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Le Lac Ossa Région Littorale Cameroun +

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Départ de Douala : cap vers Edéa et lac Ossa

Nous quittons Douala ce matin, soulagés de retrouver un rythme plus serein pour notre quatrième étape camerounaise : Édéa et le lac Ossa. Après la richesse culturelle des chefferies de Bafoussam et Foumban, suivie par la beauté naturelle de Limbe, sa baie splendide et son sanctuaire de primates bien entretenu, Douala nous a laissés sur une impression plus contrastée.

Si l’on devait résumer notre passage à Douala, ce serait par une forme de fatigue urbaine : la circulation chaotique, la chaleur lourde et humide, la densité humaine, et surtout, un problème criant de propreté. Des tas de déchets jonchent les rues à presque chaque coin, y compris dans les quartiers centraux et commerçants. C’est, sans doute, la capitale la plus sale que nous ayons traversée depuis le début de notre périple, ce qui provoque un certain désenchantement.

EDEA

Mais il serait injuste de ne pas reconnaître quelques points positifs. Douala, la nuit, change de visage. L’ambiance se détend, les terrasses s’animent, la musique fuse. Nous gardons un bon souvenir de notre soirée au SAGA Africa, où les rythmes afro-caribéens côtoient les grillades savoureuses. Et dans le quartier moderne, plus structuré, le Wandafull Terrasse nous a charmés avec ses plats bien exécutés et son service soigné. Ces instants ont apporté un peu de répit dans le tumulte de la ville.

Nous voici donc en route vers Édéa, avec l’enthousiasme d’un nouveau chapitre. Cette étape nous attire d’abord pour l’île aux chimpanzés, un site unique géré par l’association Papaye, d’origine française. Nous avons préparé notre venue avec soin, apportant des médicaments, pansements et bandages, utiles tant pour les animaux que pour les populations locales, qui bénéficient elles aussi du soutien de cette structure. Nous nous réjouissons particulièrement de pouvoir nourrir les chimpanzés et de passer un moment fort en émotion au contact de ces primates réhabilités.

EDEA

Pour le reste du séjour à Édéa, tout reste à découvrir. Le Parc National de Douala-Édéa promet des rencontres avec la faune sauvage : singes, crocodiles, oiseaux, voire éléphants ou lamantins. Mais la réalité de terrain est tout autre. Il semble extrêmement difficile de trouver une excursion sérieuse. Les agences locales n’offrent que des balades en pirogue, souvent à des tarifs inabordables pour les voyageurs indépendants, 120 000 FCFA pour une sortie, soit près de quatre fois le prix constaté dans les pays d’Afrique de l’Ouest. De plus, ces excursions sont rarement accompagnées d’explications ou de guides formés à la faune locale, ce qui questionne leur valeur ajoutée.

Même constat pour le lac Osso, réputé pour abriter des lamantins, animaux mystérieux et rares. Là encore, les excursions sont difficiles à organiser et les prix, décourageants, surtout sans garantie d’observation. Nous misons donc sur une alternative plus directe : trouver des piroguiers locaux, sur place, pour négocier une sortie simple, hors des circuits touristiques classiques, et éviter ainsi les frais de guidage excessifs. Cela permettrait non seulement de faire une expérience plus authentique, mais aussi de contribuer directement à l’économie locale.

Nous avançons donc vers Édéa avec un mélange d’espoir et de prudence, en quête de rencontres sincères, d’une nature généreuse, et surtout, de liens humains qui donnent tout son sens à ce voyage

LE LAC OSSA ET SES LAMENTINS

Depuis Édéa, nous avons décidé de partir pour une escapade inoubliable : la découverte du lac Ossa et de ses célèbres lamantins. Situé dans le département de la Sanaga-Maritime, dans la région du Littoral du Cameroun, à une trentaine de kilomètres à l’ouest d’Édéa, ce lac est un véritable joyau naturel, encore épargné par le tourisme de masse. D’une superficie d’environ 45 km² et situé à seulement 8 mètres d’altitude, il est alimenté par la rivière Sanaga et parsemé de nombreuses îles. Avec une profondeur maximale de 10 mètres, le lac Ossa constitue un écosystème unique, d’une grande richesse écologique. C’est exactement ce que nous cherchions : une immersion authentique dans la beauté sauvage de la région.

