OUALIDIA « La Perle bleue » – MAROC +

OUALIDIA LA PERLE BLEUE

Au bord de l’Atlantique, nous découvrons la station balnéaire d’Oualidia, un véritable havre de tranquillité niché au creux d’une anse, protégé des vents par une barrière de petites îles. Malgré sa beauté, elle reste étrangement préservée du tourisme balnéaire, offrant ainsi un cadre merveilleux pour se détendre.

Cependant, en saison chaude, elle attire les estivants du monde entier, transformant le paisible village de pêcheurs en une station balnéaire animée et accueillante. Généreuse et hospitalière, la cité d’Oualidia dévoile secrètement ses charmes ensorcelants à ses visiteurs, offrant une évasion inoubliable.

La lagune ovale bordée de falaises offre un spectacle enchanteur, avec des eaux prenant des teintes vertes et turquoise tout au long de la journée. La plage s’étend sur 3 km le long de la lagune, offrant l’endroit idéal pour bronzer, se baigner et pratiquer des sports nautiques. À marée basse, des îlots d’herbe verte émergent, accueillant les bovins venus paître.

Nous pouvons profiter de la baignade d’avril à octobre, ce qui en fait une destination idéale pour toute la famille. Dans la partie haute de la ville, nous pouvons admirer les vestiges de l’ancienne kasbah du sultan, datant du XVIIème siècle. Après avoir exploré Oualidia, nous sommes encouragés à découvrir les merveilles de la côte environnante.

Des activités telles que la visite de grottes proposée par les pêcheurs locaux ou une excursion en bateau sur la lagune sont très appréciées. En outre, Oualidia est réputée pour la qualité de ses huîtres, offrant ainsi une expérience culinaire inoubliable.

LES LIENS VERS TOUTES LES PHOTOS DE OUALIDIA ET SES ENVIRONS

J 254 VISITE DE SAFI*

J 254 LA ROUTE COTIERE ENTRE ESSAOUIRA ET OUALIDIA VIA SAFI *

J 255 OUALIDIA « La Perle bleue » *

J256 – BIRD WATCHING DANS LA LAGUNE D’OUALIDIA *

J 258 EL JADIDA LA Deauville marocaine *

DE ESSAOUIRA A OUALIDIA PAR LA CÔTE

Description sur l’article consacré : La Côte Atlantique d’Essaouira à Safi

ROUTE COTIERE DE SAFI A OUALIDIA

La route côtière de Safi à Oualidia est une invitation à l’évasion, une parenthèse où la nature règne en maître. Dès les premiers kilomètres, nous sommes fascinés par l’immensité de l’Atlantique qui se déploie à perte de vue, bordé par des falaises escarpées sculptées par les vents et les marées. Chaque virage dévoile un tableau différent, entre longues plages sauvages et criques secrètes, où le sable doré se mêle aux rochers polis par le temps.

Nous faisons halte à plusieurs reprises pour profiter du spectacle. À certains endroits, les falaises s’ouvrent en vastes anses où les pêcheurs locaux, silhouette solitaire face aux éléments, lancent leurs lignes dans l’écume blanche des vagues. Plus loin, des barques colorées reposent sur le rivage, témoignant de l’importance de la pêche artisanale dans la région.

L’odeur iodée de la mer nous accompagne tout au long du trajet, renforcée par la brise fraîche qui souffle sans relâche. Par moments, nous descendons explorer les plages accessibles, où les coquillages jonchent le sol et où les mouettes dessinent des cercles dans le ciel. Les vagues, puissantes et incessantes, viennent s’écraser contre les rochers avec une force hypnotique, créant un jeu de lumière et de reflets fascinant sous le soleil déclinant.

À l’approche d’Oualidia, le paysage change légèrement. La côte escarpée laisse place à des lagunes paisibles où l’eau se fait plus calme, offrant un contraste saisissant avec les houles tumultueuses du large. Ici, les fermes ostréicoles prennent le relais des bateaux de pêche, et l’atmosphère devient plus douce, presque méditative.

