Tarangire, royaume des géants d’ivoire Tanzanie +

De l’Arusha National Park à Tarangire : scènes de vie au fil de la route
Nous quittons les forêts denses et brumeuses de l’Arusha National Park pour prendre la route en direction du Tarangire. Très vite, le décor change et l’on glisse vers une Afrique rurale et vivante, où chaque kilomètre est une succession de petites scènes du quotidien.
La route serpente entre villages aux maisons de torchis et de briques séchées, parfois coiffées de toits de tôle ondulée qui brillent sous le soleil. Devant les habitations, les femmes s’affairent : certaines pilent le maïs dans de grands mortiers de bois, d’autres étalent le linge coloré sur des cordes ou des buissons, créant de véritables guirlandes multicolores au milieu de la poussière rouge.
Des enfants en uniforme d’écoliers — chemises claires et shorts impeccables malgré la poussière — marchent en groupes vers l’école. Beaucoup nous saluent de la main ou s’approchent en riant, intrigués par notre passage. Leur curiosité et leurs sourires apportent une touche de chaleur à la route.
Sur les bas-côtés, les troupeaux de vaches et de chèvres avancent sous la conduite de jeunes bergers massaï drapés dans leurs shukas rouges ou bleus. Leurs silhouettes élancées se détachent sur le fond des collines, renforçant cette impression de traverser un paysage intemporel.
Ici et là, de petites échoppes artisanales bordent la route. Elles proposent des sculptures en bois d’ébène, des colliers de perles massaï, des paniers tressés ou encore des batiks aux motifs éclatants. Parfois, on aperçoit un forgeron martelant une lame, ou des potières façonnant des jarres avec une précision héritée de gestes ancestraux.
La route elle-même est correctement goudronnée, mais ponctuée de ralentisseurs aux abords des villages. Chaque traversée impose de ralentir, ce qui offre l’occasion d’observer ces instants de vie, ces marchés improvisés où l’on vend bananes, mangues, tomates et piles de charbon de bois empilées en sacs de jute.
Peu à peu, en approchant de Tarangire, le paysage s’ouvre : la savane reprend ses droits. Les arbres se font plus rares, laissant apparaître les silhouettes massives des baobabs, promesse de l’univers que nous allons retrouver dans le parc.
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Safari en soirée au parc national de Tarangire
Après notre installation au camp Kirurumu, situé aux abords immédiats du parc, nous repartons à 14h pour un safari en fin d’après-midi. La lumière rasante de la savane sèche nous révèle tout de suite un écosystème exceptionnel.
Alors que nous traversions les paysages dorés du parc national de Tarangire, nos regards se sont soudain posés sur un éclat métallique qui vibrait dans la lumière du soleil. Là, perché sur une branche basse, se tenait un oiseau d’une élégance incroyable : le choucador superbe (Lamprotornis superbus). Nous étions fascinés. Sa silhouette élancée, d’environ 18 à 19 centimètres, semblait incarner la perfection d’un bijou vivant.
Puis un petit groupe de dik-diks de Kirk timides s’enfuir entre les herbes hautes. Non loin de là, des impalas au pelage roux se figent à l’écoute du moindre bruit. Un aigle ravisseur fend le ciel de ses larges ailes noires – le plus grand rapace africain – ou encore un bateleur des savanes aux ailes larges et contrastées, planant en silence, oscillant légèrement comme en déséquilibre tandis qu’un guépard adulte s’étire langoureusement à l’ombre d’un buisson, à l’affût d’une proie potentielle. Nous apercevons aussi deux lionnes masaï immobiles au milieu de hautes herbes, scrutant silencieusement l’horizon.
À mesure que le soleil décline, des troupeaux d’animaux apparaissent dans les plaines. De grands baobabs séculaires se dressent sur l’horizon (certains ont plus de 1 000 ans), dressant leur silhouette massive. Sur la piste, un groupe de babouins olive papio anubis bruissants traverse la route devant nous, surveillés du coin de l’œil par un jeune mâle. Dans la lueur dorée du soir, un cortège d’éléphants de savane de l’Afrique de l’Est majesteux se déplace lentement vers la rivière Tarangire, vitale en cette saison sèche. Soudain, une famille de Zèbres des Plaines de Grant traverse tranquillement la piste à quelques mètres de nous, suivie par des gnous bleus du Serengeti en migration. Plus loin, nous croisons quelques enfants masaïs portant des shukas colorés, rentrant probablement de l’école ou rentrant chez eux, témoins vivants de la coexistence entre nature et culture locale. Enfin, le soleil disparaît en un époustouflant dégradé de rouge et d’ocre : les plaines, ponctuées de baobabs géants, offrent un décor idéal pour le photographe (les couchers de soleil y sont réputés spectaculaires).