FLEUVE SANAGA

Le tourisme étant encore peu développé autour du lac, nous avons pris la précaution de nous rendre sur place la veille pour organiser notre excursion du lendemain, dédiée à l’observation des lamantins.

Nous avons quitté Édéa tôt le matin, impatients de découvrir ce lieu hors du temps. La route vers le lac Ossa est une aventure en soi : elle serpente à travers une nature luxuriante, des villages animés et longe parfois le majestueux fleuve Sanaga. À chaque tournant, la beauté des paysages nous émerveille. Des enfants nous saluent, des marchands proposent des fruits locaux, et chaque scène de vie quotidienne nous plonge dans l’authenticité camerounaise. Malgré quelques secousses sur la piste, le trajet était déjà une expérience riche, ponctuée de vues imprenables sur le fleuve et ses îlots.

Après avoir traversé Beach Dizangué et passé un poste de contrôle, la route bifurque vers la droite et nous mène à une fourche. À gauche, le chemin conduit au Club Ossa. Perché sur une hauteur, le bâtiment domine le lac tel un belvédère suspendu au-dessus des eaux. Sur sa gauche, un sentier étroit descend vers une petite plage de sable fin, bordée de galets polis et d’herbiers translucides. Nous avons emprunté ce sentier, tapissé de feuilles mortes et de mousses humides, jusqu’à ce que la végétation s’ouvre sur un coin de paradis où seul le clapotis de l’eau rompt le silence.

LE LAC OSSA

C’est d’ici que partent les grandes pirogues, sur réservation. Des chants d’oiseaux tropicaux et une légère brise accompagnent le bruissement des feuilles de bananier.

Nous rebroussons ensuite chemin à la recherche des bureaux de l’AMMCO, l’organisation en charge des sorties sur le lac. À droite de la bifurcation précédente se trouve le village de Dizangué Beach, paisible et un peu hors du temps, où sont installés leurs bureaux.

Un second sentier, à peine visible, s’enfonce dans la végétation luxuriante. Il commence derrière une case aux volets colorés et descend doucement vers le lac, offrant ici et là de superbes échappées sur l’eau entre les troncs. À travers les palmiers et les lianes, le chemin dévoile aussi quelques petits bancs de terre battue où les habitants viennent se poser pour rêver.

En bas, sur la berge, plusieurs pirogues reposent, certaines partiellement immergées par la montée des eaux en saison des pluies. Des pêcheurs s’affairent, concentrés, à réparer leurs filets ou à ajuster leurs rames. Nous apprenons qu’ils ne sont pas autorisés à transporter des touristes : seules les embarcations du Club Ossa, certifiées, peuvent encadrer l’observation des lamantins, garantissant sécurité et respect de la faune. Cette précision renforce notre impression d’un lieu authentique, habité toute l’année par des hommes profondément liés à leur environnement.

À notre arrivée au lac Ossa, nous avons été immédiatement saisis par la sérénité des lieux. Entouré d’une végétation dense, ce vaste lac d’eau douce s’étend à perte de vue. Ses eaux calmes reflètent le ciel, créant un tableau d’une beauté saisissante. Nous avons pris le temps de respirer, d’écouter les oiseaux, et de simplement admirer la nature. Ici, le temps semble suspendu, loin de l’agitation du monde.

