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Le Parc National du Banc d’Arguin MAURITANIE *

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L’aube illumine nos visages déterminés, quittant Nouadhibou pour l’expédition sauvage vers leParc National du Banc d’Arguin

En quête d’essence, on défie l’incertitude des pompes à l’agonie, des horaires aléatoires et des constructions inachevées. Finalement, le Saint-Graal du carburant se révèle, à un prix défiant toute concurrence avec la France, 1.25 € le litre.

La route, une piste interminable jalonnée de check-points, où nos fiches deviennent des passeports pour l’inconnu. Souvent ignorées, parfois brandies comme des talismans, elles ponctuent notre périple.

La linéarité ensablée du désert nous rappelle que l’aventure est notre boussole. Quelques dunes rompent la monotonie, mais l’aridité persiste. Des villages éparpillés rappellent que l’humanité se faufile dans ce no man’s land.

Chami surgit comme un mirage, une cité née de la fièvre de l’or. Une croissance anarchique, une montagne de détritus en guise de trophée. C’est là que Sidi Ely, guide émérite, nous rejoint. De la route goudronnée à la piste, notre caravane trace son sillon vers la mer, franchissant le sable sans que les 4 roues motrices ne s’éveillent.

 

Entre galères d’essence, checkpoints absurdes et paysages en mutation, l’aventure s’écrit. Avec Sidi Ely, chaque obstacle devient une péripétie, une histoire à conter sous les étoiles du campement. L’aventure, c’est notre territoire, et nous le conquérons avec chaque kilomètre parcouru.

Le Parc National du Banc d’Arguin

Le long de la côte atlantique, en Mauritanie, entre les deux grandes villes Nouakchott et Nouadhibou s’étend le site naturel du Banc d’Arguin créé en 1976 et devenu site Ramsar en 1982, au charme remarquable.

Il conserve des zones marécageuses et des eaux littorales peu profondes. Le contraste entre la richesse biologique marine et l’austérité du désert forme un paysage formidable et captivant. Le lieu figure dans les plus importants endroits au monde où l’on peut trouver des oiseaux nicheurs et las échassiers migrateurs.

On sait que dès la fin de la préhistoire, des hommes s’installèrent sur l’île, puis au XVe siècle, les Portugais s’en emparèrent avant d’être délogés par les Hollandais, à leur tour chassés par les Français. Le 2 juillet 1816, la frégate La Méduse s’échoue sur les côtes d’Arguin et les naufragés se réfugient alors sur un radeau. Cette scène fut immortalisée par Géricault et son célèbre Radeau de la Méduse

Le banc d’Arguin est un carrefour pour les échassiers effectuant leur migration entre l’Europe, l’Asie septentrionale et l’Afrique. On y a déjà recensé plus de 2 millions de bécasseaux en hiver, et de nombreuses espèces s’installent aussi là pour se reproduire.

Un peu partout dans la mer incroyablement claire et peu profonde (pas plus de 3 m sur une bande de 25 km à partir du rivage), des îles de sable abritent des oiseaux qui y nidifient. En ce qui concerne la faune du milieu,  plus de 108 espèces d’oiseaux avec un nombre important d’individus cohabitent. À titre d’exemple, on peut citer plus de trois millions de limicoles. On y trouve également plusieurs espèces de tortues marines, des flamants roses, des gravelots, des pluviers argentés, etc.

Les flamants roses choisissent des lieux de reproduction tels que des îles plates, de vastes plages boueuses, des lacs et des baies salées, formant souvent des colonies importantes. Ces sites doivent non seulement offrir une alimentation adéquate mais aussi une protection contre les prédateurs. En raison de ces exigences spécifiques, le nombre de colonies de reproduction d’importance internationale ne dépasse généralement pas trente.

courlis corlieu
courlis corlieu

Parmi les limicoles de nombreux courlis corlieu,du genre Numenius, caractérisés par un bec long, fin et recourbé vers le bas. Leur plumage est principalement marron, avec peu de changements selon la saison. Les courlis trouvent leur nourriture dans la vase ou la terre très molle, où ils cherchent des vers et d’autres invertébrés avec leurs longs becs. Ils peuvent également se nourrir de crabes et d’animaux similaires.

Les mammifères marins s’illustrent avec la présence le phoque, les dauphins, que les pêcheurs utilisent pour rabattre les bancs de poissons. », les orques, des baleines… A l’intérieur des terres se trouvent des espèces rares (oryx, autruches, gazelles…) et des prédateurs (chacals, hyènes, fennecs… ).

Au pied des crêtes, nous découvrons de grands buissons d’acacias nains, de tamaris, etc. mais également de hautes herbes qui se mélangent avec les euphorbes, les arbustes épineux ainsi que les baumiers.