Le parc national de Tarangire se situe dans la région de Manyara (nord de la Tanzanie), à environ 1 100 m d’altitude. Son aménagement tire son nom de la rivière Tarangire, qui le traverse et sert de source d’eau essentielle en saison sèche. Géologiquement, Tarangire fait partie du système du Rift est-africain : on y trouve d’immenses rochers granitiques et des reliefs fissurés par l’activité tectonique ancienne Le paysage alterne entre savanes de graminées, plaines argileuses saisonnières, vastes bosquets d’Acacia et étendues marécageuses (comme le marais Silale) qui se remplissent en saison des pluies. Ces sols variés nourrissent la végétation : les sols sablonneux de la plaine supportent de hautes herbes, les sols argileux des marais favorisent figuiers et dattiers sauvages le long des berges, et les collines acides portent des baobabs et des acacias dentelés.
Sur le plan historique, Tarangire n’était protégé qu’à partir de 1969 sous le statut de réserve de gibier, avant d’être officiellement déclaré parc national le 30 octobre 1970 sur une superficie d’environ 2 850 km². L’objectif était de préserver les routes migratoires cruciales du gnou bleu du Serengeti et du Zèbres des Plaines de Grant qui, lors de la saison sèche, affluent vers la rivière. Depuis, la gestion du parc a relevé plusieurs défis (chasse illégale, expansion agricole) et s’appuie sur TANAPA (l’autorité nationale des parcs). Les éléphants de savane de l’Afrique de l’Est, dont la densité est notablement élevée à Tarangire, ont fait l’objet de nombreuses études scientifiques. Le parc est aussi connu pour sa beauté « tranquille », ses immenses troupeaux d’éléphants de savane de l’Afrique de l’Est et ses paysages parsemés de baobabs millénaires, qui attirent un nombre croissant de visiteurs depuis les années 1980.
La savane de Tarangire abrite une faune riche. Les herbes hautes nourrissent de grands herbivores : éléphants de savane de l’Afrique de l’Est, Zèbres des Plaines de Grant et gnous bleus du Serengeti, particulièrement concentrés près de la rivière en saison sèche. On y observe aussi de nombreux antilopes (dik-diks de Kirk, impalas de johnston, bubales…), des girafes masaï se nourrissant des acacias, et des buffles dans les zones humides. Les acacias et baobabs offrent abri et nourriture (les éléphants rongent l’écorce des baobabs pour y puiser de l’eau). Les prédateurs ne sont pas en reste : lions masaï, guépards et léopards rôdent dans les bosquets et sur les kopjes rocheux. Ce soir, nous avons la chance d’apercevoir un léopard au loin perché sur un rocher granitique, un guépard chassant furtivement, et surtout un couple de lionnes immobiles, prêtes à bondir.
Le Tarangire NP, célèbre pour ses grands troupeaux d’éléphants et ses baobabs millénaires, offre un terrain idéal pour observer l’autruche Masai. Les matinées sont propices aux rencontres : les oiseaux s’alimentent ou boivent dans les rares points d’eau, souvent en compagnie de zèbres et d’oryx. Les mâles exhibent leur plumage lors de parades spectaculaires, particulièrement impressionnantes avec le contraste des couleurs de la savane tanzanienne au lever du soleil. Les autruchons, encore recouverts de duvet tacheté, suivent attentivement leurs parents, se mêlant aux autres jeunes herbivores pour plus de sécurité.
