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Avila – CASTILLE & LEON – ESPAGNE

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Les remparts d’Avila sont indéniablement le symbole emblématique de la ville. Imposants et majestueux, ils se dressent fièrement, offrant à Avila le statut de l’une des cités fortifiées les mieux préservées en Europe. Leur vue est saisissante même de loin, témoignant de la grandeur et de la robustesse de cette ancienne forteresse médiévale.

Parmi les meilleurs points d’observation pour contempler les remparts et la ville au-delà, le Belvédère des Cuatro Postes se distingue. Ce monument se compose de quatre colonnes de style dorique, formant un belvédère unique surplombant la ville fortifiée. Les colonnes monolithiques sont reliées par une architrave portant les armoiries de la ville et une croix de granit au centre, ajoutant à son allure majestueuse.

Construit en 1566, le belvédère a une histoire fascinante. Certains historiens suggèrent qu’il pourrait avoir été érigé sur le site d’un ancien temple romain, tandis que d’autres pensent qu’il commémore un événement lié à Teresa de Jesús, une figure religieuse importante de la région. Quelle que soit son origine exacte, le belvédère offre une vue incomparable sur la ville fortifiée.

Particulièrement spectaculaire au coucher du soleil, le belvédère permet d’admirer les derniers rayons de lumière alors que le jour laisse place à la nuit. L’éclairage artificiel qui met en valeur les remparts ajoute une touche de magie à cette vue déjà remarquable. C’est un endroit où l’histoire et la beauté naturelle se rejoignent pour offrir une expérience inoubliable aux visiteurs.

 

LIENS VERS TOUTES LES PHOTOS ET PODCASTS SUR Avila

J 340 AVILA CASTILLE & LEON ESPAGNE

PODCAST AVILA

CARTE TOURISTIQUE

Classée au patrimoine mondial de l’humanité, Avila dévoile ses trésors avec ses rues pavées, ses vestiges médiévaux et ses églises empreintes d’histoire. Mais au-delà de ses merveilles architecturales, c’est l’atmosphère sereine et paisible qui enveloppe la ville, invitant à la contemplation et à la découverte.

Parmi les figures emblématiques qui ont marqué Avila, Sainte Thérèse se distingue par sa présence spirituelle omniprésente. Des sculptures à son effigie aux délices sucrés traditionnels comme les yemas de Santa Teresa, son influence se fait sentir à chaque coin de rue.

Il est donc naturel de débuter la visite par le monastère de la Encarnation et son musée dédié à Sainte Thérèse. Cette étape permet d’approfondir la connaissance de son histoire, de ses enseignements et de son héritage spirituel, offrant ainsi un éclairage précieux sur l’âme de la ville d’Avila.

MONASTERE DE LA ENCARNATION D’Avila

Le monastère des Carmélites déchaussées d’Avila, connu sous le nom de Monastère de la Encarnación, a été érigé à l’intérieur des remparts de la ville en 1478. Plus tard, au début du XVIe siècle, il a été déplacé à l’extérieur des murs, ouvrant ses portes en 1515, sur un terrain précédemment occupé par un cimetière juif.

Ce monastère présente une structure imposante, avec quatre nefs entourant une cour centrale et un cloître à deux niveaux. En 1717, la pièce où Thérèse de Jésus résidait est devenue un oratoire, tandis qu’une chapelle remarquable, la « Chapelle de La Transverberación », a été érigée à cet emplacement. Cette chapelle se distingue par ses quatre arcs principaux et son dôme hémisphérique. Au XVIIIe siècle, l’intérieur de l’église originelle a été remodelé dans un style baroque, tandis qu’un imposant clocher a été ajouté en 1715, se dressant fièrement sur le flanc sud du monastère.

L’intérieur de l’église d’origine a été transformé au XVIIIe siècle pour adopter le style baroque. La structure de l’édifice suit un plan en croix latine, avec une seule nef couverte par une voûte en berceau et surmontée d’une coupole ornée de coquilles Saint-Jacques et d’un lanternon. Les autels et retables présentent également des éléments caractéristiques du baroque. Quant au grand clocher, il a été érigé en 1715 et se dresse fièrement sur le flanc sud du monastère.