Nous y remarquons une zone de sable dur, des dunes immenses, des mangroves, des sebkas et des milieux vaseux. Ce mélange de relief occasionne une condition de vie animale et végétale assez formidable. L’environnement du site se caractérise par de la remontée d’eau froide. Ce phénomène donne lieu à une éclosion de la vie subaquatique.

On ne peut observer ceux-ci que depuis de petits bateaux, accompagné d’un guide et après avoir obtenu l’autorisation de la direction des parcs nationaux.

Les périodes de visite sont extrêmement réglementées (vous ne pouvez pas approcher les oiseaux pendant la saison des amours – deux fois par an).

 

Le Village d’Iwik Parc National du Banc d’Arguin

Dès notre débarquement en ces contrées sauvages, Sidi Ely s’empare des clefs au cœur du village, l’unique oasis où le Wi-Fi et la 4G daignent se manifester. De là, notre périple commence, guidés vers le campement. Ce dernier se dévoile dans toute sa rusticité saisissante : douches glaciales, matelas rudimentaires à même le sol, et une aire commune pour partager nos repas, paraissant presque négligée.

Nous sommes cordialement accueillis autour d’un succulent riz au poisson, que nous dégustons au centre de la table commune. C’est là le plat emblématique du banc d’Arguin, où le poisson règne en souverain, reléguant toute idée d’élevage, de viande ou de volaille.

Même les légumes ont du mal à pousser dans cet environnement ardu. Le vent souffle impétueusement durant trois mois de l’année, détruisant les serres face à sa puissance conjuguée avec le sable. Une réalité qui ne s’inscrit pas dans la trame culturelle locale.

Mais ces conditions spartiates s’effacent devant la magie inhérente au lieu. Ici, nul besoin de luxes inutiles pour apprécier pleinement l’environnement. Le tourisme revêt une teinte aventurière, n’accueillant que ceux qui savent respecter la nature.

Après le repas, nous partons à la découverte du village. L’étonnante cohabitation des villageois avec les pélicans sur le sable, près du rivage, nous transporte dans une aventure sans pareille. Une fois de plus, nous plongeons dans l’atmosphère d’un village perdu dans l’infini, baigné par le déclin du soleil, la brume de sable, les bateaux échoués par la marée descendante, et ce hameau de fortune constitué de tôles et de toiles, édifié sans l’ombre d’un plan d’architecte, au gré des besoins, de l’expansion familiale ou du stockage du matériel de pêche.

Les Pélicans blancs attrapent les poissons dans la poche de leur grand bec pendant que leurs proies nagent en surface. Ils se nourrissent principalement de poissons.

Sur la plage, une abondance remarquable de coquillages témoigne du festin des huîtriers-pie, qui ont établi leur royaume en ces lieux. Le baroud se poursuit, chaque moment dévoilant une nouvelle facette de ce monde sauvage

Distribution de dons à l’association des Amis du Parc National du Banc d’Arguin

De retour au campement, nous préparons la distribution des dons que nous avons collectés au profit de l’Association des Amis du bois d’Arguin :

après le repas, du poisson grillé, Sidi Ely prépare les canne sà pêches qui nous serviront le lendemain !

LES IMRAGUENS  Parc National du Banc d’Arguin

Les Imraguens hommes de la mer

SORTIE EN VOILIERS Parc National du Banc d’Arguin

Au lever du jour, l’aventure commence avec notre embarquement à bord d’une lanche, accompagnés des pêcheurs Imraguens. Une escapade en mer sur les eaux calmes du Banc d’Arguin nous transporte dans l’univers captivant des pêcheurs, naviguant à proximité des îles où des milliers d’oiseaux trouvent refuge.

FOU DE BASSAN

Le ciel, encore voilé de sable, résiste aux premiers rayons du soleil. Pourtant, notre attention est vite captée par la présence espiègle des oiseaux. En un clin d’œil, nous identifions certains habitués de ces lieux, mais des surprises se manifestent, à l’image des Fous de Bassan en avance sur la saison habituelle. Cet oiseau majestueux, indigène de l’Atlantique nord, se hisse au sommet en tant que plus grand des oiseaux de mer d’Europe. En vol, le Fou de Bassan excelle, battant puissamment des ailes ou planant avec grâce, surtout par vent fort. Capable de parcourir plus de 450 kilomètres par jour, il démontre une agilité impressionnante malgré une maladresse apparente au décollage et à l’atterrissage.

Guidés par les Imraguens, véritables connaisseurs de leur écosystème, nous découvrons leur mode de vie, apprenant comment ils collaborent avec les dauphins pour encercler les poissons dans leurs filets. Certains dauphins nagent à nos côtés, créant une symbiose dans ce dédale de hauts fonds, où la mer semble calme, bercée uniquement par la brise marine.