Cette route, bien plus qu’un simple trajet, est une expérience à part entière, une immersion dans la puissance et la beauté brute de l’Atlantique marocain. Un voyage où chaque instant offre une nouvelle découverte, où la nature impose sa loi, et où le regard ne cesse de s’émerveiller.

OUALIDIA La Plage, les dunes et les grottes

À Oualidia, entre El Jadida et Safi, cette charmante petite ville continue d’attirer les visiteurs, qu’ils soient nationaux ou internationaux, avec ses plages de sable fin, ses dunes et ses grottes. Les passionnés de surf, les amateurs d’huîtres et les amoureux des dauphins trouvent ici leur bonheur. Les fins gourmets affluent également le week-end, attirés par les délices de la mer tels que les araignées de homards et les langoustes, sans oublier la profusion de poissons comme les rougets, les daurades et les bars, pêchés par les marins locaux.

Partons à la découverte de ces paysages enchanteurs en nous promenant le long des plages de sable fin, bordées de falaises. C’est un véritable moment de sérénité au bord de l’océan Atlantique.

En prenant la route vers le sud et en empruntant un sentier près du camping Les Oliviers, nous traversons le Laguna Park et admirons les magnifiques fleurs aux couleurs éclatantes, dont des iris nains. Nous sommes même surpris de voir des buissons abritant des escargots !

Du haut des collines d’Oualidia, nous sommes subjugués par la vue infinie de l’océan Atlantique. En descendant le sentier à travers les terres cultivées, nous apercevons au loin les majestueuses dunes et la plage. À mesure que nous nous approchons, la grandeur des dunes nous impressionne, avec leurs coquillages multicolores éparpillés en petits morceaux. Une fois passées les dunes, nous sommes captivés par les rochers au bord de la mer, où les vagues s’écrasent avec force pour créer des geysers spectaculaires.

Parmi ces rochers se trouvent les fameuses grottes, au nombre de six, un incontournable de la région mais accessibles uniquement à marée basse. Les meilleures sont celles que les habitants appellent les grottes portugaises, reconnues comme les plus belles. À l’intérieur, une atmosphère mystique règne, où l’on croise des jeunes venus jouer de la musique et profiter de l’écho unique, ainsi que des couples qui y trouvent un refuge romantique pour exprimer leurs sentiments.

Oualidia tire son nom du sultan saadien Al Walid Ibn Zidane (1631-1636), qui fit construire une kasbah dont il ne reste que quelques ruines. Mais l’histoire de la ville remonte à l’Antiquité, lorsque l’amiral carthaginois Hannon aurait séjourné dans l’une des six grottes. À l’époque, la ville était connue sous le nom de Ghar Hammou El Ghazi.

Plus loin, nous découvrons la plage des coquillages, puis nous poursuivons notre exploration jusqu’au marabout Sidi Karim Daïf ou jusqu’à Tomato Beach, réputée pour ses serres de production de tomates.

 

Entre les falaises imposantes qui bordent l’océan se forment naturellement de petits ports de pêche. « Lamrissa », face à la plage de OUALIDIA , est le plus célèbre. Les bateaux de pêche artisanale sont parqués ici à même le sable dans un décor de belle carte postale.

Entre les falaises majestueuses qui se dressent au bord de l’océan, de petits ports de pêche naturels se forment. Parmi eux, « Lamrissa », face à la plage d’Oualidia, est le plus renommé. Les bateaux de pêche artisanale y sont amarrés directement sur le sable, offrant une vue digne d’une carte postale.

 

Des petites cabanes aux teintes de bleu et de blanc, juxtaposées les unes aux autres, proposent une variété de fruits de mer à déguster sur place : des huîtres à 5 ou 6 MAD pièce, des moules, des clams, des oursins, des couteaux, des palourdes, et bien d’autres encore. Nous ne pouvons résister à l’envie de nous y arrêter, tant pour reposer nos jambes fatiguées par le sable fin que par gourmandise.

C’est ainsi le lieu de rendez-vous des amateurs de cuisine qui recherchent la fraîcheur du poisson proposé sur les tables des restaurants en plein air. Daurades, rougets, pageots, sardines se mêlent aux fruits de mer, parmi lesquels les célèbres huîtres, considérées comme les meilleures du pays, les moules, les crabes et les langoustes…

Cette abondance forme un festin pour les papilles. Sur place, vous pouvez vous attabler pour déguster du pain traditionnel, une délicieuse salade marocaine et des grillades appétissantes. Le vendeur peut même vous proposer une poêlée de fruits de mer cuits lentement au feu doux, dans de l’huile d’olive et des épices.