Le parc est également reconnu pour sa diversité ornithologique : outres l’aigle ravisseur aperçu, on peut y voir vautours, aigles, buses et de nombreuses espèces plus petites (martins-pêcheurs, rollier à poitrine lilas). Alors que notre véhicule longeait les berges d’un point d’eau au cœur du Tarangire National Park, un éclair noir et blanc fendit l’air au-dessus de la surface. Suspendu dans un vol stationnaire, le martin-pêcheur pie scrutait les remous avec une intensité presque féline. Puis, en une fraction de seconde, il plongea, effleurant l’eau dans une courbe précise, avant de remonter, bec vide cette fois. et de se poser
Alors que nous marchions lentement sous les acacias clairsemés du Tarangire National Park, les yeux encore imprégnés des silhouettes élancées des impalas et des zèbres, un cri étrange, presque moqueur, fendit l’air sec — un “go-away!” sonore et répétitif. En baissant les yeux, nous l’avons vu : posé sur une pierre nue, un Touraco à ventre blanc, Crinifer leucogaster, nous observait, huppe dressée, ventre éclatant sous le plumage gris.
Chaque espèce observée ce soir participe à l’équilibre de l’écosystème et illustre la grande biodiversité de Tarangire
Quelques conseils pour préparer votre safari. Premièrement, le parc est ouvert au public toute l’année, mais la meilleure période va de juin à octobre (saison sèche) lorsque la faune est fortement concentrée autour des points d’eau. Pour l’accès, prévoyez le paiement des droits d’entrée : environ 50 USD par adulte étranger, 15 USD par enfant de 5–15 ans. Les visiteurs d’Afrique de l’Est (Tanzanie, Kenya, Ouganda, etc.) bénéficient d’un tarif local (environ 10 000 TSh par adulte). Les enfants de moins de 5 ans entrent gratuitement. À cela s’ajoutent les frais de véhicule : un 4×4 standard (jusqu’à 3 tonnes) coûte environ 150 USD (soit 35 000 TSh pour un véhicule local). Depuis juillet 2024, toute transaction se fait en shillings tanzaniens– assurez-vous d’avoir des TSh ou de pouvoir payer par mobile money/carte bancaire.
Prévoyez toujours assez d’eau, des protections solaires et anti-moustiques : même en fin d’après-midi la savane reste très exposée. Un appareil photo avec zoom et des jumelles sont indispensables pour observer la faune discrètement. Un guide local est vivement conseillé pour trouver les animaux et assurer la sécurité (surtout le soir). Notez que le parc n’est pas clôturé donc il faut rester dans la piste autorisée et suivre les consignes du guide. Enfin, terminer la journée au moment du coucher de soleil offre un spectacle incroyable dans ce paysage de bush africain. En somme, ce safari en soirée nous a permis d’allier découverte ludique et richesse scientifique – une immersion totale dans l’un des écosystèmes les plus fascinants de Tanzanie.
Deuxième journée de safari au Tarangire
Le lendemain, nous quittons tôt notre lodge, encore enveloppé par la fraîcheur du matin. Le soleil commence à peine à se lever, diffusant une lumière orangée sur les baobabs géants qui se découpent dans la brume légère. Les premiers chants d’oiseaux accompagnent le ronronnement discret de notre 4×4, et nous reprenons la piste poussiéreuse pour une nouvelle journée de découvertes.
Très vite, nous avons la chance de croiser un groupe d’autruches, silhouettes élancées qui avancent d’un pas rapide, le cou tendu, toujours prêtes à détaler à la moindre alerte. Leurs plumes noires et blanches tranchent magnifiquement sur les herbes blondes de la savane.
En approchant d’un amas rocheux chauffé par les premiers rayons du soleil, une surprise nous attend : de petits damans des rochers de Tanzanie apparaissent soudain, se chauffant immobiles sur la pierre. Avec leurs yeux ronds et leur fourrure brune, ils rappellent presque des marmottes miniatures, et pourtant, ils sont de lointains cousins… des éléphants !
Puis la savane s’anime de couleurs : un rollier à poitrine lilas déploie ses ailes turquoise et lilas dans un vol éclatant, tandis que des choucadors métalliques s’agitent en petits groupes, leurs plumes irisées scintillant au soleil. Plus loin, de hautes silhouettes élégantes surgissent à l’horizon : des girafes masaï, gracieuses, qui avancent lentement, étirant leur long cou pour cueillir les jeunes feuilles d’acacias. Autour d’elles, des troupeaux d’impalas bondissent avec une légèreté incroyable, tandis que les lourds gnous progressent en masse compacte, traçant leur chemin à travers les herbes sèches.