BUREAUX DE L’AMMCO

Nous regagnons ensuite les bureaux de l’AMMCO, où Annick nous accueille chaleureusement au +237 91 96 18 18. Elle organise notre excursion pour le lendemain : une sortie de 3 heures sur le lac, avec pirogue, écoguide et droits d’entrée (82 000 FCFA pour nous quatre). Elle nous confirme qu’en partant très tôt, les chances d’apercevoir des lamantins sont élevées. Nous convenons donc d’être présents avant 7h.

Ce qui rend ce lac vraiment unique, ce sont ses habitants mystérieux : les lamantins. Ces paisibles « vaches marines » vivent ici en toute tranquillité. Le lac Ossa est l’un des rares endroits au Cameroun où l’on peut encore les observer. À bord d’une pirogue traditionnelle, guidés par un écoguide local, nous partons à leur recherche. Après quelques minutes de navigation silencieuse, la magie opère : des silhouettes massives glissent lentement sous la surface. Un moment suspendu, presque irréel. Ces animaux majestueux et vulnérables nous rappellent combien la nature est précieuse et mérite d’être protégée.

La Balalde en Pirogue

Nous avions réservé hier auprès de l’AMMCO notre sortie en pirogue, réglé la pirogue, l’écoguide et les droits d’entrée pour être sur l’eau dès 7 heures, l’heure idéale pour tomber nez à nez avec les lamantins dans la quiétude de l’aube. Hélas, la météo en a décidé autrement : les orages ont éclaté dès la tombée de la nuit et n’ont cessé de gronder jusque tard ce matin. À 8 heures, la pluie diluvienne n’a pas faibli, et les prévisions annoncent encore des averses continues pour le reste de la matinée.

Dans ces conditions, nous n’avons d’autre choix que de renoncer à notre expédition : la vase des pistes, déjà détrempée par près de 30 mm de précipitations, deviendrait impraticable, et prendre la pirogue risquerait de compromettre non seulement la qualité de l’observation, mais aussi notre sécurité.

Plutôt que de nous démoraliser, nous échangeons des regards complices : ce contretemps météorologique fait désormais partie de notre aventure.

Nous n’avons pas la possibilité de reprogrammer notre sortie en pirogue, mais ce contretemps nous a offert un répit inattendu pour reprendre notre souffle. Nous restons confiants et tournons déjà nos regards vers demain, où l’association Papaye nous ouvre les portes de sa réserve pour une rencontre avec les chimpanzés. L’idée de retrouver ces primates dans leur habitat, de partager un instant leur curiosité et leur malice, nous enthousiasme au plus haut point.

Le soleil, enfin annoncé, promet de sécher les pistes et de baigner la forêt d’une lumière dorée : le décor idéal pour observer les chimpanzés évoluer, grimper, jouer entre les branches. Nous imaginons déjà les cris lointains, les bonds agiles et ces regards complices qui, nous l’espérons, croiseront les nôtres. Demain, nous partirons aux aurores, sac à dos chargé d’eau fraîche et d’un peu de grignotage, impatients de vivre cette nouvelle page de notre aventure camerounaise.

SANCTUAIRE DE L’ÎLE AUX CHIMPANZÉS (L’ÎLE AUX SINGES)

Le lendemain, nous partons tôt le matin pour une nouvelle aventure : la découverte du sanctuaire de l’Île aux Chimpanzés, également connu sous le nom de l’Île aux Singes. Situé sur le fleuve Sanaga, près d’Édéa, ce sanctuaire est un refuge pour les chimpanzés sauvés du braconnage et du trafic illégal. Géré par l’association Papaye France, ce lieu unique offre une seconde chance à ces primates fascinants, tout en sensibilisant le public à leur protection. Une belle réserve sur une île pour aller rendre visite aux primates du pays (et rapporter de bons fruits). Il est recommandé de passer par l’association Papaye France pour organiser votre excursion. Cela facilitera votre visite. À faire absolument !