Réputée pour la fraîcheur et la qualité de ses poissons, Oualidia a toujours été généreuse envers les pêcheurs. En effet, la pêche reste l’activité principale des habitants de cette ville tout au long de l’année. Les marins ne rentrent jamais bredouilles et les embarcations sont toujours actives, surtout en cette période de l’année où le climat se montre clément.

LA LAGUNE D’OUALIDIA

Séjourner à OUALIDIA signifie inévitablement une excursion en bateau pour observer les oiseaux.

À chaque marée haute, les vagues franchissent les deux passes, remplissent la lagune, puis s’en éloignent. Les équinoxes perturbent ses profondeurs, les grottes cachent leurs mystères, les pêcheurs se blottissent dans les rochers.

Le regard s’évade devant cette étendue d’eau turquoise qui remplit la « petite lagune ». La mer tranquille invite à plonger dans ses eaux claires et pures.

 

La plage d’Oualidia est une tentation pour les nageurs aguerris du coin. Le premier défi : traverser jusqu’à l’autre côté du rivage.

Certains viennent ici pour bronzer paisiblement, loin des regards curieux des habitants du village, tandis que d’autres profitent du calme pour pratiquer le football, le footing et d’autres activités sportives sur la plage.

Sur place, il est recommandé de se faire guider en barque par des pêcheurs expérimentés, disponibles toute l’année. Une variété d’embarcations est proposée aux visiteurs pour des excursions dans la lagune. Pour un prix allant de 150 à 200 MAD, vous pouvez explorer la lagune à bord d’une barque, d’une péniche ou même d’un pédalo, en parcourant ses 12 kilomètres de longueur.

Il est également possible de se baigner dans le chenal et le cul-de-sac de la lagune, où les eaux affichent des teintes de bleu marine et de vert turquoise. Vous pouvez également choisir de vous isoler pour un moment de détente sur les dunes et les plages de sable fin qui longent l’océan.

 

Plus loin de la plage fréquentée par les baigneurs, le paysage qui défile offre une vue sur les terrasses des cafés et des hôtels de la ville, ainsi qu’un panorama sur les vestiges du palais de feu le Roi Mohammed V et les rochers robustes, jusqu’à l’arrivée au parc des huîtres, où les visiteurs peuvent approfondir leurs connaissances auprès des nombreux ostréiculteurs implantés sur les berges. La tranquillité offerte par cette vue fait oublier la puissance de l’océan qui se manifeste quelques mètres plus loin dans la « grande lagune ». Connu pour sa houle impressionnante venue du large, l’océan écrase ses grandes vagues blanches contre les falaises et les étendues de sable fin. C’est ici le spot des surfeurs et la source de vie des pêcheurs.

À marée basse, la lagune dévoile ses trésors. Lorsque la mer se retire, passant d’une profondeur d’environ 5 mètres à 2 mètres, des îlots d’herbes vertes apparaissent au milieu du chenal. Un spectacle des plus insolites se produit alors : des vaches traversent la lagune à la nage pour aller paître sur ces îlots, avant de repartir rapidement six heures plus tard, lorsque les vagues les chassent.

Dans ce cadre sauvage, la nature est omniprésente. Ce village de pêcheurs est une étape importante pour les oiseaux migrateurs, la lagune étant une réserve naturelle de grande valeur écologique pour de nombreuses espèces d’oiseaux. Répertoriée comme habitat des oiseaux d’eau, la région est une étape importante dans la migration des oiseaux vers le reste du continent africain.

Le patrimoine naturel du complexe lagunaire, Sidi Moussa OUALIDIA, est exceptionnel. Ses précieux habitats accueillent de nombreuses espèces, parfois rares et menacées. Il abrite un peuplement très varié d’oiseaux d’eau, composé de 114 espèces. Le complexe est renommé en tant que site d’escale et d’hivernage de plusieurs espèces d’oiseaux qui migrent entre l’Europe et l’Afrique. Il héberge également une riche faune de limicoles reproducteurs.