La journée nous réserve aussi de puissantes émotions : nous tombons nez à nez avec un groupe de lionnes, étendues dans l’ombre, guettant l’instant propice pour se lancer à la chasse.
À quelques mètres de là, des mangoustes rayées se faufilent entre les buissons, agitées, toujours en alerte. Dans le ciel, les silhouettes impressionnantes des marabouts d’Afrique planent en cercles majestueux, et un peu plus loin, une ombrette africaine immobile, à l’affût, entame ensuite un vol plané silencieux vers une autre berge tandis qu’une autre plus loin construit son nid volumineuxphaco dans les branches basses, presque disproportionné par rapport à sa taille . Le cri grave d’une outarde de Kori résonne dans l’air, avant qu’elle ne s’envole maladroitement, lourde et imposante. Les phacochères, masaï eux, trottinent avec leur démarche comique, queues dressées comme des antennes, tandis que des vervets bleus nous observent en curieux, perchés dans les arbres.
Mais le safari n’est pas qu’une rencontre avec la faune : il est aussi une immersion dans la vie humaine. En bord de piste, nous croisons des femmes massaï, drapées dans leurs tissus rouges et parées de magnifiques colliers de perles multicolores qui scintillent sous le soleil. Leurs regards fiers et leurs sourires discrets laissent une impression forte. Plus loin, dans un petit village, la vie s’organise autour des foyers improvisés : des morceaux de poulet grillent lentement sur des demi-tonneaux transformés en barbecues, dégageant une odeur appétissante de viande fumée qui se mêle à celle, plus âcre, de la poussière chaude de la savane.
Quand le soleil décline à l’horizon, teintant le ciel d’orangé et de pourpre, nous réalisons combien cette journée fut riche et dense. Le Tarangire, avec sa faune abondante et ses rencontres inattendues, nous a encore offert un spectacle unique, un kaléidoscope d’émotions et de sensations.
Kwa Kuchinia, carrefour après le Tarangire
À mesure que nous quittons les pistes poussiéreuses du Tarangire National Park, la savane s’estompe derrière nous et la vie villageoise reprend ses droits. Kwa Kuchinia se dévoile alors comme une halte pleine de vitalité, située le long de la route A104 reliant Arusha à Dodoma.
Les petites échoppes colorées bordent la piste, peintes de rouge, de bleu ou de vert, souvent décorées de slogans de téléphonie mobile ou d’annonces M-Pesa. Plus loin, un marché improvisé anime la rue : fruits tropicaux, légumes, sacs de maïs et bidons d’eau s’alignent sous l’œil attentif des commerçants. L’odeur du charbon et des épices se mêle à celle de la poussière chaude qui s’élève encore des pneus des 4×4 sortant du parc.
Les ateliers de réparation résonnent du bruit métallique des marteaux et du ronronnement des moteurs, où des mécaniciens s’activent autour de motos fatiguées et de camions usés par les pistes. La présence masaï se fait sentir : silhouettes élancées en shukas rouges et bleus, bijoux de perles scintillant sous le soleil, certains proposant de l’artisanat, d’autres venus simplement échanger ou se ravitailler.
La vie quotidienne défile sous nos yeux : des enfants rient en jouant dans la poussière, des chèvres traversent la route en désordre, un chien s’étire à l’ombre d’une palissade en tôle ondulée. L’ambiance est à la fois animée et paisible, portée par une simplicité qui contraste avec l’intensité des safaris vécus quelques instants plus tôt.
Kwa Kuchinia apparaît comme un point de transition marquant. Quitter la brousse et ses éléphants, ses girafes ou ses outardes de Kori pour retrouver ce village, c’est comme franchir une frontière invisible entre le monde sauvage et le quotidien des hommes. Ici, la Tanzanie se raconte autrement : à travers ses marchés, ses couleurs et ses sourires, mais toujours avec ce lien indissociable à la nature environnante.
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Manyara : entre escarpement et eaux peu profondes
Nous quittons Tarangire au lever du soleil et prenons la route vers l’ouest, en direction du parc national du Lac Manyara. Très vite, le trajet nous fait traverser une Tanzanie vivante et colorée. Le ruban d’asphalte est bordé de petites échoppes improvisées, d’ateliers d’artisans et de marchés animés.