FAUNE ET FLORE du lac Ossa et de Marienberg

ASSOCIATION PAPAYE – MARIENBERG EDEA – REGION LITTORAL CAMEROUN
ASSOCIATION PAPAYE – MARIENBERG EDEA – REGION LITTORAL CAMEROUN

VIDEOS sur  le Lac Ossa et Marienberg

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La Cuisine à Edéa autour du Lac Ossa et de Marienberg

Voici quelques restaurants à Édéa, Cameroun, où vous pourrez savourer des plats locaux et internationaux :

Hostellerie de la Sanaga :

De retour du lac Ossa, où nous avons pu réserver pour le lendemain une balade en pirogue à la découverte des lamantins, nous faisons une halte bien méritée pour le déjeuner au Restaurant-Hôtel de la Sanaga. L’établissement, niché en bord de rivière, offre une terrasse agréable et ombragée, aménagée avec soin : les tables sont dressées avec nappes blanches impeccables et verres à pied, ce qui confère à l’endroit un charme à la fois simple et raffiné.

En toile de fond, le cours paisible de la Sanaga s’étire sous la lumière du midi, apportant une touche de fraîcheur bienvenue. La carte est étonnamment variée et alléchante : on y trouve notamment de l’antilope en sauce épicée, mijotée dans une base tomatée aux parfums subtils, servie avec du riz blanc ou des légumes sautés. Un vrai régal pour les amateurs de plats locaux généreux et bien épicés.

ANTILOPE AUX EPICES

Margot et Bastien, quant à eux, se laissent tenter par des nems croustillants, parfaitement dorés, accompagnés d’une salade verte croquante qui apporte une belle fraîcheur en bouche. L’ensemble est simple, bien présenté, et savoureux.

En prévision du dîner, nous passons aussi commande de quelques pizzas à emporter. À la résidence Mado, il faut faire preuve d’anticipation : les coupures d’électricité ou d’eau sont malheureusement fréquentes et compliquent parfois l’organisation des repas. Prévoir à l’avance devient donc une petite stratégie de survie culinaire… mais dans ce cadre enchanteur, cela fait partie du charme de l’aventure.

SAUTE DE TRIPES

Déçus de ne pas pouvoir partir à la rencontre des lamantins du lac Ossa à cause des pluies diluviennes, nous avons pris notre mal en patience, installés au sec dans notre logement, en espérant une éclaircie. Vers 13h, le ciel commence enfin à se dégager, timidement d’abord, puis les rayons du soleil percent les nuages. L’occasion rêvée pour retourner, comme la veille, au restaurant de l’hostellerie de la Sanaga à Édéa.

L’accueil y est toujours aussi agréable, et la terrasse, baignée d’une lumière douce, nous invite à profiter pleinement de ce moment de répit. Bastien et Margot ouvrent le bal avec une ratatouille maison surmontée d’un œuf poché : une entrée simple mais savoureuse. Vient ensuite un plat que l’on n’aurait pas imaginé pour Bastien il y a encore peu : des crevettes à l’ail ! Et oui, il les adore désormais ! Nad choisit un bar entier, parfaitement grillé, accompagné de légumes poêlés croquants. Pour ma part, je me régale avec une poêlée de tripes aux petits oignons, servie avec de tendres pommes vapeur. Une vraie cuisine de caractère, authentique et généreuse.

Encore une fois, une très belle expérience dans cette adresse que nous ne pouvons que recommander chaleureusement. Une parenthèse gourmande idéale, en attendant de visiter demain les chimpanzés sous un ciel plus clément.

LES SUPERMARCHES ET HYPERMARCHES à Edéa

À Édéa, Cameroun, vous pouvez trouver plusieurs supermarchés et épiceries pour vos besoins quotidiens. Voici quelques options :

  1. Supermarché Santa Lucia : Une chaîne bien connue au Cameroun, offrant une variété de produits alimentaires et ménagers.
  2. Supermarché Mahima : Une autre enseigne populaire pour des produits locaux et importés.
  3. Marché Central d’Édéa : Bien qu’il ne s’agisse pas d’un supermarché, ce marché est idéal pour acheter des produits frais et locaux.

