint-Louis.

L’histoire ancienne des Lébous a été un sujet de débat. Selon certains, ils ont migré de l’Égypte ancienne, mais cette théorie est contestée par certains historiens occidentaux. Les Lébous sont généralement classés avec les Wolofs en raison de la culture et de la langue. Ils ont été les porteurs d’origine de la langue wolof. Les Lébous sont organisés en plusieurs lignées matrilinéaires qui remplissent différentes fonctions politico-administratives pour éviter la concentration des pouvoirs entre les mains d’une même famille.

Traditionnellement, les Lébous sont des pêcheurs, bien que certains pratiquent aussi l’agriculture. Ils ont tenté d’obtenir leur indépendance des différentes puissances coloniales qui ont cherché à les dominer. En 1790, ils ont obtenu leur indépendance vis-à-vis du Royaume du Cayor et ont formé une petite république gouvernée par un chef religieux musulman, le Serigne Ndakaru.

Pendant la période coloniale, les Lébous ont réussi à obtenir une forme d’auto-gouvernance et à conserver leurs terres malgré l’influence française. Ils ont été des acteurs importants dans le développement de Dakar, et de nombreux patronymes de grandes familles lébous se retrouvent parmi les fondateurs de la capitale.

Les traditions religieuses et culturelles des Lébous restent vivantes. Ils pratiquent des rituels de guérison pour certaines maladies mentales et célèbrent des cérémonies en hommage aux ancêtres. Ils sont majoritairement musulmans, appartenant souvent à des confréries soufies comme la Layène, mais certains sont également tidjanes ou mourides.

Les Lébous dominent encore l’industrie nationale de la pêche, bien que beaucoup d’entre eux soient devenus propriétaires fonciers en raison de leur présence historique dans la presqu’île du Cap-Vert. Certains pratiquent également l’élevage et l’agriculture.

LES LIENS VERS LES PHOTOS de DAKAR et de ses environs

J 587 ILE DE GOREE DAKAR SENEGAL

MILAN A BEC JAUNE

J 588 visite de DAKAR SENEGAL

ANNIVERSAIRE D’ENZO – RESTAURANT LA PLAYA DAKAR

J589 LE VILLAGE DES ARTS DAKAR

J589 LE MARCHE SOUMBEDIOUNE

J 590 LE LAC ROSE DAKAR SENEGAL

RESTAURANT BODEGA LAC ROSE

J 591 VILLAGE DE N’GOR DAKAR SENEGAL

LES LEBOUS – UNE ETHNIE DU SENEGAL

J 591 ILE DE N’GOR DAKAR SENEGAL

VIDEO DE L’ETAPE

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La Cuisine Sénégalaise

Toutes les informations, par région sur la gastronomie sénégalaise en suivant ce lien : La Cuisine Sénégalaise

ANNIVERSAIRE D’ENZO – RESTAURANT LA PLAYA DAKAR

RESTAURANT BODEGA LAC ROSE

Voici une excellente adresse qui dispose d’une superbe terrasse avec vue sur le lac. Le service est soigné et le menu à 12000 FCFA est varié et satisfait tous les convives. Les plats sont très bien dressés et sont alléchant s au point qu’il est difficile de faire un choix
EN ENTREE
L’oeuf cocotte en bouillon de papaye est surprenant , sucré à souhait, et coulant mettant en évidence les qualités de la cuisinière. Rappelons que la Papaye, grâce à son effet protéolytique permet de réduire la cellulite.
Les Rillettes de canard sur toast grillé, peu grasses et très gouteuses
Le fromage de chèvre du Lac est une véritable délice, fondant en bouche et d’une onctuosité remarquable.
Espadon fumé : excellent servi avec une salade bien assaisonnée, un régal
EN PLAT
La papillote de Sole en feuille de bananier est une véritable merveille culinaire qui marie à la fois santé, saveur et originalité.
Parmentier de canard sauce mangue : une adaptation du yassa sauce mangue au canard , pour un résultat des plus divins
Le poulet laqué au miel de Casamance est une véritable délectation pour les papilles, mariant harmonieusement les saveurs sucrées et salées dans un festin gastronomique inoubliable

RESTAURANT LA CABANE DU PECHEUR

Voici à nouveau une adresse exceptionnelle, les pieds dans le sable blanc de N’Gor ! Dès notre arrivée, nous avons été accueillis par une équipe chaleureuse et professionnelle, et avons été immédiatement séduit par l’ambiance conviviale qui régnait. La carte des boissons était complète, proposant une large sélection, tandis que l’ardoise sur pieds présentait les spécialités du jour de manière très alléchante.
En entrée, Margot a opté pour le carpaccio de carangue, et je dois dire qu’il était excellent. La carangue se déguste aussi bien crue en ceviche que cuite, grillée au four, à la poêle ou à la plancha. Ensuite, j’ai eu le plaisir avec Nadège de déguster les huitres de la Somone, une création ingénieuse de Norbert, un ostréiculteur breton. Ces huitres sont élevées près d’une lagune, au milieu de palétuviers luxuriants, dans une eau douce provenant des sous-sols. L’odeur iodée de l’océan, à quelques pas de là, se mêle à l’atmosphère paisible de la lagune, créant une expérience sensorielle unique.
Pour le plat principal, Margot a choisi les ravioles mozza pesto, Nadège les tagliatelles maison aux praires de chez Norbert, et Bastien du filet de zébu et pour moi de la carpe rouge à la plancha, qui en réalité était une variété de lutjan. Chaque plat était préparé avec soin et présentait des saveurs délicieusement équilibrées accompagnée de riz, frites ou encore alloco
L’alloco, c’est tout simplement des frites de plantains mûrs coupés en petits carrés. Les plantains peuvent être légèrement assaisonnés de sel avant la friture, et parfois ils sont frits avec de l’huile de palme ou de l’huile raffinée
L’ensemble de l’expérience était tout simplement magique, avec le bruit apaisant des vagues en toile de fond. C’était une véritable escapade culinaire, et je recommande vivement cette adresse à tous les amateurs de bonne cuisine et de cadre enchanteur.

LES LOGEMENTS

 

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