Ce monastère revêt une importance capitale dans la vie de Thérèse d’Avila, qui y a résidé presque continuellement entre 1535 et 1574. À son entrée dans l’Ordre des Carmélites, Thérèse de Cepeda a choisi ce couvent, alors très populaire. Son séjour à La Encarnación a été marqué par des conseils avisés de figures spirituelles telles que Francisco de Borja, Juan de la Cruz et Pedro de Alcántara. De plus, le monastère a été un lieu de préparation pour la Réforme de l’Ordre des Carmélites.

En outre, le couvent abrite le musée de Sainte Thérèse, où l’on peut admirer des trésors tels qu’un dessin du Christ en croix réalisé par saint Jean de la Croix.

Reconnu comme monument national en 1983, le monastère de la Encarnación témoigne de la riche histoire religieuse et culturelle de la ville d’Avila.

En exclusivité, les photos intérieures

QUI EST THERESE DE JESUS ?

Je vis sans vivre en moi et je cherche une vie tellement exaltée que je meurs parce que je ne suis pas mort. .

Thérèse de Jésus, également connue sous le nom de Sainte Thérèse d’Avila, est une figure emblématique de la mystique chrétienne et de la littérature espagnole. Née Teresa de Cepeda y Ahumada dans une famille aisée, elle a vécu au XVIe siècle à Avila, en Espagne. Sa vie est marquée par une profonde dévotion religieuse ainsi que par une passion pour la littérature.

Dès son enfance, Thérèse montre un intérêt précoce pour la spiritualité et la vie religieuse. Elle aspire à consacrer sa vie à Dieu et entre dans un couvent carmélite à l’âge de 20 ans. Au fil des années, elle développe une relation mystique intense avec Dieu, caractérisée par des expériences de prière profonde et des visions mystiques.

Thérèse est également une écrivaine prolifique. Ses œuvres, telles que « Le Chemin de la perfection » et « Le Château intérieur », sont des chefs-d’œuvre de la littérature mystique espagnole. Elle y explore les aspects de la vie spirituelle, la prière, et la relation entre l’âme et Dieu.

En plus de ses réalisations spirituelles et littéraires, Thérèse joue un rôle important dans la réforme de l’Ordre du Carmel, promouvant un retour à une vie religieuse plus austère et contemplative. Elle fonde plusieurs couvents de Carmélites déchaussées et devient une figure de premier plan dans l’histoire de l’Église catholique.

Thérèse de Jésus est reconnue comme l’une des grandes saintes de l’Église catholique, et elle est vénérée pour sa sainteté, sa sagesse et son influence durable dans le domaine de la spiritualité chrétienne.

Thérèse de Jésus a fait face à de nombreux défis tout au long de sa vie, mais sa détermination et sa foi inébranlable l’ont conduite à réaliser des réalisations remarquables dans le domaine de la spiritualité et de la réforme religieuse.

Après avoir rejoint le couvent de La Encarnación malgré l’opposition de son père, Thérèse a rapidement réalisé que la vie monastique n’était pas exactement ce à quoi elle s’attendait. Cependant, au lieu d’abandonner, elle a choisi de poursuivre sa vocation avec encore plus de détermination. Son désir de fonder un couvent conforme aux préceptes de l’ascétisme et de la contemplation l’a conduite à établir le couvent de San José en 1562.

Malgré l’opposition qu’elle a rencontrée, Thérèse a continué à propager ses idéaux de réforme au sein de l’Ordre du Carmel. Avec le soutien de figures influentes comme Jean de la Croix, elle a réussi à étendre son influence à travers la péninsule ibérique, malgré les défis posés par la richesse et le pouvoir politique de l’Église.

Les dernières années de la vie de Thérèse ont été marquées par un incessant travail missionnaire et la fondation de nombreux couvents et monastères. Malgré ses voyages incessants, Avila est restée son lieu de prédilection, où elle a écrit certaines de ses œuvres les plus importantes. Ses écrits, caractérisés par leur originalité et leur spontanéité, ont marqué la poésie religieuse de l’époque et continuent d’être étudiés et appréciés pour leur profondeur spirituelle.