Au fil des saisons, il est possible d’observer des hérons cendrés, des spatules, des cormorans, des flamants roses et des cigognes, parmi plus de 50 espèces qui passent l’hiver à OUALIDIA en provenance d’Europe. La meilleure période pour admirer les oiseaux est le mois de janvier. Certaines espèces restent à OUALIDIA pour nicher d’octobre à mai, favorisant ainsi le développement d’un tourisme régulier d’observation des oiseaux.

4X4 ROAD AU MILIEU DE LA LAGUNE ET VISITE DU PARC OSTREICOLE

Cette dernière journée à OUALIDIA est dédiée à la découverte de la magnifique lagune et de ses habitants privilégiés : les aigrettes garzettes, les flamants roses et les échasses blanches.

Nous bifurquons au bout de la lagune et suivons un sentier qui traverse les marais salants pour arriver du côté de l’océan.

Autour de nous, de petites échasses blanches aux pattes rouges s’agitent dans les bassins.

L’échasse blanche, qui présente une large distribution mondiale, niche principalement dans le complexe de Sidi Moussa-OUALIDIA.

À notre grande surprise, certains bassins sont teintés de rose.

Cette coloration rose de l’eau est due à la prolifération de micro-organismes du type algues microscopiques, appelées « dunaliella salina ».

La piste continue le long de la côte atlantique. Bien que praticable par tout véhicule, il est néanmoins préférable de s’y aventurer en 4×4. Tout au long du trajet, vous pourrez apprécier les différentes formes de rochers, qui évoquent tantôt une tortue, tantôt une tête de singe.

Un autre site intéressant en amont de la lagune, mais du côté de l’océan, est le marabout Sidi Daoud, dont le tombeau a été construit sous forme d’un dôme blanc perché sur une dune.

C’est la tombe d’un saint vénéré à qui on prête le pouvoir de guérir les nourrissons et de remédier au célibat prolongé des jeunes filles.

Plus loin, après un pont naturel en pierre, la piste se termine sur une plage de sable.

Nous rebroussons chemin et empruntons juste après les salines le premier chemin à droite.

Il est indispensable d’être équipé de 4 roues motrices pour franchir les nombreux passages boueux et zones marécageuses, mais le spectacle en vaut la peine.

Tout près de nous, nous observons des aigrettes garzettes. Un peu plus loin, ce sont des flamants roses qui attirent notre regard.

Ensuite, nous reprenons la piste en direction de la ferme ostréicole d’OSTREA. Créé en 1955 sur le site privilégié de la lagune de OUALIDIA, le parc 007 Ostréa s’est rapidement développé et équipé pour devenir aujourd’hui l’un des parcs à huîtres les plus modernes du Maroc.

LES PARCS OSTREICOLES

Des parcs ostréicoles sont ouverts à la visite, à l’achat et à la dégustation d’huîtres dans la lagune. C’est le cas d’Ostra II, un parc ostréicole réputé pour être le premier au Maroc, qui accueille également des chambres d’hôtes et un restaurant. L’idée d’importer des naissains d’Europe est venue à Pierre Bachir Pinscloux, venu pour des travaux de génie civil dans les années 50.

Avec 6 stations d’élevage et 4 d’épuration dispersées sur 25 km de berges, OUALIDIA est le second producteur d’huîtres du Royaume, derrière Dakhla, grand producteur national bénéficiant de conditions climatiques favorables, notamment le soleil et le vent nécessaires à l’élevage.

La visite des parcs ostréicoles datant des années 50 fait partie intégrante des attractions touristiques. Le site produit plus de 250 tonnes d’huîtres par an. Les Marocains viennent de tout le pays pour les déguster. Selon un producteur local, les huîtres de OUALIDIA seraient les meilleures du pays, voire du monde, grâce notamment à la présence d’algues, le phytoplancton dont se nourrissent les huîtres.

 

En somme, il faut un an de croissance pour les naissains importés de France pour se transformer en huîtres succulentes.