En approche de la deuxième île près d’Iwik, nous décidons de jeter l’ancre pour tester nos lignes à pêche. Au loin, sur un banc de sable, se dessinent de majestueux flamants roses, sternes et cigognes, offrant une opportunité idéale pour les amateurs de photographie, moi y compris. Certains pêcheurs, selon les marées, vérifient leurs filets. Les eaux de la côte atlantique mauritanienne sont renommées pour leur abondance de poissons, exportés vers le Sénégal, le Maroc, l’Europe et l’Asie.

 

A noter la présence de la Sterne caugek (Thalasseus sandvicensis) un aventurier des mers, un criard des rivages, parfois appelé plovre criard ou tavernot. Son nom « caugek » résonne comme un appel dans le ciel, un hommage à son cri distinctif, et « sandvicensis » évoque les terres de Sandwich dans le Kent.

sterne caspienne

A noter également la majestueuse Sterne caspienne (Hydroprogne caspia) trône en tant que plus grande représentante des sternes, arborant un bec imposant d’un rouge éclatant.

Toujours parmi les sternes, la Sterne hansel chasse principalement en vol, plongeant pour capturer des insectes au sol ou en plein vol. Son régime alimentaire inclut également des petits oiseaux, des rongeurs et des grenouilles.

 

Pour nous, c’est le moment de la pêche à la ligne, peu importe si l’on possède une canne ou non. Les appâts, confectionnés avec de la chair de poisson, attirent rapidement loups mouchetés, dorades grises ou royales, et sars dans notre seau.

 

Avec la montée de la marée, les oiseaux se rassemblent. La quantité impressionnante de limicoles dans la région, probablement des milliers, devient évidente. L’apparition d’un rapace les met en émoi, offrant un spectacle grandiose, tel un ballet céleste.

Les lanches, ces voiliers des pêcheurs Imraguens, sont équipées de voiles latines manœuvrées à l’aide de palans en bois. Ces embarcations à fond plat, dépourvues de quille, sont parfaites pour naviguer sur des hauts fonds et accoster sur la plage. Malgré leur faible performance face au vent, les pêcheurs Imraguens les manœuvrent avec une habileté remarquable, relevant le défi du virement de bord uniquement en face du vent.

Un vieux pneu de voiture rempli de charbon de bois fait office de réchaud pour cuisiner le poisson en cours de route. À bord des lanches, les pêcheurs préparent le repas à partir des poissons fraîchement pêchés. Cuisine au wok, au beurre et à l’oignon, le poisson est savouré avec les doigts, directement dans le plat. Le reste des poissons sera grillé au barbecue le soir venu.

Nous déplaçons notre embarcation vers une zone plus profonde, sur la route du retour, espérant pêcher des spécimens plus imposants comme des thioffs, de grosses daurades ou encore des courbines. Le concours de la plus belle prise est lancé, remporté rapidement par Adèle avec une magnifique raie. Cependant, Nadège remporte le titre ultime avec trois prises.

grand cormoran

Ici les grands cormorans nous survolent.

Le Grand Cormoran préfère les plans d’eau douce, saumâtre ou salée, riches en poissons avec un courant faible ou nul. On le trouve dans les estuaires, deltas, mangroves, baies abritées, lacs, étangs, canaux, ports d’eau douce et marinas. Lorsqu’il ne pêche pas, il se perche fréquemment sur des supports en hauteur.

Le Grand Cormoran, avec ses habitudes de pêche remarquables et son comportement social, est une espèce emblématique des milieux aquatiques à travers le monde.

 

De retour au village, les pélicans nous accueillent dans la baie. Leur plumage légèrement rosé les identifie comme originaires de Djoudj au Sénégal.

Loup doré

Nous observons également des aigrettes noires à gorge blanche. Son régime alimentaire se compose de petits poissons, de crustacés, de mollusques, ainsi que de criquets, de larves et de vers.

Cette espèce d’aigrette présente des caractéristiques distinctives qui la différencient de l’Aigrette garzette, en particulier le bec plus épais et les nuances de couleur sur les pieds.

Des femmes, sur la plage,  proposent leur artisanat, notamment de magnifiques colliers fabriqués à partir des squelettes de poissons, une curiosité étonnante !

Nous reprenons la voiture pour explorer davantage la côte à la recherche des coyotes ou plus exactement des loups dorés. Ils se rassemblent dans une zone de petites dunes et de broussailles épineuses

Le Loup doré africain présente une taille intermédiaire entre les Chacals africains (C. mesomelas et C. adustus) et les plus petites sous-espèces de Loup gris. Les deux sexes pèsent de 7 à 15 kg pour 40 cm de hauteur.