Ces lieux sont parfaits pour vos courses, que ce soit pour des produits alimentaires ou des articles ménagers.

DAB BANQUES A Edéa

À Édéa, Cameroun, vous pouvez trouver des distributeurs automatiques de billets (DAB) dans plusieurs banques locales. Voici quelques options courantes :

  1. Ecobank Édéa : Une banque bien implantée avec des DAB accessibles pour les retraits.
  2. UBA (United Bank for Africa) : Propose des distributeurs automatiques fiables dans la région.
  3. BICEC Édéa : Une autre option populaire pour accéder à des services bancaires et des retraits.
  4. SCB Cameroun : Dispose également de DAB pour vos besoins financiers.

Ces banques sont bien réparties dans la ville pour répondre à vos besoins.

LES LOGEMENTS à Edéa

 RESIDENCE MADO

Nous avons débarqué à la Résidence Mado le sourire aux lèvres, ravis de laisser derrière nous l’incertitude de notre précédente réservation  à Likarloc qui nous obligeait à payer en dehors de Booking sous peine de l’annuler deux jours avant notre arrivée ; l’accueil chaleureux et prévenant du personnel nous a immédiatement mis en confiance. En franchissant la porte, nous nous sommes projetés dans un séjour paisible : un parking privé gratuit, des promesses de climatisation et une kitchenette pour préparer nos petits plats du soir, tout cela nous semblait déjà doux comme une promesse de séjour réussies.

 

Pourtant, très vite, la réalité nous a rattrapés : notre enthousiasme n’a pas suffi à faire apparaître le Wi‑Fi promis, indispensable pour les devoirs des enfants et la rédaction de nos carnets de voyage. Nous avons dû patienter en souriant, non sans une pointe d’amusement, pour voir arriver nos couverts manquants et comprendre, avec un haussement d’épaules complice, qu’il n’y avait ni machine à laver, ni eau chaude… Les douches fraîches, sous les températures élevées, font partie de l’aventure, n’est‑ce pas ?

Les lits doubles, fermes comme il se doit dans les récits de grand‑mère, étaient même enveloppés dans un drap en plastique surprenant, qui, loin de gâcher notre bonne humeur, nous a offert une occasion de rire. quand bien même  si les matins sont douloureux… Quant aux fenêtres, élégamment dotées de larges interstices, elles nous ont offert un spectacle nocturne digne d’un festival de moustiques : un petit rituel piquant, rendu supportable par notre détermination à rester positifs et grâce à l’efficacité meme partielle des cremes anti-moustiques achetées la veille en pharmacie

Chaque matin, nous nous sommes surpris à chercher la moindre trace de la connexion internet, pour finalement acheter une carte SIM locale et prolonger, malgré tout, nos échanges avec le monde extérieur. Nous avons préparé notre café en kitchenette, célébrant chaque tasse comme une victoire sur l’adversité technique, commandé des pizzas à emporter pour éviter de succomber à la chaleur étouffante de la cuisine non ventilée, tandis que la résidence, bien qu’imparfaite, nous abritait avec une bienveillance tangible appréciable lorsque les orages quotidiens à cette période résonnént fortement à l’extérieur.

Pour 156 000 FCFA les quatre nuits, nous aurions espéré une parfaite correspondance entre l’annonce et la réalité ; en toute honnêteté, la note est sévère. Néanmoins, ce petit décalage fait désormais partie des souvenirs de notre voyage, agrémentant nos récits de famille et pimentant nos anecdotes.

Si nous devions attribuer une étoile à chacun de nos critères, notre évaluation serait sans pitié : deux étoiles au confort, une étoile à l’équipement et zéro pour la connexion. Mais nous partirons de la Résidence Mado avec le cœur léger, convaincus que même les imprévus les plus piquants peuvent devenir, une fois racontés, les plus belles pages d’une aventure partagée.

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