Créé en 1955 sur le site privilégié de la lagune de OUALIDIA, le parc 007 Ostréa s’est rapidement développé et équipé pour devenir aujourd’hui l’un des parcs à huîtres les plus modernes du Maroc.

Depuis l’installation de sa station d’épuration en 1995, les huîtres et coquillages répondent à toutes les normes sanitaires marocaines et européennes, une garantie essentielle pour les consommateurs.

Entre l’arrivée des naissains dans la lagune de OUALIDIA et les huîtres sur votre table, il faut compter deux années de soins attentifs.

L’huître creuse d’Ostréa, Crassostrea Gigas pour les scientifiques, est du type « Marennes-Oléron ». Les naissains sont importés par Ostréa directement de cette région de production, premier grand cru qui fournit les claires et les fines de claires.

DES MILLIONS D’OEUFS A LA POUSSE

C’est seulement lorsqu’elle a trois ans que l’huître peut se reproduire.

Très prolifique, elle peut pondre jusqu’à deux millions d’œufs ! Au bout de trois semaines, la larve d’huître devient un naissain qui, pour survivre, a besoin d’un support sur lequel se fixer.

Ostrea utilisait par le passé des collecteurs déposés en milieu naturel dans la baie de Marennes-Oléron, en Charente-Maritime. Depuis les années 2000, Ostrea importe ses naissains de Vendée, produits dans des écloseries, de taille de six millimètres trois mois après leur naissance et déjà séparés.

Les naissains sont installés dans des casiers, et c’est la deuxième partie de leur croissance.

Surveillées comme des nouveau-nés, elles passeront là encore une à deux années avant de pouvoir être consommées.

Pendant cette période, nous devons tenir compte du fait que pour commercialiser 20 huîtres, nous devons cultiver 100 naissains, car l’huître est un coquillage très fragile, une fragilité qui s’amplifie avec les changements climatiques, générant des mortalités à tous les stades de la croissance.

LES BASSINS D’EPURATION

Dans le parc ostréicole d’Oualidia, la pollution bactérienne représente un risque majeur pour les cultures en milieu marin.

Pour s’en prémunir, on utilise la purification en immergeant les coquillages dans une eau correctement traitée. Les procédés couramment utilisés sont de trois types : traitement chimique, à l’ozone, ou aux ultraviolets. Ostréa a choisi ce dernier procédé pour son caractère naturel, son efficacité, sa fiabilité (suppression des problèmes de dosage en chlore ou en ozone), et son absolue sécurité en matière d’utilisation.

Une fois sortis de la lagune, les casiers d’huîtres sont déposés dans les bassins d’épuration de la station et y séjournent au moins 48 heures.

Cela permet de débarrasser les coquillages des germes qu’ils pourraient éventuellement contenir. L’autocontrôle est assuré selon les normes en vigueur par le laboratoire de l’Institut Pasteur de Casablanca.

CALIBRAGE ET ETIQUETAGE

Avant même leur épuration, les huîtres subissent un lavage extérieur et un calibrage.

Le calibrage est effectué en fonction du poids.

Ostréa accorde une grande vigilance au calibrage, préférant souvent dépasser les normes en vigueur pour satisfaire sa clientèle.

Après leur séjour dans les bassins d’épuration, les huîtres sont rangées manuellement dans des bourriches de 50 ou 100 pièces (selon leur taille), et chaque bourriche est soigneusement étiquetée avec les dates d’emballage et de péremption.

TRANSPORT REFRIGERE

Une fois étiquetées, les bourriches sont chargées dans des camionnettes réfrigérées d’Ostréa et acheminées vers les principaux revendeurs.

Depuis toujours, la principale préoccupation d’Ostréa est la salubrité des coquillages qu’elle commercialise.

C’est pourquoi, dès 1996, bien avant l’ouverture de l’Institut National de Recherche Halieutique chargé du suivi de la qualité sanitaire du milieu lagunaire, Ostréa a pris des mesures pour classer la zone de son propre réseau d’évacuation et de traitement des eaux usées, recyclant celles-ci dans l’arrosage des jardins, dans un respect total de l’environnement dont dépend l’avenir ostréicole de Oualidia.

VIDEO OUALIDIA

 

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