La présence du Loup doré africain est attestée en Afrique du Nord, dans la bande sahélienne, la corne de l’Afrique et une partie de l’Afrique de l’Est. Cette espèce est adaptée aux zones désertiques et peut être relativement commune dans les plaines et les steppes herbeuses, même en l’absence d’eau. On l’observe depuis les montagnes de l’Atlas au Maghreb jusqu’à des altitudes de 1 800 m.

Le Village d’Arkeiss Parc National du Banc d’Arguin

Plus au nord d’Iwik, notre route nous conduit vers une zone clairement délimitée où émergent des roses des sables. Ces formations, issues de la cristallisation du gypse, se forment dans des environnements aux sols souples tels que l’argile et le sable.

Le processus de cristallisation débute à partir d’un germe, avec les cristaux de gypse se développant dans diverses directions, repoussant ainsi le milieu tendre environnant. Ce phénomène survient fréquemment dans des roches comme l’argile ou le sable, surtout lorsque ces roches sont traversées par une nappe phréatique riche en sulfates et en calcium, communément appelée eau séléniteuse.

Lorsque l’évaporation de l’eau s’accompagne d’une augmentation de la concentration ionique dans la nappe phréatique, le gypse cristallise dans la roche imprégnée d’eau séléniteuse, créant ainsi ces magnifiques roses des sables. Ce processus se produit régulièrement dans des environnements désertiques, ainsi que dans des milieux péri-lacustres sous un climat chaud.

Hélas, à notre arrivée au village, la visibilité est presque nulle en raison du vent de sable, nous privant de la possibilité d’admirer la beauté des falaises environnantes. Malgré cela, les falaises offrent généralement un point de vue idéal pour observer les tortues qui fréquentent régulièrement la plage.

 

Nous reprenons la route de Chami en direction de notre prochaine étape, la région de l’Adrar

 

LES LIENS VERS LES PHOTOS de Nouadhibou et ses environs

j 561 LA FRONTIERE MAROC-MAURITANIE *

NOUADHIBOU GUESTHOUSE *

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VIDEO DE L’ETAPE

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LA GASTRONOMIE MAURITANIENNE

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RESTAURANT CASANOVA NOUADHIBOU

Le test du restaurant Casanova à Nouadhibou semble prometteur. La belle devanture et la variété de la carte, qui propose des snacks mais aussi le célèbre poisson Thiof, attirent l’attention. Déguster le thiof est une expérience culinaire appréciée dans plusieurs régions d’Afrique de l’Ouest, et il est intéressant de constater que ce poisson est également très prisé en Mauritanie.

Le thiof, également appelé mérou, est vanté pour sa chair savoureuse et sa texture ferme. La manière dont il est préparé, ici grillé et accompagné de frites, de légumes et d’une sauce à base d’oignons et d’épices, semble délicieuse. La présence d’un chef cuisinier prêt à conseiller sur le choix des plats ajoute une touche personnalisée à l’expérience culinaire.

L’aspect commercial et sympathique du service est également un point positif, et l’offre d’un thé mauritanien en complément est une attention appréciée. De plus, des prix très corrects, comme indiqué (1560 MRU pour 6 personnes), ajoutent une dimension économique favorable à cette expérience culinaire.

En résumé, le restaurant Casanova offre une combinaison attrayante de bonnes saveurs, d’un service attentionné et d’une ambiance conviviale, ce qui en fait un lieu à considérer pour ceux qui souhaitent explorer la scène culinaire de Nouadhibou !

REPAS CHEZ LES IMRAGUENS

LE RIZ AU POISSON

LES LOGEMENTS

NOUADHIBOU GUESTHOUSE

Une belle adresse au sud de l’aéroport, assez bien centralisée à Nouadhibou. Une ésidence hotelière qui offre tout le confort attendu pour une famille avec enfant

Un accueil très chaleureux de Ricardo et Peter qui sont aux petits soins avec leurs invités. Accueil avec un jus de Bissap excellent. Petit déjeuner très copieux.

Les chambres sont spacieuses, les lits très confortables. Certaines offrent également une terrasse, une cuisinière.

PHOTOS

Prix 30 € la nuit

 

CAMPEMENT CHEZ LES IMRAGUENS

notre périple commence, guidés vers le campement. Ce dernier se dévoile dans toute sa rusticité saisissante : douches glaciales, matelas rudimentaires à même le sol, et une aire commune pour partager nos repas, paraissant presque négligée.
Nous sommes cordialement accueillis autour d’un succulent riz au poisson, que nous dégustons au centre de la table commune. C’est là le plat emblématique du banc d’Arguin, où le poisson règne en souverain, reléguant toute idée d’élevage, de viande ou de volaille.

CONDITIONS D’ENTREE DANS LE PAYS

La Mauritanie Entrée Séjour

LES LIENS

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