 

LES MURS DE LA VILLE

Les remparts d’Avila, d’une longueur impressionnante de 1700 mètres, remontent à l’époque médiévale. Leur fonction première était de contrôler les entrées de marchandises et de nourriture, mais aussi de protéger la ville des épidémies et des attaques ennemies.

Ces murs massifs suivent un tracé rectangulaire irrégulier, renforcé par des tours de guet et des créneaux. Parmi les neuf portes d’accès à la ville, celle de l’Alcazar se distingue par sa grandeur et son histoire. Déclarée monument national en 1884, elle témoigne de la richesse historique de la ville.

De là-haut, on peut admirer une vue imprenable sur la cathédrale, le Mercado Grande et les environs de la ville. La cathédrale d’Avila, considérée comme la première cathédrale gothique d’Espagne, est étroitement liée aux remparts, témoignant de leur double fonction de protection et de spiritualité.

Bien que des traces archéologiques laissent penser à une origine antique remontant au Ve siècle, les remparts actuels datent principalement du Moyen Âge. Avec leurs 87 tourelles, 9 portes principales, 2 portes secondaires et 2500 créneaux, ils constituent l’exemple le mieux préservé de fortification de ce type dans le monde.

Les palais érigés à l’intérieur des remparts constituaient une deuxième ligne de défense, conçue pour repousser les révoltes populaires ou les attaques ennemies dirigées contre la ville.

Quant à leur origine, les avis divergent. Certains historiens avancent qu’ils ont été construits à la fin du XIe siècle, tandis que d’autres estiment que la plupart des travaux ont eu lieu entre la seconde moitié du XIIe siècle et le début du XIIIe siècle, en parallèle avec les autres ouvrages militaires voisins.

Érigés sur des fondations rocheuses, ces murs se dressent comme une imposante fortification en granit, remplie de pierres et de mortier. Leur forme irrégulière rappelle presque un rectangle, s’étendant longitudinalement d’est en ouest. Leur construction a débuté du côté le plus exposé, à l’est, dépourvu d’éléments naturels de défense, ce qui en fait la partie la plus solide et la plus imposante des remparts. D’une épaisseur de 3 mètres et d’une hauteur de 12 mètres, ces murs comportent une tourelle semi-circulaire tous les 20 mètres, s’élevant à 8 mètres au-dessus du niveau des murs. Ce côté est également doté des portes les plus imposantes et les plus solides.

Les portes situées du côté nord et ouest sont moins grandioses, et les tourelles présentent des traces du style mudéjar dans leur maçonnerie. En revanche, le côté sud donne l’impression d’être moins bien défendu, avec des tours semi-cylindriques plus petites et plus éloignées les unes des autres, ce qui confère une sensation de robustesse moindre.

Le côté est abonde en matériaux romains réutilisés, tels que des stèles, des pierres d’autel, des urnes, des corniches, des statues et des colonnes d’animaux. Ces vestiges proviendraient du démantèlement d’une ancienne nécropole romaine qui se trouvait autrefois dans la région.

Au XVIe siècle, les remparts étaient encore utilisés pour des fonctions de contrôle économique et de sécurité sanitaire. Des réformes furent entreprises pour restaurer les murs. Cependant, avec la disparition du danger de guerre, il fut décidé de supprimer certains éléments de défense additionnels, tels que les barbacanes et les douves, devenus inefficaces contre les nouvelles machines militaires.

Les travaux de réparation et de restauration avant leur désignation comme monument national le 24 mars 1884 étaient sporadiques. Toutefois, deux événements majeurs ont incité à réutiliser les remparts à des fins défensives : l’occupation française (1809-1812) et les guerres carlistes (1836-1840).

Les travaux ultérieurs, supervisés par l’État, se sont concentrés sur la maintenance, la restauration et la préservation artistique des remparts en tant que patrimoine national, afin de les préserver comme l’un des sites les plus emblématiques de la ville.

À la fin du XIXe siècle, certains intellectuels prônaient la démolition des remparts, à l’instar de ce qui se passait dans d’autres villes européennes, les considérant comme un obstacle au développement urbain. Cependant, l’opposition de la municipalité et le manque de financement pour les travaux de démolition ont empêché la mise en œuvre de ces idées.