FAUNE ET FLORE
choucador superbe (Lamprotornis superbus)
éléphants de savane de l’Afrique de l’Est
damans des rochers de Tanzanie
VIDEOS
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LES LOGEMENTS
Arrivée à Tarangire — installation au Kirurumu Tarangire Camp
Nous sortons de l’Arusha NP le cœur encore plein d’images sauvages et faisons route vers Tarangire. L’approche du parc est toujours un moment d’attente excitée : baobabs qui se profilent à l’horizon, savane qui s’ouvre et, enfin, la lisière du parc. En arrivant au Kirurumu Tarangire Camp, nous ressentons tout de suite cette parenthèse « safari » : la zone d’accueil — une grande tente mess/restaurant —, l’odeur du feu, le personnel qui sourit et ces tentes permanentes dispersées à l’ombre des acacias. Peu après l’installation, quelques antilopes viennent brouter tranquillement autour du camp, comme si elles faisaient partie du mobilier vivant du lieu.
Kirurumu propose un concept de « under-canvas » — des tentes permanentes, confortables et bien aménagées, plutôt qu’un simple campement sommaire. Le site de Kirurumu indique que le camp de Tarangire est construit sur la rive d’une plaine inondable très fréquentée par les éléphants en saison, et que les tentes sont de style similaire à celles du Kirurumu Manyara, avec des standards d’équipement élevés.
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Emplacement : le camp se trouve tout près de la frontière nord du parc Tarangire — à quelques centaines de mètres seulement — ce qui en fait une base idéale pour sorties matinales et safaris de fin d’après-midi.
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Tentes et capacité : Kirurumu Tarangire exploite un petit nombre de tentes permanentes (les fiches commerciales et les retours clients évoquent 10–12 unités selon les sources), chacune avec terrasse privée offrant vue sur la brousse. Les tentes donnent l’impression d’un hébergement « glamping » traditionnel : solides, spacieuses et avec des aménagements confortables.
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Confort : salles de bains privatives (eau chaude fournie), literie confortable, et une salle à manger conviviale où l’on sert petit-déjeuner, déjeuner et dîner — l’ambiance reste simple mais chaleureuse, fidèle à l’esprit du camp. Plusieurs retours d’agences et d’avis confirment la qualité du service et la propreté.
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Activités proposées : safaris en 4×4 dans Tarangire (game-drives matin/soir), walks (marches guidées) dans la concession environnante, visites de villages maasaï et petits déjeuners « bush » — le camp peut organiser sorties et transferts via Arusha ou guides locaux.
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Réservations & contact : il est possible de réserver directement via le site de Kirurumu ou par les agences ; pour le camp Tarangire l’email général est info@kirurumu.net et un numéro de contact souvent affiché est +255 788 200 342 (vérifier au moment de la réservation).
Nous prenons possession de notre tente « en dur » — l’espace est généreux : lit king, petites tables, boiseries, et une salle d’eau simple mais soignée. La terrasse donne sur la plaine : à l’heure dorée, nous voyons passer Zèbres des Plaines de Grant et petites antilopes ; le soir, le feu central rassemble les voyageurs pour un dîner simple, souvent accompagné de récits de la journée et du planning pour le lendemain. Les guides du camp (ou ceux mandatés) connaissent très bien Tarangire et vous aident à caler les départs tôt le matin, moment le plus propice aux observations.
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Arrivez chargés : approvisionnement possible mais limité à proximité — prévoir eau, pharmacie basique, et un pull pour le matin et le soir (les nuits peuvent être fraîches).
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Appareil photo et jumelles : la proximité du parc rend les safaris très photogéniques ; prenez des objectifs polyvalents (70–200 mm utile).
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Respect de la faune : les animaux se déplacent librement autour du camp ; gardez une distance et suivez les consignes du personnel.
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Réservations : en haute saison (juin–octobre), réservez à l’avance ; Kirurumu travaille aussi avec des tour-operators, ce qui facilite intégration dans un circuit.
Kirurumu Tarangire offre une expérience safari « sous la toile » mais confortable, à deux pas du parc : tentes permanentes, service convivial, sorties guidées et une vraie sensation d’être au coeur de la savane — avec, parfois, des antilopes qui viennent tourner autour du camp comme des invitées discrètes. Pour confirmer disponibilités, tarifs exacts et transferts, contactez directement info@kirurumu.net ou référez-vous à votre agence.
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