En 1982, la vieille ville a été désignée site d’intérêt culturel dans la catégorie des sites historiques par décret royal espagnol 3940/1982. Elle a ensuite été inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO en 1985.

Une grande partie des remparts est accessible aux visiteurs, notamment des endroits tels que la Maison de Las Carnicerías, la Porte d’El Alcázar et la Porte d’El Puente. Des audioguides sont disponibles en sept langues, avec une version spéciale pour les enfants, permettant à tous de découvrir l’histoire de ces remarquables fortifications.

BASILIQUE SAINT-VINCENT

La basilique Saint-Vincent, située à l’extérieur des murs médiévaux, marque l’endroit où trois martyrs chrétiens ont été martyrisés et enterrés au début du IVe siècle : Vicente, Sabina et Cristeta. C’est le monument roman le plus important d’Avila et de l’art roman espagnol.

La basilique présente un plan en croix latine avec trois nefs à six travées et un transept. Elle possède également une claire-voie gothique sur les nefs latérales. L’extrémité supérieure étroite, comprenant trois absides, repose sur une crypte funéraire liturgique.

Sa construction a débuté vers 1120 avec l’édification du corps principal jusqu’à l’entrée ouest.

Les tours et le narthex de l’entrée ont été ajoutés entre 1150 et 1170, tandis que les nefs latérales ont été fermées par des voûtes en berceau surbaissées.

Une voûte d’ogives de style gothique a été ajoutée au-dessus de la nef centrale. L’abside a été couverte d’une voûte octogonale au milieu du XIIIe siècle.

Les chapiteaux étagés de la chapelle principale, le cénotaphe des saints (par Fruchel et datant du milieu du XIIe siècle), illustrant l’arrestation, la condamnation et le martyre des saints Vincent, Sabina et Cristeta, ainsi que le porche ouest et la corniche sud, se distinguent comme les meilleurs exemples de sculpture romane dans l’église et dans la ville.

La galerie à arcades a été ajoutée sur la façade sud au XVe siècle.

San Vicente a été le premier bâtiment espagnol à être restauré dans un style historiciste, avec des œuvres de Hernández Callejo, Vicente Miranda et, surtout, Repullés y Vargas, entre le milieu du XIXe siècle et le premier quart du XXe siècle.

La crypte abrite une statue de la Madone de la Soterraña, datant du XVe siècle, vénérée par sainte Thérèse de Jésus.

Il a été désigné monument national en 1923.

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CATHEDRALE D’Avila

La cathédrale d’Avila, à la fois église et forteresse, présente une abside encastrée dans les murs, localement connue sous le nom de cimorro, qui est la tourelle la plus imposante du mur est.

Considérée comme la première cathédrale gothique d’Espagne, elle s’élève sur les vestiges d’un édifice original consacré au Salvador. En 1172, Alphonse VIII décide d’agrandir le bâtiment d’origine et confie le projet au maître d’œuvre français Fruchel. Ce dernier reçoit l’ordre de commencer la consolidation de l’édifice actuel dans un style romano-gothique de transition, et participe à la construction de l’abside en granit de Caleno (ou cimorro), du déambulatoire (qui a conservé les fenêtres romanes d’origine), du premier corps de la transept et des fondations des murs en granit de Caleno.

Après sa mort, une deuxième phase de construction apporte de nouveaux matériaux et l’utilisation de pierres de taille en granit ; le projet se poursuit dans un style gothique.

L’édifice présente un style bourguignon bien défini et est construit sur un plan en croix latine, composé de trois nefs, d’un transept et d’un chevet en plein cintre, avec un double déambulatoire et des chapelles encastrées entre les contreforts. À son extrémité inférieure, elle est flanquée de deux tours de forme carrée ; celle de droite est inachevée, tandis que celle de gauche est terminée de merlons et de fenêtres étroites. La cathédrale est couverte d’une voûte d’arête, dont les nervures reposent sur des demi-colonnes attachées aux piliers qui séparent les nefs, renforcée par des arcs en voûte brisée. La différence de hauteur entre les nefs abrite un double corps de vitraux, qui ont été endommagés lors du tremblement de terre de Lisbonne en 1755 et ont dû être remplacés.

Le premier corps de tours et les nefs remontent au XIIIe siècle, tandis que le deuxième corps de tours, le cloître (achevé au XVIe siècle) et les voûtes ainsi que les arcs-boutants datent du XIVe siècle. Au XIIIe siècle, le porche d’entrée, également appelé la porte des Apôtres, a été supprimé et transféré sur le mur nord. Dans la seconde moitié du XVe siècle, Juan Guas a conçu la nouvelle porte du côté ouest. En 1578, le toit actuel a été ajouté au toit en granit d’origine après la construction des murs latéraux en brique. Les travaux se sont achevés à la fin du XVIe siècle et au début du XVIIe siècle avec l’ajout de quelques chapelles.

À l’intérieur de l’église, plusieurs éléments présentent un intérêt particulier :

  • Le rétrochoeur, conçu par Juan Rodríguez et Lucas Giraldo et commandé en 1531, présente des bas-reliefs de style plateresque illustrant des scènes bibliques d’une grande valeur artistique.

    L’ambulatoire abrite le sépulcre d’El Tostado, œuvre de Vasco de la Zarza datant du premier tiers du XVIe siècle, qui est une pièce essentielle de l’art de la Renaissance espagnole.

    Le choeur, réalisé par différents artistes entre 1536 et 1547, est également une pièce incontournable de la cathédrale.

    Le retable du maître-autel (1499-1512), créé par Pedro Berruguete, Santa Cruz et Borgoña, est influencé par le quattrocento italien et l’école flamande.

    L’autel de Saint Segundo, orné de bas-reliefs hautement symboliques réalisés par Isidro Villoldo en 1547, est également remarquable.

    Quant à l’autel de Sainte Catalina, achevé en 1529 et conçu par Juan Rodríguez et Lucas Giraldo, il présente des bas-reliefs remarquables.

    La cathédrale a été désignée monument national en 1949. Au niveau du cloître, des casques de réalité virtuelle sont disponibles, offrant des sensations garanties.

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LES LOGEMENTS EN ESPAGNE

EL COQUETO DE LA SIERRA- SEGOVIE- ESPAGNE

Nous voici devant l’appartement « El Coqueto de la Sierra » à Ségovie, en Espagne. L’immeuble ancien dégage un certain charme, mais les abords semblent négligés. Nous avons entendu parler d’une piscine, mais elle se trouve à 400 mètres du bâtiment et semble actuellement fermée. Malgré cela, les avis positifs que nous avons lus nous ont encouragés à réserver.

En entrant, nous constatons que l’équipement est plutôt limité. La bouilloire électrique annoncée est introuvable, et la piscine censée être privée s’avère être partagée et située bien plus loin que prévu. Le salon, quant à lui, manque de confort, avec une barre sous l’assise qui gâche un peu notre expérience.

En examinant de plus près, nous réalisons que la superficie de l’appartement est bien inférieure à ce qui était annoncé. Cette découverte est un peu décevante, surtout après avoir lu tant d’avis positifs. En fin de compte, notre choix semble être en deçà de nos attentes, et nous regrettons un peu notre réservation. C’est une leçon importante : il est essentiel de vérifier les détails avec attention avant de réserver un logement pour éviter les déceptions.

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LA GASTRONOMIE

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LA CUISINE ESPAGNOLE (voyageavecnous.com)

EL RINCON DE MARIA AVILA

Au cœur d’Ávila, nous avons découvert un trésor culinaire : El Rincon de Maria. Ici, c’est la célèbre côte à l’os qui est à l’honneur. Taillée dans la longe supérieure de veau, de vache ou de bœuf, ce délice est issu de la race autochtone Avileña-Negra Ibérica, élevée dans les montagnes du centre de la péninsule. Protégée depuis 1988, cette viande offre une qualité incomparable.

Nous avons savouré cette spécialité au restaurant El Rincon de Maria, où une côte à l’os d’un kilo nous attendait, succulente comme promis. Pour 37 €, nous avons également apprécié un chorizo mariné, des croquettes de jambon parfaitement préparées et des patatas bravas bien entendu ! Une expérience gastronomique mémorable, à déguster au cœur d’Ávila.

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